Avertissement légal
Ne perdez plus votre précieux temps de consommateurice à répondre à vos correspondants, les plus exigeants fussent-ils quant à la teneur conceptuelle ou la qualité des propos échangés : Hétéronomix™ se charge de tout ! Syntaxe et orthographe garanties parfaites et évolutives au fil des décrets.
Approuvé par la norme AFNOR ISO 9001.
samedi 7 septembre 2024
jeudi 5 septembre 2024
Sot (auto)crate
Le pantin de la finance mondiale qui nous tient lieu de Président, qui en 2017 se piquait de philosophie et se targuait de Paul Ricœur (on rit de bon cœur !), n'a pas eu ce jour l'heur de se remémorer la pensée tacite de Socrate lorsqu'il but la ciguë pour sauver sa cité sans cécité :
Question impossible
Extrait de Cuisine et dépendances (Philippe Muyl, 1993)
« Est-ce que je peux te poser une question ? »
À bien y réfléchir, la requête s'auto-annule puisque cette phrase est déjà une question : la seule réponse logique est donc : « Tu viens de le faire ».
La formulation du demandeur devrait être quelque chose du genre :
« Est-ce que je peux te poser imminemment une deuxième question ? »
J'ignore s'il existe un nom de figure de style pour caractériser cette sorte de suicide linguistique : ça me fait penser à une forme de double-contrainte, comme ces panneaux autoroutiers sur lesquels est inscrit « Ne tenez pas compte de ce panneau », et puis aux théories de la communication de Paul Watzlawick et à la sémantique générale d'Alfred Korzybski (enfin, pour ce que j'en sais…), mais j'ai l'impression de tourner autour du pot sans atteindre la cible.
Quelqu'un pourrait-il répondre à cette question ?
Magritte, La trahison des images
mercredi 4 septembre 2024
La dialectique du maître et de l'esclave, épisode 2004
Bonus des sans-dents (un escalier — esprit d')
C'est l'ultime entretien avec Annie Le Brun, mené un mois avant sa disparition le 29 juillet : Marie Richeux était venue chez elle la titiller sur sa bibliothèque en juin 2024 pour une émission prévue à la rentrée.
Elle a été diffusée vendredi 30 août, juste avant l'ouverture de l'expo pour le centenaire du surréalisme à Beaubourg : la voix tenacement frêle d'une superbe intransigeante.
« Y'a des livres qui ouvrent […] effectivement : c'est à vie, hein !
Pour moi, la rencontre avec un certain texte, certains livres, c'est aussi important [que] la rencontre avec certains êtres : ça change tout.
C'est comme des amis, tout d'un coup : y'a une sorte d'amitié formidable qui est là : on vous reçoit […] dans un monde, et vous êtes libre d'y aller. »
Lâchez la proie pour l'ombre.
mardi 27 août 2024
dimanche 25 août 2024
vendredi 23 août 2024
La voix d'une sans-maître
Et une rencontre filmée par lundimatin en février 2023 :
vendredi 9 août 2024
Libre comme Claire…
Tristesse.
J'ai appris hier la mort subite de ma copine Claire Auzias, la pétulante et pétillante diseuse de ce genre de vérités qui ne sortent que de la bouche des enfants, tant elle était toujours rageusement restée si juvénile et juste dans tous ses jugements, dans toutes ses inclinations.
Je l'avais rencontrée après qu'elle s'était mise à la colle avec Arthur, à qui elle aura survécu dix ans.
