… s'époumonait à longueur de journée Steven Spielberg en 1981.
Le malheureux supportait tellement mal l'odeur bizarroïde des excréments de sa créature qu'égaré il vociférait en français, langue dont il avait appris les rudiments grâce aux rudes diamants que lui avait inculqués François Truffaut (dit amant ?) lors du tournage de Rencontres du troisième type (ce troisième type, c'était Truffaut ???)
L'immonde bougnoule est fier de nous présenter l'index
qu'il vient de s'enfiler dans son fion radioactif
Mais à force de fumer la moquette Spielberg se plantait complètement, il avait zappé que cette créature n'était qu'une chimère qui ne chiait même pas sa sa mère.
C'est juste qu'au cours du tournage, radin comme pas deux, il ne voulait concéder aux accessoiristes que des sous-marques albanaises d'électro-portatif, alors qu'eux réclamaient non pas du Stihl ni du Makita ou du Hilti, nan, juste du Bosch ou au pire du black qu'est d'équerre.
Résultat du compromis : on s'est entendu sur du japonais, et voilà qu'Hitachi est partout.
Total : à force se s'emmêler complètement les pédales (ATTENTION ! aucune allusion homophobe ici !) dans la semoule de sa choucroute que croûte, Spielberg a tout confondu sa montagne de jeux, hi hi !
Ce qui puait la merde c'était juste le capitalisme qu'il s'activait à faire proliférer — mais ça c'était peut-être trop compliqué à piger.