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vendredi 30 juin 2023

Hasard, bazar, busards, bizarre ?
Beaux-arts… ?
Ou réalisation de la conscience de soi ?



« Combien de Nahel n’ont pas été filmés ? »

« Marre de ce discours paternaliste. Ce n’est pas le temps de l’apaisement mais de la justice. »

« Nous les gens de banlieue, on nous reproche de ne pas être présents dans les manifestations. Pendant les Gilets Jaunes, on ne nous a pas vus, ok. Mais ça fait quarante ans qu’on est Gilets Jaunes dans nos quartiers. On n’a aucune leçon à prendre. De personne. »

« On est des oubliés. Ils ne donnent pas la vraie histoire à la télé. La vraie histoire, c’est qu’on a largement le potentiel de s’intégrer, mais qu’ils ne veulent pas qu’on s’intègre. »

« La vérité, c’est qu’on bute des Arabes, des noirs. Pourtant, nous avons construit la France. »

« Tu tues quelqu’un gratuitement, forcément que les gens se rebellent. Ça aurait pu être n’importe lequel d’entre nous. Discuter avec l’Etat ne sert à rien. »

« Ce soir, on va y aller […] Parce que depuis 2005, rien n’a changé. Les plus grands nous racontent, on lit des choses. Il y a eu Théo, Adama, Zyed et Bouna, maintenant Nahel. Depuis des années, il y a des bavures policières et on se fout de notre gueule. Pour que les choses avancent, il faut se révolter, tout saccager, faire un maximum de bruit. »

Libération, vendredi 30 juin 2023, pp. 2-4, passim

mercredi 28 juin 2023

Il faut mettre hors d'état de nuire ces tueurs de flics !



« le déferlement inouï de la part d'individus armés et violents [ayant pour] projet de blesser ou de tuer »
G. D., Ministre de l’Intérieur, lundi 27 mars 2023 (voir ici)
















Mais au fond… bah ! c'est pas grave tout ça, et puis sinon on soulagera en allant faire la grosse commission !…


Car ça fait du bien, hein ?
Tu renais, tueur-né…

dimanche 25 juin 2023

Tes lots s'rachètent ?

Quelque part entre Florac et Alès, alt. 590 m, samedi 24 juin 2023, 16h50

vendredi 23 juin 2023

TOUT LE MONDE AIME LES FLICS.
Même les chiens.


« En Lévi, t'as Sion »*


« Je lévite partout, partout il me poursuit.
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit ;
Ma mère chez sa belle devant moi s’est montrée,
Comme au jour de sa mort pompeusement parée ;
Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté ;
Même elle avait encor cet éclat emprunté
Dont elle eut soin de peindre et d’orner son visage
Pour réparer des ans l’irréparable outrage. »


 * : Désolé, je ne sais plus si c'est une citation d'Édouard Drumont, de Louis-Ferdinand Céline, de Robert Brasillach, de Pierre Laval ou bien de Georges Belmont !

Exclusif : le gouvernement s'apprête à dissoudre la police, la gendarmerie et l'armée !


« Le recours à la violence n’est pas légitime dans un État de droit et c’est bien cela qui est sanctionné », a déclaré le porte-vérole du gouparnement, Olivian Véreux.

jeudi 22 juin 2023

Elle est comme personne




Hé ouais : Capdevielle, ce poète d'Ibiza qui chantait exprès archi-faux et ultra-mal mais qui chiait déjà sur les fake news quarante ans avant qu'elles n'adviennent :

« Quand tout le monde est courbé sous le vent des fausses nouvelles. »

Et qui dégueulait la servitude volontaire.
Je suis peut-être un schnock mais franchement je trouve ça beau, nom d'un fer à cheval ! :

« T'en vas pas, petite :
Toutes mes forces me quittent… »


(Mais qui se souvient aujourd'hui de Petit Jo ?)



« Vous venez d'un rêve ancien
Mais ma mémoire est pas toujours prête »

mercredi 21 juin 2023

Y'en à marre, d'Hanin !


C'est pas pasqu[a]' il était le beauf de Mimitte, mais franchement ça me soulève et ça m'atterre, la casuistique du Sinistre de l'Intérieur !
Pour sûr, il manque pas d'armes, ah non ! et comme une guêpe hier, il te pique de son dard, manant, ce narvalo !

Rappelons juste que statistiquement, les premiers agresseurs/blesseurs/éborgneurs/tueurs en France sont vêtus d'un uniforme bleu marine.