La dernière fois c'était à l'occasion de la présentation au Lieu-dit du dernier tome des mémoires de Diego Camacho (alias Abel Paz), voici quelques mois : elle pétait la forme, comme d'hab'.
et je ne l’aurai pas vue
dans son dernier sommeil
sommeil profond
regrets éternels
elle rejoint arthur
depuis longtemps manquant
et du fond de la nuit
les fantômes de la Shoah
les oubliés du Samudaripen
les oubliés de Birkenau
les hommes, les femmes et les enfants
tous s’inclinent en lui disant madame
et du fond de l’Inde
du fond de la folie
jusqu’à la nudité de l’héroïne
du fond de l’asile
comme du fond de la prison
d’Arles comme de Roumanie
et des terrains expulsés de Seine Saint Denis
comme du désert du Néguev
monte un chant
Djelem djelem
claire claire auzias
claire n’est plus
elle a même droit
à un clin d’œil d’albert camus
en descendant de la Croix-Rousse
les canuts, les trimards, les anars
ceux d’hier et d’aujourd’hui
voient fumer la dernière barricade
et la dernière des barricadières
celle dont le cœur battait
pour eux pour nous
pour les vivants et pour les morts
claire est passée
claire
dimanche 4 août 2024
vendredi 2 août 2024
mardi 30 juillet 2024
Fred Deux nie l'avant ?
lundi 29 juillet 2024
Où un daim en chiale : un chat en doux lien, ou indien en lâche ?
(triple inversion de consonnes)
dimanche 28 juillet 2024
Bambi ?
No !
Dalida le dénonçait déjà à mots couverts en 1956, mais pour prendre la mesure de l'étendue de la putain de déchetterie que fut cette ordure nazi de Walt Disney on peut se reporter à cette Grande Traversée diffusée sur France Khû en août 2019 :
Val Lewton, ou l'art de piloter la litote en papillotes
dimanche 14 juillet 2024
Pour le pouvoir y'a débat, mais contre y'a Léo !
Une de ses premières chansons, Le bateau espagnol (1953), fortement truffée de Baudelaire, Apollinaire et Rimbaud, est un décalque manifeste du Bateau ivre, qu'il a fini par enregistrer à Milan en 1981 — huit ans après en avoir composé la partition.
dimanche 7 juillet 2024
samedi 6 juillet 2024
Au bar des las, on risque hélas de trinquer ses verres…
vendredi 5 juillet 2024
Non, non, rien n'a changé…
Le changement qui a le plus d’importance, dans tout ce qui s’est passé depuis vingt ans, réside dans la continuité même du spectacle. Cette importance ne tient pas au perfectionnement de son instrumentation médiatique, qui avait déjà auparavant atteint un stade de développement très avancé : c’est tout simplement que la domination spectaculaire ait pu élever une génération pliée à ses lois. Les conditions extraordinairement neuves dans lesquelles cette génération, dans l’ensemble, a effectivement vécu, constituent un résumé exact et suffisant de tout ce que désormais le spectacle empêche ; et aussi de tout ce qu’il permet.
[…]
Le seul fait d’être désormais sans réplique a donné au faux une qualité toute nouvelle. C’est du même coup le vrai qui a cessé d’exister presque partout, ou dans le meilleur cas s’est vu réduit à l’état d’une hypothèse qui ne peut jamais être démontrée. Le faux sans réplique a achevé de faire disparaître l’opinion publique, qui d’abord s’était trouvée incapable de se faire entendre; puis, très vite par la suite, de seulement se former.
jeudi 4 juillet 2024
« C'était l'insouciance
Parfum d'innocence… »
Jacques Dutronc, générique de Le bon et les méchants (Claude Lelouch, 1976)
Bienvenue dans la France de la rue Lauriston !
Logique du pire
Là sombre et s’engloutit, dans des flots de désastres,
L’hydre Univers tordant son corps écaillé d’astres ;
Là, tout flotte et s’en va dans un naufrage obscur ;
Dans ce gouffre sans bord, sans soupirail, sans mur,
De tout ce qui vécut pleut sans cesse la cendre ;
Et l’on voit tout au fond, quand l’œil ose y descendre,
Au delà de la vie, et du souffle et du bruit,
Un affreux soleil noir d’où rayonne la nuit !
