Avertissement légal

Tous les textes apparaissant sur ce site sont automatiquement générés par notre nouveau logiciel Hétéronomix™ qui vous libère enfin de la pesante nécessité de réfléchir.
Ne perdez plus votre précieux temps de consommateurice à répondre à vos correspondants, les plus exigeants fussent-ils quant à la teneur conceptuelle ou la qualité des propos échangés : Hétéronomix™ se charge de tout ! Syntaxe et orthographe garanties parfaites et évolutives au fil des décrets.
Approuvé par la norme AFNOR ISO 9001.

samedi 29 juin 2013

Ôtez les faunes, que reste-t-il ? (3)

Hé bien, les réactions au billet précédent ne se sont pas fait attendre !

D'abord cette prouesse amateur ouïcide d'un certain Frédéric Chawa, dégottée par Perrache :



Et puis ce septuple envoyé par le playboy "Motoculteurs Attila" :















Ensuite, une salve de dix-huit morceaux (vingt-et-un au départ mais dont un doublon et deux que j'ai écartés : celui de Stevie Wonder, déjà proposé par Kamel, et celui de Plastic Bertrand, qui ne parle que du groupe Téléphone, pas de l'appareil) tirée par un quatuor de sportifs mabouls (Karim Abdul Jabbar, Brute Lee, Yvan Curkovic, Sultan Rahi) — qui sont autant d'avatars dudit "Motoculteurs Attila" :





































Ce à quoi je me permets donc d'ajouter d'autres suggestions, toutes dues aux robots et aux araignées fouineuses de Ioutioube :







… et vingt-deux ans plus tard, hélas :



(Ouf…), comme disait le soi-disant Sultan Rahi — à mon sens juste un autre masque du Tenancier — voici deux jours,.

Mais le pire, c'est que ce n'est pas fini…

mercredi 26 juin 2013

Ôtez les faunes, que reste-t-il ? (2)


Le précédent message au sujet des chansons ayant trait au téléphone a suscité diverses réactions plus ou moins judicieuses, que je me permets de rappeler ici :


(merci, M'sieu Pop !)


(merci, Florence !)


(merci, Carole !)

… et remerciements à PJB pour Memphis Tennessee, versions Chuck Berry et John Cale :





Grâce à Kamel :



Suggéré par PJB, appuyé par Carole :



Et toujours sur les conseils (d'ailleurs téléphoniques, mais pas chantés…) de PJB : Don't Let Me Hanging On The Telephone, de Blondie encore, dans sa propre interprétation puis dans celle des Nerves…





… et ce Telephone Thing, par The Fall (clip et version lailleve) :





et puis Vernon Reid, toujours via PJB :



Et merci à Carole, derechef, pour cette rareté (désolé, impossible pour l'instant de récupérer le code d'intégration).
Ah si, peut-être qu'en bidouillant un peu le code HTML… :



Une autre contribution de M'sieu Pop :



Et encore deux morceaux dégottés par Pop9 :





Grâce à Kamel, encore une fois :



De la part de Babeth, cette bluette déjantée que j'avais complètement oubliée depuis des lustres :



Une autre suggestion de Babeth :



Et puis toujours par le biais de Babeth, cette catastrophe musicale — sans doute la pire lie du répertoire de Christophe, qui semble en pincer à l'époque pour la princesse de Monaco :



Une trouvaille du Tenancier :



À propos de catastrophes musicales, cette aberration exhumée par Florence est particulièrement atterrante :



Voici la V.O. de Suzanne Fellini, bigotement affadie par Sheila :



Et du coup, depuis les suggestions IouTioube associées au morceau de Suzanne Fellini, je suis tombé sur ce truc qui sonne pas mal, même si je ne comprends rien aux paroles :



Ah, mais bon sang ! me revient soudain en mémoire ce tube abominable de 1977, en pleine vague féministe :



Et Babeth nous rappelle cet autre tube des années soixante-dix, absolument évident :


Je demeure évidemment preneur pour d'autres suggestions…

mercredi 19 juin 2013

Il n'y a point de mauvais livres...


— … Et puis, nous sommes à l'époque du papier. On fait tout, à présent, avec du papier.
— On fait même de bien mauvais livres, dit le Monsieur triste en hochant la tête.
— Il n'y a point de mauvais livres, répond le Monsieur jovial. Il y a des livres ; et il n'y en a pas assez. Je vous disais qu'il faudrait assurer des délassements aux classes inférieures. Eh ! bien, il n'y a qu'un délassement qu'on puisse raisonnablement leur permettre. C'est la lecture. La République a créé l'instruction obligatoire. Croyez-vous que ce soit sans intention ?
— Je serais porté à croire, hasarde le Monsieur triste, que l'instruction obligatoire a uniquement servi à former une race de malfaiteurs extrêmement dangereux.

Georges Darien, Le voleur [1897], rééd. coll. "10/18" n°586, 1971, p. 204

vendredi 7 juin 2013

État des scores


(version sous-titrée ici)

Dans le match d'à-peu-près qui oppose depuis près d'un mois le Moine Bleu à ma pomme, le score s'établit pour l'instant ainsi :
GWFW : 53
LMB : 45

Allez, cher Moine, encore un effort !