C'est ce qu'a sans doute proféré à moult reprises Harry face à la cheminée de la salle commune de Gryffondor dans la fabuleuse saga de J.K. Rowling, mais ça n'a rien à voir avec le présent sujet.
Ou, enfin… ma [le] foy si, mais seulement par association phonétique.
Car si la Belgique est le royaume du neuvième art, fort peu de Suisses qui s'y risquent parviennent à y percer.
Surtout quand on se nomme Jean-Luc Godard, aspirant bédéaste fou d'Astérix et du journal Pilote mais dont le nom même était une insupportable insulte à l'éditeur d'icelui.
Jean-Luc voulait par-dessus tout caser ses petits miquets, force lui a été d'admettre que c'était râpé d'avance — d'où le recul (hem, « Le désir s'accroît quand l'effet se recule », dixit Corneille).
« Astérix, il est temps de pleurex ! », qu'y s'est dit, notre JLG d'avant JLG.
Malheureux, définitivement dépité, démuni de ses pépites — son projet initial étant à bout de souffle — le petit Jean-Luc s'est rabattu sur un art moindre — le septième —, et chacun pourra ci-dessous décider quoi penser du « plus con des Suisses pro-chinois », décédé voici peu et à qui Albane Penaranda vient de consacrer une gentille rétrospective sur France Khü.
0 urbanité(s) attique(s):
Enregistrer un commentaire