Une lecture du pénultième chapitre du dernier tome de la saga, avec moult reniflements.
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Approuvé par la norme AFNOR ISO 9001.
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samedi 31 mai 2014
mardi 27 mai 2014
Tout droit venu de ces eaux-là
(26 ans, déjà…)
Bon allez, j'en ai marre d'écouter en boucle cet alboume alors je le balance ici puisque cet espace sert essentiellement de vide-poche ou de pensine (comme dirait Dumbledore) : un Au Bonheur des Dames
tardif (1988, quatorze ans après le premier), "Jour de fête", avec une affection particulière pour les morceaux 5, 7, 10 et 11 :
Un grand merci à John Warsen !
Monomanies :
Au bonheur des dames,
chansons entêtantes
lundi 26 mai 2014
Accélérations
Deux formes très différentes d'accélérations musicales, genre que je prise particulièrement sans bien savoir pourquoi.
La première est issue d'un album tardif d'Au Bonheur des Dames, Jour de fête (1988), « Pouët pouët », obsédante à souhait…
… et la deuxième est une intervention en direct d'une chanteuse franco-grecque, Angélique Ionatos, lors de l'émission de cet insupportable cabotin de Frédéric Mitterrand, Ça me dit l'après-midi, consacrée à Jacqueline de Romilly le 28 octobre 2006, rediffusée la nuit dernière :
Monomanies :
Angélique Ionatos,
Au bonheur des dames,
chansons entêtantes,
radiotage
vendredi 23 mai 2014
N'exagérons rien !
Tel est le titre français de la traduction de A Travesty (1977), dont l'unique édition chez nous autres date de 1978 (achevé d'imprimer le 23 mai), collection "Super Noire" n°101, relu cette nuit.
Un Westlake de la plus belle eau, hors-séries (ni Dortmunder, ni Parker), dont je ne comprends pas que Guérif ne l'ai toujours pas réédité chez Rivages (remarque, le titre semble toujours disponible chez Gallimouche !)
Un sacré festival bourré de rebondissements, l'histoire d'un critique de cinéma qui tue par mégarde l'une de ses copines, un peu à la Bertrand Cantat (hem, pardon…) : il lui colle une baffe lors d'une énième dispute, elle glisse sur son parquet trop bien ciré et sa tête heurte de façon fatale l'arête de la table basse.
Ça démarre sec :
« Bon, elle était morte, inutile de pleurer, ça n'y changerait rien. Je lâchai son poignet — pas de pouls — et regardais autour de moi ; une bande sonore de conversations imaginaires se déroulait dans ma tête :
— Et vous dites que vous l'avez frappée ?
— Ma foi, pas tellement fort. Elle a glissé par terre, c'est tout, et elle s'est cogné la tête contre la table basse.
— A la suite du coup que vous lui avez porté ?
— A la suite de sa sacrée manie de cirer le sacré parquet ! »
Après quoi le héros se trisse en douce, parvient à se dépatouiller avec brio d'une tentative de chantage rapport à ce premier meurtre, puis se retrouve en butte aux flics, qui l'innocentent quasi immédiatement, et qu'il aide ensuite, chapitre après chapitre, à résoudre brillamment toute une série de crimes plus tordus les uns que les autres.
Mais ça, ce n'est que le début de ce court roman (244 pages, dans la traduction actuelle de Françoise-Marie Watkins)…
En plus, dans la grande tradition westlakienne, tout le bouquin est truffé de judicieuses réflexions adventices, de réjouissants et pénétrants apartés comme il y en a dans tous les Dortmunder, dans Aztèques dansants, dans Le couperet, etc.
Quelques exemples — et aussi de l'art westlakien de la narration, du dialogue et de la description, et de son économie d'écriture.
« Il y a quelque chose de paresseux et d'inexorable à la fois dans une grande tempête de neige. Pas de vent, pas de vraie tempête, en fait, rien que des des milliards et des milliards de flocons blancs mouillés qui tombent lentement comme des armées chinoises, et au bout d'un moment on ne voit aucune raison pour que ça s'arrête un jour. Ces lourds nuages gris-noir dans le ciel contiennent peut-être des quantités illimitées de flocons blancs mouillés, ils vont peut-être continuer à flotter comme ça éternellement. La vie humaine s'est peut-être épanouie sur une mauvaise planète. »
(p. 127)
« Elle but quelques gorgées, songeuse.
— Le divorce est une chose si affreuse.
Je connaissais par cœur les répliques de cette conversation.
— Et cependant, c'est parfois la seule solution.
Elle soupira, sirota, re-soupira et murmura :
Elle soupira, sirota, re-soupira et murmura :
— Avez-vous lu cet article dans le Reader's Digest du mois dernier ?
— "Nouvel espoir pour les morts" ?
Les grands yeux bleus clignèrent lentement.
— Plaît-il ?
— Excusez-moi. De quel article voulez-vous parler ?
— Celui de cet évêque sur le divorce.
— Non. Il m'aura échappé.
— Il estimait que c'était une très grave décision.
— C'est bien ce que je pense.
— Surtout pour les enfants.
Au diable les enfants.
— Pour les adultes aussi, naturellement.
— Oh, naturellement !
Elle s'interrompit, ruminant ses pensées de poisson rouge, buvant son bourbon à petits coups, l'air aussi splendide et aussi intelligente qu'un coucher de soleil. »
(pp. 149-150)
« Si vous devez commettre un crime — ce que je ne saurais trop déconseiller —une des choses que vous ne devez absolument pas faire ensuite, c'est de coucher avec la femme du policier chargé de l'enquête. Ça crée trop de complications.
A vrai dire et dans l'ensemble, je pense qu'il vaut mieux ne toucher à aucune femme d'officier de police. Tout d'abord, leurs maris se baladent constamment avec des pistolets. Ensuite, il y a beaucoup trop de choses qu'un flic peut vous faire s'il est irrité ; il tire autant de pouvoir de son insigne que de son arme. Je conseillerais donc que les femmes de policiers soient, comme les religieuses, abandonnées aux bandits mexicains. »
(p. 165)
« Ces obsèques avaient lieu dans je ne sais quelle chapelle croate ou ukrainienne de la 9e Rue Est. Le décor était du Frankenstein première époque, ainsi que les vieilles chaisières emmitouflées mêlées à l'assistance, qui marmonnaient toutes seules. Ces gens-là étaient "ethniques" bien avant que le mot devienne à la mode.
Et Laura, je l'apprenais, en avait fait partie. Elle m'avait présenté une fois son père sous le nom de "Frank Ward" mais il se révélait à présent que sept ou huit syllabes orientales se tapissaient depuis toujours derrière cette brièveté anglo-saxonne. Et le mari, le prétendu Penney ? Est-ce que ces pommettes plates étaient anglo-saxonnes ? Sûrement pas.
Pauvre Laura. Née dans le nord de l'état de New York, elle avait passé sa vie en qualité d'Américaine à part entière, et voilà qu'elle la quittait en immigrante. En me rappelant son racisme — je crois bien qu'elle n'aimait aucun de ces groupes — je savais que cette cérémonie n'aurait pu que la bouleverser. Je me dis que c'était aussi bien qu'elle ne soit pas là pour la voir. »
(pp. 178-179)
« [On] me déposa devant un petit hôtel particulier rénové, en briques, dans la 46e Rue, entre les Première et Deuxième Avenues. Tout ce quartier était bourré de missions des Nations Unies et d'ambassades étrangères ; chaque nation en jetait plein la vue dans la mesure de ses moyens. Aux prix de l'East Side, les plus petits pays ne pouvaient se permettre grand-chose, et cette étroite insignifiance architecturale de quatre étages était tout ce que pouvait espérer une modeste mission comme celle de Visaria.