Victor Hugo, « Ce que dit la bouche d'ombre »
(Les Contemplations, 1855)
mercredi 3 juillet 2024
Tant de cerveaux indisponibles…
Scène quasi-finale de La formule (John G. Avildsen, 1980)
« They can't wait to find some nut who they think is just wonderful, to tell them what to do ! »
(traduit dans la VF par :
« En fait, ce qu'il leur faut c'est un vulgaire abruti, qu'ils trouveront génial pourvu qu'il les mène par le bout du nez ! »)
dimanche 30 juin 2024
vendredi 28 juin 2024
La S.E.R.P. dort ?
As[t]éri[x], au travail (obligatoire) !
Le KK[K] a un sale goût de merde…
Faire croire à des conneries…
30 juin : départ en vacance…
Pas d'tri autiste !
jeudi 6 juin 2024
2024 : Europe et haines
lundi 3 juin 2024
Sur l'art et la manière de ranger les livres… à l'endroit
mercredi 22 mai 2024
Revenons donc à l'ORTF, mais avec la pub en suce !
Rappelez-vous l'innommable bordel à quoi ça nous a conduits voici plus de trente ans — sans parler du début de démolissage de la création radiophonique sur France Culture par Laure Adler, avant que ses successeuses ne parachèvent l'anéantissement quasi-total…
dimanche 19 mai 2024
La satiété du spectacle
mercredi 15 mai 2024
dimanche 12 mai 2024
Maman…
Tirons un coup…
Allez savoir pourquoi, j'ai récemment repensé au grivoiseries celées des comptines enfantines guillemettablement vêtues de probité candide et de lin blanc, et bingo ! m'est revenu en tête en boomerang ce truc débile mais assez rigolo :
Un tantinet de réflexion suffit pour piger que cette « serpette » n'est rien de moins innocent qu'une métaphore de la la virginité — et quant à ce membre qu'est « le manche », loisir est à chacun(e) de s'en pénétrer.
Après quoi on fume une clope et on boit un coup.
Perso, je préfère la version avec l'exténuation jusqu'aux diphtongues (vachte plus mahousse !) mais j'ai pas trouvé sur Internouille.
« Bonvonzonkon, Bouvouzoukou, Bouivouizouikoui, Boavoazoakoa, Buivuizikui, Bouévouézouékoué… »
et c'est tes rats.
lundi 22 avril 2024
Dimanche 21 avril ?
Souvenirs, souvenirs…
C'était un précédent dimanche 21 avril, voici vingt-deux ans.
Ça va être le bardel, là…
(Et au fait, pour 2002, merci aux nervis du RPR qui sont allés massacrer Papy Voise !)
samedi 20 avril 2024
Les vrais démocrates en campagne l'affirment aujourd'hui avec une conviction sincère :
« Ce qui importe avant tout, c'est de lutter contre les terres autistes ! »…
… notamment en incitant le peuple au patriotarisme le plus réac', au véritable civisme (pas qu'aime pas à ras, bé, l'homme…) et en mettant un terme enfin définitif (jusqu'à la prochaine réforme) à cette pernicieuse nonchalance du chômage à quoi s'adonnent à l'évidence dès que possible tou(te)s ces branleurses de feignasses de salarié(e)s. En vrai, la solution finale est fort simple, pour éradiquer la perniciosité méphitique qui menace nos valeurs fondamentales !
Y'a qu'à rétablir le sévice militaire (si populaire voici quelque soixante ans — n'est-pas, Gégène ?… — durant ce qu'on a pudiquement appelé « les événements »), ainsi que les maisons de redressement dès l'âge de deux ans (voire moins si affinités…) et de réduire à peau de zob les allocs (quatrième réforme depuis l'arrivée aux commandes du Maréchal Péteux !) de celleux qui désespèrent de retrouver un salaire et une vie sociale acceptables mais qu'il est si tentant de diriger par la férule vers des workhouses.
Ces potentats* si ingénument imbus de leur fatuité ont poussé l'infamie jusqu'à panthéoniser en grand tralala Missak Manouchian sans nulle vergogne pour mieux faire oublier que les FTP — Francs-Tireurs Partisans —luttèrent à mort contre les tenants de TFP — Travail, Famille, Patrie (ou Te foule pas, c'est kif-kif bourricot).