Si j'avais pensé avoir un aperçu du style et de la culture de Visaria en observant l'intérieur de la mission, je fus déçu. Le bâtiment, probablement en état de délabrement avancé quand Visaria l'avait acheté, avait dû être acquis en solde et meublé par correspondance. Les planchers, qui semblaient spongieux et peu sûrs, avaient tous été recouverts d'une moquette bon marché de couleur terne. De faux plafonds, rectangles de contreplaqué bordés de métal, cachaient les originaux très certainement hideux d'une nouvelle et propre hideur, et les murs originaux étaient couverts de boiseries en simili-bois. L'éclairage était fourni par des panneaux fluorescents encastrés dans les faux plafonds. On avait l'impression d'une agence immobilière d'un centre commercial, avec les meubles de circonstance : bureaux en formica imitation bois, canapés de vinyle imitation cuir et corbeilles à papier carrées en vrai métal.
[…]
Une cloison intérieure avait dû être abattue, si bien que le vestibule et l'ancien salon étaient devenus un bureau de réception de forme bizarre. Il était décoré d'une manière appropriée, avec au mur des tableaux qui représentaient peut-être les forêts et les lacs de Visaria, mais qui ressemblaient à mes yeux aux forêts et aux lacs du Michigan. Un petit présentoir de littérature touristique, près de l'entrée, avait un air indéfinissablement désespéré et poussiéreux, comme si les Visariens eux-mêmes ne trouvaient aucune raison à ce qu'on visite leur pays. »
(pp. 184-186)
(pp. 184-186)
Monomanies :
Génie de Westlake
mercredi 21 mai 2014
lundi 19 mai 2014
Du bonheur à la folie !
C'était hier soir, au cirque Aliboro de Montreuil, en plein milieu des murs à pêches et des caravanes de Roms, un endroit complètement improbable si près de Paris, c'était le concert de clôture d'un ouiquènde riche en réjouissances musicales (entre autres…), avec la bonne odeur de crottin des poneys qui tentaient de dormir dans le paddock à côté du chapiteau en fête.
Aälma Dili, donc : il se sont mis à jouer sur la scène, quatre cordes : deux violons, un guitariste et puis Johnny à la contrebasse.
Tout de suite, c'est devenu le délire total : tout le monde était comme saisi par la tarantelle, tous les gens sont entrés en transe, et de larges sourires irrépressibles s'épanouissaient sur tous les visages, comme si on avait tous pris des acides.
Trois heures, ça a duré, des morceaux interminables qui ressurgissaient sans cesse alors qu'on les pensait sur le point de s'achever, des duels de violons endiablés et personne ne voulait que ça s'arrête.
Trois heures de bonheur dingue, à l'issue de quoi j'ai illico acheté leur seul CD, que voici, qui donne une pâle idée de l'atmosphère ahurissante d'hier soir, nettement plus trépidante :
Monomanies :
Aälma Dili,
Johnny Montreuil,
un peu d'air frais
mercredi 14 mai 2014
Un jeune OS cinéphile de chez Renault…
… qui grâce à sa victoire à cette émission a enfin pu s'acheter un appareil-photo, puis quitter l'usine pour entrer comme photographe chez Gamma et se consacrer par la suite à la réalisation d'une flopée de films époustouflants d'intelligence.
lundi 12 mai 2014
Quand George Weaver fait
son blogueur lambda (bis)
« Tu la vois, ta bagnole, là-bas ? »
Merde.
Tuile.
Là, c'était la grosse tuile.
La tuile mahousse, vraiment.
À l'instant même où j'ai ouvert les yeux, complètement dans le coltard sans bien me souvenir de la veille, une évidence m'a frappé comme un éclair : quelque chose clochait grave et ça avait rapport avec la bagnole, que je n'avais pas utilisée depuis des semaines. Et en rentrant la veille en zig-zag à pieds, j'avais bien capté du coin de l'œil qu'elle était pas là, la vieille.
On était le douze juillet, fin d'après-midi.
J'avale un café et je file voir si la caisse était encore là.
Hé non, disparue.
Vérole ! (comme disait l'autre…)
Bordel de merde de chiotte de pute de saperlotte ! (toutes chose égales d'ailleurs et sauf votre respect, mais enfin bon).
Bon, alors on est dans le Haut-Montreuil, un quartier que je connais fort mal au final, je file fissa zieuter sur Internouille les coordonnées du comico, il commence à se faire tard, une voix de fliquesse au téléphone :
— Ah non, Monsieur, à cette immatriculation-là on n'a aucun véhicule enlevé dans le périmètre.
Merde, quel con !
Mais qui a pu être assez taré, aussi, pour piquer une bagnole aussi pourrie ?
D'autant que, ça me revient maintenant, la batterie était morte, fallait la changer, impossible de démarrer. C'est quoi, cette histoire ?
Bon allez, tant pis, dodo, on verra demain.
En plus je m'en foutais un peu, au fond : je venais de tomber amoureux.
Au réveil, il était midi, comme disait l'autre (pas le même que ci-dessus : le Je qui était un autre), et les idées se remettent un peu mieux en place.
Pas inutile de retenter le coup auprès des flics, d'autant qu'à la réflexion on est au croisement de plusieurs communes : Montreuil, Romainville, Les Lilas, Rosny, Fontenay, Noisy-le-Sec — essayons une recherche élargie.
Bingo ! (comme disait l'autre — oui, le premier sus-cité : Patrick Cauvin de son nom de plume) La caisse a été enlevée par les services du commissariat des Lilas, embarquée à la fourrière d'Aubervilliers.
Aaaah, quel soulagement, tout d'un coup, d'apprendre que ta tuture n'a pas été soutirée par des jobards mais qu'elle est bien au chaud chez les flics !
Mais bon, quand même, ça pourrait aller mieux.
Motif d'enlèvement ?
Défaut d'assurance : le papillon visible sur le pare-brise était périmé depuis plusieurs mois.
Ah.
Ah, zut.
Et comment je fais pour la récupérer ? (ça douille vite, vous savez, les jours de fourrière)
— Hé bien vous venez au commissariat des Lilas avec la carte grise, l'assurance et le certificat de contrôle technique, on vous remettra un papier que vous irez ensuite présenter à la fourrière pour récupérer votre véhicule.
Bon, d'accord… (d'autant que c'est super-facile, quand on n'a plus de bagnole — et pour cause… —, de circuler entre toutes ces banlieues…)
Mais d'abord, faut aller acheter une batterie neuve au supermarché de pièces auto à Rosny-sous-Bois (heureusement y'a la moto — hem, hé oui, George Weaver dispose d'un sacré parc de véhicules !)
Mais merde — meeeerde ! — encore une fois.
Quoi ?
L'assurance…
L'assurance.
Ourf ! L'ASSURANCE ! Bon sang de patatane de bourzouf de crétinouille !
« Défaut d'assurance », pourquoi ?
Parce que je n'avais pas mis à jour le papillon du pare-brise depuis six mois, et pour cause : n'ayant plus une thune depuis belle lurette, j'avais carrément arrêté de payer l'assurance, point-barre.
Bon, essayons quand même…
J'arrive au comico des Lilas, l'air le plus détaché possible, je présente les papiers… « Tsss, tsss… non, non, Monsieur, il nous faut une carte d'assurance à jour ! »
Glurp…
Et là, deuxième éclair.
Rappelle-toi, bon sang, tu as déjà reçu une injonction de l'assureur l'an dernier, ils t'ont obligé à passer en prélèvement automatique pour défauts répétés de paiement !