Comme disait si pertinemment Choron :
« Qu'ils crèvent ! »
À l'indépendance du mon-hon-de !
* « … ces petits potentats de province dont la cupidité, l’inconscience et l’avarice décimaient des générations de femmes et d’enfants accablés par un travail qui dépassait leurs faibles forces, et auxquels un salaire dérisoire permettait à peine de ne pas mourir de faim. »
Le petit bleu de la côte ouest
La vie, quoi.
jeudi 18 avril 2024
mercredi 17 avril 2024
mardi 16 avril 2024
Nul ne sait ce que peut le corps
lundi 15 avril 2024
dimanche 14 avril 2024
mercredi 10 avril 2024
Le complotisme est-il un humanisme ?
On s'endort un soir après avoir regardé pour la énième fois le Matrix des Wachowski.
À bien y réfléchir après coup et toutes choses égales par ailleurs bien pesées, ce patronyme ne semble pas avoir été choisi selon la pure blancheur candide du lin de l'innocence : « Watch of sky » (« Gaffe au ciel… »)
Là, on se souvient d'une ancienne antienne (car y'en a qui croivent au Ciel…), écrite par ce génie-crevard d'Aragon et mise en musique par La Tordue, et puis les yeux font flip-flop et on sombre dans le sommeil.
Bref, on se réveille le matin, café-clope malgré le crabe qui galope et puis la douche, on se pomponne devant le miroir et alors là, gaspos ! on remarque un truc super-bizarre qui est apparu au niveau de la clavicule droite :
Glups, aiuto ! qu'est-ce que c'est ce bordel ? On part en vrille illico en repensant à l'implantation du cafard-mouchard dans Matrix…
On tente de se rasséréner, on songe à cette vieille blague où un gars à l'air inquiet explique au toubib qui lui demande ce qui l'amène :
« Docteur, je suis à peu près certain que mon épouse glisse dans mon assiette une substance qui rend paranoïaque… »
Et puis je remarque la petite cicatrice au-dessus de la nodosité et alors là, BLAM ! l'évidence cartésienne s'impose, inéluctable : ON m'a trafiqué le corps en douce dans les bras de Morphée !
Qui, et dans quel but ?
dimanche 17 mars 2024
« Nous sommes des hommes libres ! »
mardi 5 mars 2024
« Le Bove, ici ? Oui, c'est une idée à creuser… »
lundi 4 mars 2024
Le bonheur, c'est quoi ?
mercredi 28 février 2024
I. A. (Mmmmh…)
Au compteur, Linky (scission ?) se porte bien, merci !
C'est eux deux ?
(dans mon école, on appelait cette classe-là « la Neuvième »)
Wesh, il semblerait en fin de compte, à l'heure du capitalocène, que l'humanité n'ait pas été si « humaine » que cela.
Même au cinéma.
Alfred Hitchcock, Roman Polanski, Woody Allen, Jean-Claude Brisseau (pour ne citer qu'eux) se conduisirent apparemment en pures ordures vis-à-vis du beau sexe.
Et pis aussi Jacques Doillon et Benoît Jacquot (de Nantes, si on fait les choses à Demy), qui apparemment kiffaient les godes rêches.
Et pire, bien avant, Fatty Arbuckle (mais qui donc s'en souvient ?)
Il paraît que même Hitler n'était pas très sympa, selon un témoignage apocryphe d'Eva Braun.
Platon, Aristote, Sénèque, Villon, Rabelais, Montaigne, Molière, etc., on sait pas trop.
Mais leurs œuvres sont disponibles, nullement interdites.
Contrairement au dernier film de Jacques Doillon, CE2, dont la sortie (initialement prévue le 27 mars) vient d'être repoussée sine die en raison de la fâcheuse confusion entre, disons, l'homme et l'œuvre, en 1984 2024.
Alors que, comme disait l'autre, « le style, c'est l'homme ».