Zoum zoum zoum, le cerveau passe à la vitesse supérieure dans ce foutu comico des Lilas planqué au milieu de nulle part…
Ah, d'accord, voui, ça me revient maintenant : en réalité j'étais toujours régulièrement assuré (alors que depuis six mois je flippais à l'éventualité d'un contrôle de flics) donc forcément la carte verte m'était arrivée à un moment donné, sauf que cela fait plusieurs années que je n'ouvre plus le courrier administratif (pas la peine : c'est que des factures que je n'ai pas les moyens de régler).
OK, direction Paris, le bouclard.
Je reprends toute la masse de courrier cacheté, je trie un peu pendant une heure, et là, re-bingo ! l'enveloppe avec la carte verte et tout ce qu'il fallait pour les condés.
Yourf ! Youpi ! Hourrah, etc. !
Retour aux Lilas, tout fiérot (ça a pris des heures, tous ces trajets, mais je commençais à trouver ça marrant, de perdre mon temps à toutes ces conneries dans des banlieues improbables, ça me faisait penser à Jacques Sternberg, et puis j'étais pas peu fier de tenir enfin la clé du problème — un peu comme Dupin, aussi, dans La lettre volée), je retombe sur les deux mêmes troufions : « Ben vous voyez, suffisait de dégotter le bon papier, on va vous la filer, votre autorisation de récupération du véhicule ! » (avec quand même un P.V. de 35 € en sus)…
Ouf.
Mais là, mrouf, gros coup de barre.
Il est 18h, je suis aux Lilas, la fourrière d'Aubervilliers est à perpète, elle ferme dans une heure, demain c'est le 14 juillet, bref, galère en perspective.
Troisième éclair !
Ma nouvelle amoureuse a une voiture, non ?
Mais oui, et en plus… — ah, non, je n'en dis pas plus.
Je l'appelle, je lui explique tout le bouzin, d'accord, elle me rejoint de suite, toute contente et moi aussi (d'autant que ça fournissait un prétexte pour la revoir plus vite que prévu). Ouf, et hourrah ! tous les dragons étaient terrassés.
18h50, on arrive à Aubervilliers (ambiance glauque, je te dis pas). J'allonge la thune, le lumpen va pour repérer où est garée la caisse, et… merde !
— Ah non, désolé Monsieur Weaver, en fait on n'avait plus de place ici, votre véhicule a été transféré à Bagnolet.
— Pardon ?
— Votre voiture est dans la remise de Bagnolet, il faut aller la chercher là-bas, je vais vous indiquer l'adresse (mais sans aucun plan pour aller d'ici à là-bas).
OK, super ! Il est 19h30, demain tout ça sera fermé et c'est soixante boules par jour.
Après pas mal de circonvolutions, de demandes de renseignements à des bègues et plein d'hésitations, on finit par trouver l'endroit, totalement inaccessible sauf à franchir des rails de tram et à enfreindre des sens interdits (ce qu'on a fini par faire, tout ça commençait à nous faire pisser de rire), on finit donc par trouver l'endroit (que le pauvre bougre de gardien sans-papiers, prévenu par la bonne femme de la fourrière, maintenait gracieusement ouvert à notre intention), et là,
Boum !
Apoplexie de beauté.
Une ancienne usine, immense, quasi réduite à ses squelettes métalliques, une splendeur absolue d'architecture du XIXe qu'on ne verra plus jamais, encombrée de partout de quantité de bagnoles, jusqu'à des DS et des DAF, des 403 et je sais pas quoi, des mécaniques complètement improbables datant de bien bien avant dans le siècle dernier (vous vous souvenez ?)
Le gars ouvre la grille soigneusement cadenassée, il est tard, il est un peu inquiet, d'autant qu'il n'est pas sûr qu'on puisse extraire ma bagnole du monstrueux parc entassé.
Si, ouf ! une fois de plus, la caisse est bien là et assez facilement déplaçable, mais ce garçon devient carrément vert quand je me mets à ouvrir le capot pour remplacer la batterie.
Ça prend cinq minutes, quelques tours de clés plates et à pipe, je referme le capot, la bagnole démarre nickel, je propose au type de le ramener à la grille (dont on était très loin, mais vraiment loin : cet endroit est carrément immense), ouf ! fini l'histoire, ça a coûté pas mal de ronds mais c'est réglé, le gardien me fait un signe complice, claque la portière et regagne sa guérite, et puis d'un coup je le vois revenir en panique, taper à la vitre arrière alors que je redémarrais enfin : il avait laissé choir son téléphone portable ultra-moderne dans ma pauvre Opel Break de 1996.
Après, on s'est retrouvés, moi et cette belle nouvelle amoureuse, et vraiment, comme on dit dans Le petit Nicolas, au final, ça a été une chouette journée !
Tuile.
Là, c'était la grosse tuile.
La tuile mahousse, vraiment.
À l'instant même où j'ai ouvert les yeux, complètement dans le coltard sans bien me souvenir de la veille, une évidence m'a frappé comme un éclair : quelque chose clochait grave et ça avait rapport avec la bagnole, que je n'avais pas utilisée depuis des semaines. Et en rentrant la veille en zig-zag à pieds, j'avais bien capté du coin de l'œil qu'elle était pas là, la vieille.
On était le douze juillet, fin d'après-midi.
J'avale un café et je file voir si la caisse était encore là.
Hé non, disparue.
Vérole ! (comme disait l'autre…)
Bordel de merde de chiotte de pute de saperlotte ! (toutes chose égales d'ailleurs et sauf votre respect, mais enfin bon).
Bon, alors on est dans le Haut-Montreuil, un quartier que je connais fort mal au final, je file fissa zieuter sur Internouille les coordonnées du comico, il commence à se faire tard, une voix de fliquesse au téléphone :
— Ah non, Monsieur, à cette immatriculation-là on n'a aucun véhicule enlevé dans le périmètre.
Merde, quel con !
Mais qui a pu être assez taré, aussi, pour piquer une bagnole aussi pourrie ?
D'autant que, ça me revient maintenant, la batterie était morte, fallait la changer, impossible de démarrer. C'est quoi, cette histoire ?
Bon allez, tant pis, dodo, on verra demain.
En plus je m'en foutais un peu, au fond : je venais de tomber amoureux.
Au réveil, il était midi, comme disait l'autre (pas le même que ci-dessus : le Je qui était un autre), et les idées se remettent un peu mieux en place.
Pas inutile de retenter le coup auprès des flics, d'autant qu'à la réflexion on est au croisement de plusieurs communes : Montreuil, Romainville, Les Lilas, Rosny, Fontenay, Noisy-le-Sec — essayons une recherche élargie.
Bingo ! (comme disait l'autre — oui, le premier sus-cité : Patrick Cauvin de son nom de plume) La caisse a été enlevée par les services du commissariat des Lilas, embarquée à la fourrière d'Aubervilliers.
Aaaah, quel soulagement, tout d'un coup, d'apprendre que ta tuture n'a pas été soutirée par des jobards mais qu'elle est bien au chaud chez les flics !
Mais bon, quand même, ça pourrait aller mieux.
Motif d'enlèvement ?
Défaut d'assurance : le papillon visible sur le pare-brise était périmé depuis plusieurs mois.
Ah.
Ah, zut.
Et comment je fais pour la récupérer ? (ça douille vite, vous savez, les jours de fourrière)
— Hé bien vous venez au commissariat des Lilas avec la carte grise, l'assurance et le certificat de contrôle technique, on vous remettra un papier que vous irez ensuite présenter à la fourrière pour récupérer votre véhicule.