Hue, go : tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes !
mardi 27 février 2024
La pédophilie est un jeu d'enfant
En déballant comme à l'accoutumée un carton de bouquins, je tombe recta sur ce truc dont l'illustration du premier plat me paraît un tantinet équivoque (édition de 1941, à ce qu'il semble) :
(Garanti sans retouche-touche)
Déjà qu' j'avais guère de flair, v'là qu'y a même pus d' mon nez
(et c'est de l'art, gens) !
Joel Grey & Liza Minnelli in Cabaret (Bob Fosse, 1972)
Pink Floyd - Money (1973)
ABBA - Money Money Money (1976)
Téléphone - Argent, trop cher (1981)
Stupeflip - Argent (2005)
« Alors rampe comme un chien, et surtout excuse--toi
D' toutes façons t'exist'ras plus quand j'aurais plus besoin de toi »
Le moyen de parvenir ?
Duel dans la boue (These Thousand Hills - Richard Fleisher, 1958)
— There must be a way to get rich without stealing !
— That's what our fellows the poor have said…
mardi 20 février 2024
vendredi 9 février 2024
La révolution ?
« Une jeune fille dénudée, impudique dans l'expression de ses désirs »
mardi 6 février 2024
Marx Attacks !
D'intéressants éclairages la semaine passée sur la genèse de l'œuvre de Marx : c'était en quatre épisodes, dans l'émission Avec philosophie de Géraldine Muhlmann :
Ma liberté : la faculté de me donner à moi-même Mélois
Elle a relaté son expérience de la chose en deux séances publiques à Paris : l'une à la Maison de la Poésie le 22 novembre 2022, après deux mois de résidence, et l'autre vers la fin d'icelle, le 22 mai 2023 à la Bibliothèque de l'Arsenal.
C'est instructif, drôle, ingénieux, émouvant… en un mot : jubilatoire.
jeudi 1 février 2024
vendredi 26 janvier 2024
Ta bite, Jeannette !
(Le rockeux film d'horreur, suite)
Ça fait quelque temps que je songe au film de Jim Sharman, The Rocky Horror Picture Show.
Hem, euh… quarante-cinq ans, en fait, au bas mot.
C'est mon amoureuse d'alors qui m'avait aiguillé sur cet OVNI — en même temps que vers Boris Vian — mais j'avais trois ans de moins qu'elle et jamais on ne s'est embrassés, la belle Laure et moi.
À cette époque, le film passait déjà au Studio Galande, mais sans alors tout le cérémonial bobo qui afflige aujourd'hui chaque projection.
(Ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard que j'ai appris qu'en vrai c'est Richard Jean-Élie qui avait eu le nez de récupérer en 1975 ce nanar — flop complet lors de sa sortie en première exclusivité à Paris — pour le Studio des Acacias qu'il programmait alors, et qui l'érigea au statut de film-culte. Mais j'ai déjà raconté tout ça durant des déballages obscènes.)
Outre l'intelligence de Jim Sharman qui bifurque l'intrigue du plus ridicule comique à un tragique assez pathétique (certes outrageusement grand-guignolesque), outre les époustouflantes abracadabrances de Tim Curry (mais pas que lui, et puis ce paragraphe s'enfle en ridicule utricule), c'est la B.O. de Richard O'Brien qui m'a instantanément saisi, au point de filer le lendemain choper le vinyle et l'écouter en boucle (pardois, hourrah ! avec ma Laure d'alors).
Voici quelque temps, j'avais adaptationné la splendide chanson du générique, et puis — allez savoir pourquoi ! — ça m'a récemment retraversé la tronche alors je me suis attelé à la traduction de l'intégralité du bouzin.
Là, j'ai réussi à débourzalinguer le deuxième morceau de l'alboume, avec la complicité de mon pote Henri — ce génie musical hélas si discret !
J'ai commencé par lui proposer une première version, après qu'il m'eut extrait l'instrumental pour que je puisse karaokéter le machin…
… après quoi il m'a filé quelques tuyaux pour enregistrer sur deux pistes séparées les voix de « Brad » et « Janet »…
… et pis il a recalibré un tantinet l'ensemble, et ça donne donc ceci :