Bon, d'accord… (d'autant que c'est super-facile, quand on n'a plus de bagnole — et pour cause… —, de circuler entre toutes ces banlieues…)
Mais d'abord, faut aller acheter une batterie neuve au supermarché de pièces auto à Rosny-sous-Bois (heureusement y'a la moto — hem, hé oui, George Weaver dispose d'un sacré parc de véhicules !)
Mais merde — meeeerde ! — encore une fois.
Quoi ?
L'assurance…
L'assurance.
Ourf ! L'ASSURANCE ! Bon sang de patatane de bourzouf de crétinouille !
« Défaut d'assurance », pourquoi ?
Parce que je n'avais pas mis à jour le papillon du pare-brise depuis six mois, et pour cause : n'ayant plus une thune depuis belle lurette, j'avais carrément arrêté de payer l'assurance, point-barre.
Bon, essayons quand même…
J'arrive au comico des Lilas, l'air le plus détaché possible, je présente les papiers… « Tsss, tsss… non, non, Monsieur, il nous faut une carte d'assurance à jour ! »
Glurp…
Et là, deuxième éclair.
Rappelle-toi, bon sang, tu as déjà reçu une injonction de l'assureur l'an dernier, ils t'ont obligé à passer en prélèvement automatique pour défauts répétés de paiement !
Zoum zoum zoum, le cerveau passe à la vitesse supérieure dans ce foutu comico des Lilas planqué au milieu de nulle part…
Ah, d'accord, voui, ça me revient maintenant : en réalité j'étais toujours régulièrement assuré (alors que depuis six mois je flippais à l'éventualité d'un contrôle de flics) donc forcément la carte verte m'était arrivée à un moment donné, sauf que cela fait plusieurs années que je n'ouvre plus le courrier administratif (pas la peine : c'est que des factures que je n'ai pas les moyens de régler).
OK, direction Paris, le bouclard.
Je reprends toute la masse de courrier cacheté, je trie un peu pendant une heure, et là, re-bingo ! l'enveloppe avec la carte verte et tout ce qu'il fallait pour les condés.
Yourf ! Youpi ! Hourrah, etc. !
Retour aux Lilas, tout fiérot (ça a pris des heures, tous ces trajets, mais je commençais à trouver ça marrant, de perdre mon temps à toutes ces conneries dans des banlieues improbables, ça me faisait penser à Jacques Sternberg, et puis j'étais pas peu fier de tenir enfin la clé du problème — un peu comme Dupin, aussi, dans La lettre volée), je retombe sur les deux mêmes troufions : « Ben vous voyez, suffisait de dégotter le bon papier, on va vous la filer, votre autorisation de récupération du véhicule ! » (avec quand même un P.V. de 35 € en sus)…
Ouf.
Mais là, mrouf, gros coup de barre.
Il est 18h, je suis aux Lilas, la fourrière d'Aubervilliers est à perpète, elle ferme dans une heure, demain c'est le 14 juillet, bref, galère en perspective.
Troisième éclair !
Ma nouvelle amoureuse a une voiture, non ?
Mais oui, et en plus… — ah, non, je n'en dis pas plus.
Je l'appelle, je lui explique tout le bouzin, d'accord, elle me rejoint de suite, toute contente et moi aussi (d'autant que ça fournissait un prétexte pour la revoir plus vite que prévu). Ouf, et hourrah ! tous les dragons étaient terrassés.
18h50, on arrive à Aubervilliers (ambiance glauque, je te dis pas). J'allonge la thune, le lumpen va pour repérer où est garée la caisse, et… merde !
— Ah non, désolé Monsieur Weaver, en fait on n'avait plus de place ici, votre véhicule a été transféré à Bagnolet.
— Pardon ?
— Votre voiture est dans la remise de Bagnolet, il faut aller la chercher là-bas, je vais vous indiquer l'adresse (mais sans aucun plan pour aller d'ici à là-bas).
OK, super ! Il est 19h30, demain tout ça sera fermé et c'est soixante boules par jour.
Après pas mal de circonvolutions, de demandes de renseignements à des bègues et plein d'hésitations, on finit par trouver l'endroit, totalement inaccessible sauf à franchir des rails de tram et à enfreindre des sens interdits (ce qu'on a fini par faire, tout ça commençait à nous faire pisser de rire), on finit donc par trouver l'endroit (que le pauvre bougre de gardien sans-papiers, prévenu par la bonne femme de la fourrière, maintenait gracieusement ouvert à notre intention), et là,
Boum !
Apoplexie de beauté.
Une ancienne usine, immense, quasi réduite à ses squelettes métalliques, une splendeur absolue d'architecture du XIXe qu'on ne verra plus jamais, encombrée de partout de quantité de bagnoles, jusqu'à des DS et des DAF, des 403 et je sais pas quoi, des mécaniques complètement improbables datant de bien bien avant dans le siècle dernier (vous vous souvenez ?)
Le gars ouvre la grille soigneusement cadenassée, il est tard, il est un peu inquiet, d'autant qu'il n'est pas sûr qu'on puisse extraire ma bagnole du monstrueux parc entassé.
Si, ouf ! une fois de plus, la caisse est bien là et assez facilement déplaçable, mais ce garçon devient carrément vert quand je me mets à ouvrir le capot pour remplacer la batterie.
Ça prend cinq minutes, quelques tours de clés plates et à pipe, je referme le capot, la bagnole démarre nickel, je propose au type de le ramener à la grille (dont on était très loin, mais vraiment loin : cet endroit est carrément immense), ouf ! fini l'histoire, ça a coûté pas mal de ronds mais c'est réglé, le gardien me fait un signe complice, claque la portière et regagne sa guérite, et puis d'un coup je le vois revenir en panique, taper à la vitre arrière alors que je redémarrais enfin : il avait laissé choir son téléphone portable ultra-moderne dans ma pauvre Opel Break de 1996.
Après, on s'est retrouvés, moi et cette belle nouvelle amoureuse, et vraiment, comme on dit dans Le petit Nicolas, au final, ça a été une chouette journée !
(Pour mémoire, le précédent épisode de ces obscénités était ici)
samedi 10 mai 2014
Moi non plus je n'ai rien à raconter
(mais sans doute l'ai-je déjà dit)
Je vis un éternel été
Ni gris ni bleu, ni mérité
Qui dure depuis tant d'années…
Ni gris ni bleu, ni mérité
Qui dure depuis tant d'années…
(Tu parles, Charles…)
Monomanies :
choses à dire,
Gérard Manset,
temps à perdre
mardi 6 mai 2014
De la beauté pour les yeux, pour la tête et pour le cœur
Une fois n'est pas coutume — moi qui n'ai hélas guère de sensibilité esthétique picturale — je me permets de recommander vivement l'exposition qui se tient actuellement à la médiathèque Pablo Neruda de Malakoff : Sandra Martagex et Beatiho (qui signait jadis Renée Chalumeau) y présentent leurs œuvres récentes et c'est sacrément saisissant.
Sandra
Beatiho
C'est jusqu'au 1er juin à Malakoff (Hauts-de-Seine), 29 rue Béranger, M° Plateau de Vanves, bus 191 et 126.
Monomanies :
amours de toujours,
Beatiho,
Malakoff,
publicité,
Sandra Martagex
lundi 5 mai 2014
Quand Steff fait son Tom…
Pendant que les Tweez préparaient la sortie de leur premier vinyle, Steff, le chanteur touche-à-tout aux doigts de magicien, composait de son côté un album solo d'un genre très différent, à la fois plus sage et complètement barré, dont la sortie est prévue pour bientôt sur… cassettes audio !
Ça devrait paraître d'ici la fin de l'année, sous l'intitulé T-REMIN SKELETON.
Ça devrait paraître d'ici la fin de l'année, sous l'intitulé T-REMIN SKELETON.
Pour ceux qui ont commis l'erreur de sa débarrasser de leur magnétophone, leur ouholquemanne ou leur platine K7, voici l'album en question (version d'octobre 2013, peut-être y a-t-il eu des modifications depuis) :
Note du 6 mai : Ah oui, il y a eu des changements depuis : Steff me signale deux nouveaux morceaux, qui remplacent les deux premiers, Night et Give Him The Rope.
samedi 3 mai 2014
Répertoire choral : quatre bribes
C'était sacrément chouettard hier soir place d'Aligre, à Paris, surtout que la pluie a eu la bonne grâce de s'arrêter pile-poil au bon moment, juste après l'installation du barnum et avant que la chorba soit servie. Des dizaines de chansons ont retenti dans l'air parisien printanier, entonnées par plein de cœurs à l'unisson (et bonne surprise : même l'ami Ubi s'est joint aux réjouissances !)
Quelques exemples au pif, interprétés par d'autres, voici longtemps : Les archers du roi chanté par Simone Langlois, Mon p'tit garçon par Les gabiers d'artimon, Les Terre-Neuvas de Gaston Couté par le groupe Amens et La complainte de Jean Quémeneur par Yverdalgue:
Monomanies :
chansons entêtantes,
fête des chorales
vendredi 2 mai 2014
Quelques instantanés sonores…
… de la fête des Chorales 2014 aux Condos de Montreuil, avec des chanteuses et des chanteurs de Gênes, de Bologne, du Portugal, de Bretagne, et naturellement de la chorale montreuilloise Si bémol et 14 demis. Ça a commencé mercredi et ça finira dimanche, avec un point d'orgue samedi soir après des joyeusetés place d'Aligre, à Paris, pas plus tard que ce soir même.
C'était dans la nuit de mercredi à jeudi, c'est en vrac, c'est bordélique et c'est foutraque, concert improvisé au milieu des boissons et des mets choisis, limite audible sans doute mais c'est sacrément plein d'humeur joyeuse et de faim de vivre…
Et quelques prises de la nuit dernière :
Monomanies :
chansons entêtantes,
fête des chorales,
Les Condos
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Jorge Furtado n'est évidemment pas seulement l'un des meilleurs cinéastes marxistes de notre temps (après Eiseinstein, Dovjenko, Fa...
… et soudain j'en eus marre qu'on m'angola
… et tout le tremblement
"Faire des États Généraux… une réalité !
"la beauté est dans les ruts" erra-t-il
"My Generation"
« Je me demande de quoi se plaignent tous ces pauvres ! Je ne manque de rien ! »
« un raccourci que jamais il ne trouva »
1 balle
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11 novembre
1967
1978
1994
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À bas la calotte
À la manière de…
À quoi rêvent les jeunes garçons
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Alfred Korzybski
Alfredo Smith-Garcia
Alfu
Ali Rabeh
aliénation
Allain Leprest
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aller et venir; Carl Theodorus Dreyer
Allia
alphabet
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Alphonse Brutsche
altérité
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çA
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calembour et à-peu-près
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calembour-moi le mou
calembourre-pif
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Camillo
Camus
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Carl Reiner
Carol Reed
Carole
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Cartel d'action sociale et morale
Cartel del Barrio
Cartier-Bresson
casse-couilles ces cons !
casse-noix
Catherine Binet
Cati Comba
Cauchemar sans fin
Ce que dit la bouche d'ombre
Cécile Reims
Cellini
censure
Cent fois sur le métier
Cent mille milliards de poèmes
Cervantès
chair à patron
Champ Libre
chansons entêtantes
chansons entêtantes et en tes oncles
chansons entêtantes et insupportables
chansons oubliées
chansons séchant sans son
Chantal Akerman
Chantal Goya
charabia
charade
Charb
charcuterie gastronomique
Charles Aznavour
Charles Bronson
Charles Bukowski
Charles Cros
Charles L. Harness
Charles Sluys
Charles Sorel
Charles Trenet
Charlie
Charlie Brooker
Charlie Schingo
Charlie Schlingo
Charlotte Gainsbourg
charognards
Chateaubriand
Chère chair
chères têtes blondes
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Claude Chabrol
Claude Closky
Claude François
Claude Guillon
Claude Lelouch
Claude Nougaro
Claude Rich
Claude Ventura
Claudel
Claudine
Clément Rosset
Clémentine Mélois
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Clo Vanesco
Clo-Clo
Clochards pas si célestes
COGIP
coïncidences
Colerus vipérin
Colette Magny
Colette Renard
Coline Serreau
Colporteur
Coluche
Comité invisible
comme des morts hâtives
Comme un isthme pour le passage au nord-ouest
commencer à choisir ses lectures
Commencer par le bambou
comment j'ai détruit certains des livres
Commune de Paris
Communication non-communiste
communisme
communisme en forme de poire
communisme et bricolage
communisme et bricomage
communisme paysan
Compagnie Débit d'fagots
Complications et fous-rires
complotisme de Panama
confabulations
Confucius
conisme
connaissance du premier genre
connerie culturiste
Considérations inactuelles
contrepets
contrepets éculés
Cookie Dingler
Coppola 1978
Corneille
correspondances
Correspondant 17
Corrigan Fest
cosmopolitisme
Costa-Gavras
cot
Couleur café
coups de foudre
courage
courage-folie-poésie
Cracher dans la soupe
crétins manichéens
crevards et enflures
crevures infâmes
Cui Prodest ?
Cyd Charrisse
D'où pleuvaient essais
dada
Dalida
Dam'n easy
Damien Saez
Damoclès
Dance for ever
Dani
Daniel Balavoine
Daniel Defoe
Daniel Guichard
Daniel Joubert
Daniel Parker
Daniel Pommereulle
Dans l'herbe tendre
Dans la famille Vian le fils
Dante Timélos
Darien
Darwyn Cooke
Dave
David & Jerry Zucker & Jim Abrahams
David Bowie
David Carradine
David Fincher
David Graeber
David Hume
David Lafore
David Lynch
David Murgia
David Vincent
De Kift
De la misère en milieu quelconque
Déballages obscènes
Debord
Debout les morts
décéder
décélérer
définition génétique
Deguerry
Deleuze
Delfeil de Ton
Délice des listes
délires de jeunesse
Delmer Daves
Delphine Seyrig
Delporte
démocrassye
démon et des merveilles
démonstration génétique
Denis Lavant
Denise Benoît
Denise Benoït
Dennis Hopper
Denys de la Patellière
Depeche Mode
Derf Nworb
Dérives
derme et démerde
dernière minute
dernières miettes
dernières miettes et miches reconstituées
dernières nouvelles du front
derniers jours
des livres et moi
des livres et nous
des mots-litions
Des Papous dans la tête
Descartes
déserter
désir
dessaler
dessoûler
détournement
détourner pour tous
devinettes
Dewaere
Dick Annegarn
Diderot
Didier Flamand
Didier Kaminka
Didier super
Dimey 68
Dis j'ai c'tif ?
disgressions marxistes
disputes sans intérêt
Dix ans de travail
Djahîz GIL
Dolorès del Rio
Dom La Nena
Dominique de Roux
Dominique Grange
Dominique Grimaud
Dominique Pinon
Don Heck
Donald Westlake
Dorothy Malone
Dorothy Wilson
double langage
Dr Breuer
Dranem
droit dans le mur
Du Bellay
Du jour au lendemain
dur de la feuille
Dura lex sed lex
Durruti
Dustin Hoffman
dysorthographie
échanges et mouvements
Échos de Narcisse
écran total
Eddie Murphy
Eddy Mitchell
Edgar Poe
Edgard Morin
Edith Piaf
édition-privée-hors-commerce
éditions du Square
Edmond Gropl
Edward Albee
Ekkoleg
El Chorizo
électricité
Eli Wallach
Elie Poicard
Élie Poicard
Élie Wajeman
Elizabeth Taylor
Ellar Coltrane
ellipse temporelle
Élodie
Éloïse
Elsa
embrasement
embrouilles débiles (comme toutes)
embrouilles débiles et quiproquos
embrouilles et débrouille
Emil Cioran
Emile Waldteufel
Emma Watson
Emma_Clit
Emmanuel Berl
Emmanuel Bove
Emmanuel Carrère
Emmanuel Guibert
Emmanuel Reuzé
emmerdements informatiques
émollience de la langue
emphase
Encore eût-il fallu que j'eusse yeux
enfantina
enfoncer le clou
enjambements
Ennemies of Carlotta
Ennio Morricone
enthousiasmes noyés en eau de boudin
entité "roriste"
entropie
Envois mystérieux
Enzo Barboni
équivalent général
ère du temps
Eric Charden
Éric Hazan
Éric Judor
Éric Laurent
Éric Maneval
Éric Rohmer
Ernest Cœuerderoy
érotisme
errances pas rances
espoirs sur la banquise qui gagne
essence et existence
Est-ce glu visitée ?
est-ce qu'lavage de cerveau ?
est-y mot joli ?
Et le vent reprend ses tours
Et mon œil - hé ?
et toujours embêté
États généraux de l'enseignement supérieur
Éthique I 16
Etienne Brunet
Étienne Daho
Étienne Klein
étoile
Être étant
Être-là
Evguénia Iaroslavskaïa-Markon
exhumation des sources
exhumations
existentialisme à deux balles
F. dans toute sa splendeur habituelle quand il ne pète pas les plombs sur des camarades
Fabcaro
Fabio Testi
fable-express
Fabrice Drouelle
faites circuler
Fall out
Fañch
Fantazio
fascisme partout solstice nulle part
Fatals Picards
fatigue
fatigue+whisky+fond d'œil
Faulkner
fausses rimes
Fauve
FDNP
Félicien Rops
Félix Marten
féminisme ?
Femmes voluptueuses et philosophes - c’est à vous que je m’adresse
Ferdinand Tönnies
Fernand Deligny
Fernandel
Ferré
férules insidieuses
Festivités
fête des chorales
Fêtes et défaites
fétichisme de la marxandise
Feu à toutes les prisons
Feuilles d'automne
figures de style
Filistrie
fin d'une époque
fin de l'histoire
fin de partie
Fin du cauchemar ?
fin du monde
Flagrant Déni
flicailleries
Floréal
Florence
Florence Delay
Florence Lotterie
Font-Romeu 1972
Fontaine de jouvence
forme
foutaises et conneries
Françafrique
France Culture
France Gall
Francesca Soleville
Francis Blanche
Francis Cabrel
Francis Lai
Francis Lalanne
Franck
François Angelier
François Bernheim
François Caradec
François de Si Bémol
François Gremaud
François Malherbe
François Rollin
François Roustang
François Simon
François Truffaut
François Tusques
François Valorbe
François Villon
François-René Cristiani
Françoise Hardy
Françoise Lebrun
Frank de Quengo
Frank Oz
Franquin
Franz Fanon
Franz Liszt
Fred Astaire
Fred Deux
Fred Goldbronn
Frédéric François
Frédéric Lordon
Frederick Aubourg
Frédérick Aubourg
Fredric Brown
Free Martin
Freud
frichti
Fuir le phlegmon
Fureur et mystère
Furtado
Füssli
G. K. Chesterton
G. Morris
Gabriel Yacoub
Gaby Wagenheim
Gadgets embêtants
Gaël Faye
Gainsbourg
Gais gays marions-nous…
galimatias
Gallimard
gastronomie
gastronomie érotique
Gédicus
Geneviève Page
Génie de Westlake
Georg Simmel
George C. Scott
George Orwell
George Segal
George Weaver
Georges Charensol
Georges Courtois
Georges Darien
Georges Guingouin
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Georges Perec
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Géraldine Muhlmann
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Gérard Jugnot
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Gérard Manset
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Gilles Deleuze
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Golo
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Jean-Louis Stain
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Jean-LucGodard
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Jean-Marc Roberts
Jean-Max Brua
Jean-Michel Cornu
Jean-Michel Folon
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Jean-Paul Musigny
Jean-Pierre Bacri
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Jean-Pierre Marielle
Jean-Pierre Milovanoff
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Julien
Julien Clerc
Julien Gracq
Julien Torma
Juliette Gréco
Julius Corentin Acquefacques
Justice partout
justice-partouze
K. C.
Kacem Wapalek
Kafka
Kakfa
Kamel
Kant
Karim Abdul Jabbar
Karimouche
Karl Anton
Karl Cercle
Kazuko Hohki
Kelly Preston
Kerfi
Khayyam
Kimberley Cornish
King Vidor
Kirk Douglas
Kirk Mitchell
KM
Komintern à la plage
Kompromat
Kossakovsky
Kozett
Kraftwerk
Kritik der Urteilskraft
Kurt Schwitters
L.-E. Briquet
l'amour fou
L'art des jeunes errait
L'autre Cati
L'aventure humaine à tout
L'Envolée
l'époque du papier
L'Espinas
L'été 2019 à la radio
l'étoffe dont on fait les rêves
l'évidence même
l'hilarité même des choses
L'histoire de Malakoff
l'idée et l'image
L'impératif catégorique selon Nietzsche
L'insomniaque
L'invention de Morel
la barbe a ri
La beauté est dans la rue
La beauté est dans la rue Terratil
la beauté est dans le rut
la beauté est sur les routes de campagne
La beauté tout court
La bête humaine
La Boétie
La boucle est bouclée
la campagne à la ville
La Choralternative
la classe du style
La colère de Dieu
la faute aux Moissonneuses
La Fraction
la mémoire est amère
la mémoire et la bile
La page 106
La Parole Errante
La Pléiade
La propriété c'est le vol
La puissance et l'ennui
la queue basse
La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s’annonce comme une immense accumulation de marchandises
La Rochefoucauld
La tactique de l'Antarctique
La télé après l'ORTF
La télé chez le concierge
La télé du temps de l'ORTF
la télé peut rendre moins con
La Tordue
La vie des autres
Laclos
Lacombe
Laïs
lamentables crétins
lamentables lamentations
Lamentations d'un vieillard obscène
Lana Del Rey
langage-tangage
lapsus linguæ
Lars von Trier
Latry
Lattaignant
Laura Betti
Laure Egoroff
Laurel et Hardy
Lauren Bacall
Lauren Laz
Laurent Duval
Laurent Lafitte
Laurent Poitrenaux
Laurent Zaïche
Laurie Anderson
Laurie Johnson
Lautréamont
Le cahier à spirales
le cauchemar a déjà commencé
le centre est partout et la circonférence nulle part
le chaos met K.O.
le ciel est vide
Le cinéma d'ennemis nuit
Le désert peut encore s'approfondir
Le désir est l'essence même de l'homme
le fantôme de…
Le feu follet
le Golgotha du DRH
Le Grand Rouge
Le joli mai
Le Larron
Le Moine bleu
Le Muscadet
le plus poignant…
Le Prisonnier
Le Promeneur
Le Tenancier
Le travail c'est lassant — té…
Le travail contre l'activité
Le trio On S'en Tape
Le Vaudou est toujours Debord
Le vol doux sera toujours du bol
Léa Seydoux
Lech Kowalski
lectures dominicales
lectures julionicales
lectures mercuronicales
Léda
Lee van Cleef
Leiris
Léo Ferré
Leola Harlow
Léon Bloy
Léon de Mattis
Leos Carax
les salonnards ne sont pas tous des salauds nazes
Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?
Les Attaqués
Les Charlots
Les châteaux de la loi
les choses se corsent…
Les Condos
Les deux glandus
Les Frères Jacquard
Les Frères Jacques
Les Goguettes
Les Jambons
Les linguistes atterré(e)s
Les Moissonneuses
Les nuits de France Culture
Les pieds sur terre
Les poètes de sept ans
Les poissons solubles
Les Poppys
Les quatre barbus
Les raisons de la colère
Les Rumbanana
Les Silver d'argent
les temps changent
Les tontons flingueurs
Les Wriggles
Leslie Nielsen
Lesquerde
Léthé s'ra chaud
Lévinas
Lewis Carroll
Lewis Trondheim
lexicomaniaque
lexomaniaque
Libération
Librairie Entropie
Librairies en galère
Lil Green
Lil Zey
limericks
Lionel Naccache
Lire en fête
Living Theatre
LN
Locomotive de la libération
logique élémentaire
Lois Weber
Lola Miesseroff
Lou Castel
Louis Adamic
Louis Althusser
Louis Fox
Louis Gauthier
Louis Jouvet
Louis Scutenaire
Louis-Ferdinand Céline
Louise Bourgeois
Louise de Vilmorin
Lovecraft
LTR
Luc Bérimont
Luc Étienne
Luc Ferrari
Luc Marianni
Luce
Luciano
Lucidité ludique
Lucien Hustaix
Lucienne Delyle
Lucioles
Lucy Gutteridge
Lucy in the Sky with Diamonds
Ludo détective
Ludovic Cantais
Ludwig Feuerbach
Luigi Comencini
lundimatin
luttes sociétales
Lydia Ben Ytzhak
M. Montier
Mac Orlan
Mack Sennett
Madame de Sévigné
Madeleine Desdevises
magie de toujours
magie du cinéma
Magritte
Maïmouna Gueye
mains
Mais il est bien doux quand même…
Malakoff
MALC
Malevitch
Malik Oussekine
Mallarmé
Malraux
Mammon
Manhatthan
manœuvres
Mansfield.TYA x Odezenne
Manuel Poirier
Manuel Sanchez
Mao et moâ
maoralisme
Marc
Marc Carpentier
Marc Charlan
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Marc Ogeret
Marc Seberg
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Mariangela Melato
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Marie Thérèse Orain
Marie Vialle
Marie-Dominique Arrighi
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Marie-Pauke Belle
Marie-Thérèse Orain
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Martine
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Mathias
Mathias Brossard
Mathias Sénié
Mathieu Perotto
Mathieu Quillet
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Matrix
Matthieu Chatellier
Matthieu Conquet
Matthieu Garrigou-Lagrange
Maud & Yannis Youlountas
Maurice Béjart
Maurice G. Dantec
Maurice Garrel
Maurice Leblanc
Maurice Raphaël
Maurizio de Giovanni
Mauvais sang
Max Ernst
Max Genève
Max Weber
Maxime Le Forestier
médiarrhée
Mehdi
Mehdi El Hadj
Mel Gibson
Mélange des genres
Melody Gardot
Mendelson
Mervyn Le Roy
Message à caractère informatif
méticulosité
Métro c'est trop
meurtres en série
Mezzo Litro
Michael Haneke
Michael Ironside
Michael Powell
Michael Radford
Michael Shannon
Michel Ancilotti
Michel Bouquet
Michel Delpech
Michel Deutsch
Michel Duchaussoy
Michel Gondry
Michel Hazanavicius
Michel Houellebecq
Michel Leiris
Michel Mitrani
Michel Mourre
Michel Polac
Michel Polnareff
Michel Serrault
Michel Simon
Michel Sitbon
Michel Tournier
Michel Vianey
Michel-Simon
Michèle Bernard
Michèle Bernstein
Michèle Firk
Michèle Riot-Sarcey
Michelle Senlis
Mickey Rooney
Miguel Almereyda
Miguel Brieva
Mike Bartlett
Mike Nichols
militant(e)s inconscient(e)s
Milou de Limoux
minimalisme et révolution
Minute par minute
mise au pas des pauvres
mitraille à volonté
Mokhtar
mollichonneries
Moments télévi(ru)suels
mon chéri
Mon petit doigt me l'avait bien dit
monde d'avant
Monde de bien avant
monde réel
monde réellement renversé
Monique Morelli
montage
Montaigne
Monthy Python
Mony Vibescu
Mordicus
Moreau
Motoculteurs Attila
mots croisés
mots fléchés
Mouloudji
Mouvement des chômeurs
Moynot
Mozart
MPPP
Muriel Denis
Murnau
Muse amusée
Mylène Farmer
mystification
Mzee
Nabots télégéniques
Nada
Nadia Meziane
Nan Aurousseau
Naps
narines
Nathalie Heinich
Nazaré Pereira
NDDL
Ne mourons pas tout de suite
ne pas confondre Baruch Spinoza et Barouf Spinola
Néant
négritude
Néo-féminisme
néologismes tératologiques
Nessie
Ni Drieu ni Maistre
Nicholas Meyer
Nicolas & Bruno
Nicolas Rouhaud
Nicolas Stoufflet
Nicole Christa
Nicoletta
Nietzsche
Nikita Phekté
Nina
Nino Ferrer
Nino Manfredi
no future
Noël Arnaud
Noël Simsolo
Noir c'est noir
Noir Désir
Non fides
Notre-Dame de Hollande
Nous ne sommes ni fer ni sucre
Nous retournerons la nuit
Nous sommes consumés par le feu
nous tournions dans la nuit
nous tournions dans la nuit…
Nous tournons dans la nuit…
Nous tournons dans une nouvelle nuit
Nous tournons dans une nouvelle nuit…
novlangue
numérisation de vinyles
ô flots de feu
obituaire
obscénité
occis=mort
Octave Mirbeau
octobre 1917
Odile Rousseau
Odilon Redon
Oiseau-tempête
Olivier Barthélémy
Olivier Cueto
Olivier Dony
Olivier Smolders
On a toujours raison de se révolter
On ferme !
On s'fait le Malle
ondinisme
Orchestral Manœuvres in the Dark
ordures et décombres
Orelsan
Oreste Scalzone
orientalisme
Orson Welles
Otto Naumme
Où en sommes-nous ?
ouèbe
Oui… c'est qui ?
Oulipo
outrage et rébellion
Pamphylie
panique
panthéonisation
Paolo Rossi
Par-delà le bon et le mauvais
Parabellum
Paradences et évidoxes
paradis
Paris
Paris la nuit
Paris perdu
Parker
Pars à New York
Parti Imaginaire
Parti sans cible
pas de choix dans la date
Pas de fumée sans feu
Pascal Bouaziz
Pascal Cadéac d'Arbaud
Pascal Quignard
Pascal Thomas
Pasolini
pass(at)ions
Passe ton râle d'abord !
Patachou
patin-couffin
Patrice Gauthier
Patrice Leconte
Patricia
Patrick Bouchitey
Patrick Cheval
Patrick Ducome
Patrick Gilmore
Patrick Juvet
Patrick Le Lay
Patrick Marcolini
Patrick Süskind
Patrick Timsit
Paul Auster
Paul Éluard
Paul Lafargue
Paul Léautaud
Paul Martin
Paul Meyer
Paul Muni
Paul Nougé
Paul Rée
Paul Tourenne
Paul Valéry
Paul Verhoeven
Paul Verlaine
Paul Watzlawick
Paul-Louis Courier
Pauline Carton
Pauline Drevet
Pauline partout - Justine nulle part
pauvre Spinoza
pauvres de nous
paysans communistes
PDI
pédagogie
Péguy
peintres plus ou moins prolos
Perec
péripatéticiennes pas pathétiques
Permafrost & Cie
Permis de tuer
Perrache
Perreche
Perrette
perte blanche
Perte de tant
Pertes de tant
pétasses avides de gloriole
Peter Cushing
Peter Falk
Peter Gould
Peter Handke
péter les plombs à l'heure des cartouches fusibles
Peter Lorre
Peter Yates
Petit Louis
petits morts oubliés
Petra Magoni
Phil Casoar
Philip K. Dick
Philip K. Dick precog
Philip Roth
Philippe Garbit
Philippe Garnier
Philippe Garrel
Philippe Hupp
Philippe Katerine
Philippe Labro
Philippe Muyl
Philippe Nemo
Philippe Noiret
Philippe Pascale
Philippe Petit
Philippe Saada
Philippe Sarde
philo à coups de marteau
philosophie
Philosophie manchote
photos retrouvées
Pierre Bachelet
Pierre Barouh
Pierre Batcheff
Pierre Baux
Pierre Belfond
Pierre Carles
Pierre Clastres
Pierre Dac
Pierre de Ronsard
Pierre Desproges
Pierre Dupont
Pierre Faucheux
Pierre Guenancia
Pierre Jodlowski
Pierre Lafénot
Pierre Lebêlage
Pierre Louÿs
Pierre Niney
Pierre Perret
Pierre Vassiliu
Pierre Wat
Pierre-François Moreau
Pierrelatte
Pile Lip avant PIL post-Sex-Pistols efface A ou B
Pincemi et Pincemoi
Pink Floyd
Pink Martini
Pirandello
PJB
Plastic Bertrand
Platon
Plonk & Replonk
Plutôt PC ou plutôt FN ?
poésie involontaire
Pohl (Frederik)
poignance
poisseux
polar
politicailleries médiatiques
Pompidou
pompons à fond !
Pop9 (dit "M'sieu Pop")
Port-Nawak
Portugal
Positif
Potof Prod
praillevètes djoxes
pré-situs
presque six ans déjà…
Prh
Princes vaillants
prises de têtes de nœuds
Pro-fesseur ou prof et sœur ?
problèmes stupides mais indéniables
processus de production
professeur Tournesol
progression diagonale
propagande
Proust-proust
Proustassinacrions
Prugnanes
publicité
publicités
Puzzledoyster
Quand la Grande Muette déblatère
Queneau
Quentin Dupieux
Questions à l'assemblée
Qui ça fait bicher ?
Qui dit RA[F] dit "otages"
race de malfaiteurs
Rachel Ticotin
Racine
Racing Club Choral
racolage
Radio Grille Ouverte
Radio-Campus Paris
radiotage
radiotage (mais pas radio-otage)
Rafik Chekkat
Rainer Michael Mason
Rami Malek
Ramones
Ramuntcho Matta.
rançon et spoliation
Raoul Peck
Raoul Rabut
Raoul Ruiz
Raoul Vaneigem
Raphaël Quenard
Raphaëlla Saada
Rappelle-toi Barbara
Rare Birds
ratages
Ray Ventura
Raymond Chandler
Raymond Gay-Crosier
Raymond Roussel
Raymond Valentin
réappropriation
Rebekah del Rio
reconnaissance à des inconnus de plus en plus chers
Red Noise
réenfoncer le clou
Régis Debray
règle de vie
Reinhardt Wagner
Rembrandt
remèdes à l'inflation
Rémi
remodelage romantique de l'histoire
remonter la pente plutôt que la tente
Rémy Belleau
Renaud
René Chateau
René Giirard
René Joly
René Viénet
René Zosso
Renée Jan
Renée Passeur
renversement de perspective
résistance à toutes les sirènes létales
Ret Marut
retape RATP
Retour à la nuit
retour à volonté vers l'enfance
révélations
Rêves d'aventures loupés
révolution des œillets
Ricet Barrier
Richard Burton
Richard Cocciante
Richard Erdman
Richard Fleisher
Richard Jean-Elie
Richard Linklater
Richard O'Brien
Richard Pinhas
Richard Sanderson
Richard Stark
Richard Widmark
Riche de ses seuls yeux tranquilles
Ridan
Rimbaud
rimes riches
Rirette Maîtrejean
Rita Labrosse
RMPLR
Rob Reiner
Robert Crumb
Robert Desnos
Robert Frank
Robert Heinlein
Robert Heinlein Hitler
Robert Mulligan
Robert Pagès
Robert Redford
Robert Sheckley
Roger Chartier
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Sybille Schmitz
Sylvain Zac
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Tancrède Ramonet
tant d'attente…
tant d'énergie déployée pour au final queutchi
tant de temps passé…
Tant qu'y aura de l'argent…
tarnaquer
Tartuffe
Téléphone
temps à perdre
temps à perdre (si peu pourtant…)
temps à perdre (si peu pourtant…) et tant perdu
temps de cerveau disponible
temps perdu
temps qui passe
Temps qui passe et qui lasse et qui casse
tératologie musicale
Terence Hill
terreur rocheuse
Terreur rouge
terroir
Terry Gilliam
tête de nœud
Teulé
texticules
thé
The Clash
The Doors
The end
The Far Cry
The Invaders
The No Smoking Orchestra
The Revolution Will Not Be Televised
The Scorpions
The Troublemakers
théâtre
théorie
théorie et pratique
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Thierry Jonquet
Thomas Baumgartner
Tibor Csernus
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Tonino Valerii
Tony Gatlif
Topographes du futur
toujours et partout
toujours la même histoire
TOUT
Tox et intox
traces qui demeurent vaille que vaille
tradition
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traduction
trahison
Traité politique
travail des meurtriers patentés
travail manuel et intellectuel
Travailler c'est trop dur
tricotage
tridécasyllabes
Tristan
Tristan(paxromana)
trou noir troublant
Truman Capote
Trust
Tweez
Ubifaciunt
Ubu
Ubuweb
un ami présomptueux
un ange vint sans régner
Un autre Manneken
un duo pas indû
Un jour il y aura autre chose que le jour
un peu d'air frais
un peu de sérieux s'il vous plaît
Union sacrée
uppercut plutôt que droite ou gauche
urgences
Ursulines
Usé
V. R.
V. Voyer
vacances en banlieue
vacances pas bêtes
vaccination sans vaticination
vachéité
vaincu par vingt huissiers au cul
Vais-je ?.. et t'as rien
Val Kilmer
Val Lewton
Valentina Lisitsa
Valérie Mischler
Valérie Rouzeau
Valia
Van Daal
Vaneigem
Vanessa Hachloum
vanitas vanitatis
vanité
variétoche seveunetizes
Vénus anadyomène
verbicrucisme
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verres sévères
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Victor Hugo
Victor Klemperer
Victor Le Page
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vieilleries et nouveautés
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Villiers
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Vincent Delerm
Vincent Lindon
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Virginie
Virginie Despentes
Vive la Commune
Vladimir Nabokov
voix
voix envoûtantes
Voix sans visage et visages sans voix
Voltaire
voyous post-situs
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Vraie faux
Wagner
Walt Disney
Walter Cadet
Walter Hill
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Weaver
Willem
Willem Dafoe
William
William Karel
Willy Ronis
Witold Gombrowicz
Wittgenstein
Wolinski
Wong Kar-Wai
Woody Allen
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Xavier Legrand-Ferronnière
Xavier-Louis de Izarra
Yael Naim
Yan Ciret
Yann Chouquet
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Yvan Delporte
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