Tiens, ça me rappelle un truc, un jeu littéraire.
S'agit juste de secouer les lettres comme dans un shaker.
Par exemple : D A R M A N I N, ça peut donner, entre autres joyeusetés :
M A R I N A D N
(comme l'ADN de la Marine, qui soi-disant le peine à mort, le Gérald).


mardi 20 juin 2023

Le regret du phalloplaste contrepétophile spécialisé dans les soins intimes aux malentendants (fort mal en tendant) mais en manque de patientèle


« À chaque jour
suffit sa peine »

(« Rien n'altère autant les qualités matérielles de la voix que de contenir de la pensée : la sonorité des diphtongues, l'énergie des labiales en sont influencées. »

Proust, À l'ombre des jeunes filles en fleurs)

Est-y benoît, Brutsche, ou… ?

En 1971, Nikita Phekté, de bien des mots parvint à arracher un interviouve à Alphonse Brutsche, le discret auteur qui venait de publier au Fleuve Noir un premier roman, le léonin La Guerre des Gruulls — ronflant titre qui cause de gens piètres entre fonds.
Cet entretien parut en septembre 1971 dans le n°88 de Galaxie, pp. 156-159. Mais un portrait en pied rend très faux : les réponses pour le moins énigmatiques de l'auteur, sous teinte de la plus parfaite cordialité, laissent néanmoins fort songeur quant à l'identité de l'écrivain qui se dissimule sous ce somme toute ridicule pseudonyme.

Une chose est cependant certaine, car il le suggère lui-même : sous ses allures de brute ce « Brutsche » — « juriste en droit féal » — est du genre pierre tendre, au fond.
Et il va son bonhomme de chemin, comme — selon le dicton eurélien — champs de pierres en Dreux vont.

dimanche 18 juin 2023

Du « Payez ! », du « Vieillissez ! », du Bourseiller !



L'idiot utile à la solde des récupérateurs mercantiles et du fétichisme de la marxandise — j'ai nommé : Christophe Bourseiller — a encore frappé : après sa Viémordeguidebor et sa fallacieuse Histoire générale [sic !] de l'ultra-gauche, voilà-t-y pas qu'il nous gratte les fonds de tiroir (qu'est-ce ?) avec une bio garantie 100% bio d'Alexander Trocchi — ainsi que je l'apprends à l'instant sur France Khü.



« Oui, c’était quelqu’un… c’est incroyable : vous savez, ce sont des gens… c’était quelqu’un, Alexander Trocchi, que TOUT LE MONDE A OUBLIÉ […] Personne n’en a entendu parler, j’suis allé même en Écosse, à Glasgow, sur les traces de son enfance, j’suis allé dans les librairies, les universités : PLUS PERSONNE NE LE CONNAÎT, il a été totalement éradiqué ! »
 
Rappelons juste  que l'ami Quadru a retraduit en 1997 chez Métailié Young Adam (paru chez Buchet-Chastel en 1964 sous le titre Le jeune Adam, dans une traduction de Bernard de Willerval) et que trois ans plus tard, en 2000, Michel Sitbon rééditait aux éditions du Lézard Le Livre de Caïn, initialement paru en français chez Julliard en 1962.

Une pratique révolutionnaire : la méthode du retrait



La Parenthèse d'Isa, quand on habite Alès (pas qu'on délaisse la bite…), c'est en direct sur Radio Grille Ouverte (88,2 MHz) le dernier jeudi du mois à 12h05, depuis octobre 2021, et on peut réécouter les chroniques ici.




Traité du trou du cul, Éditions de l'Opportun, 2020

dimanche 11 juin 2023

Johnny, sodomite multi-catholique ?



Tout de même, moi je trouve ça assez couillu, de beugler ainsi à la face des fidèles ouailles (d'ordinaire plutôt cul serré — ouille ! aïe !) dans ce clip où les échanges de regards avec les routiers ne laissent planer aucune ambiguïté sur sa  tendance ouvertement gay :

On a tous quelque chose en nous de tes messies
Cette volonté de prolonger la nuit
Ce désir fou : deux vits velus ou notre vit
[…]
Y'a peu d'amour avec tellement de vits
[…]
Ainsi vivaient tes messies
Le corps en fièvre et le cul démoli
Avec cette formidable envie de vits
Ce rêve en nous c'était son cri à lui
Quelque chose de tes messies…

mercredi 7 juin 2023

Ça va-t-y pas chier, avec la Schiappa ?

On peut se demander ce que c'est, au fond, Marianne

Après tout, il n'est que franche liste blanche !




Là, elle colle !






(Allez, encore un petit tour de prestidigitation de Valentina — je n'y puis résister tant elle me crépaxe !)


La société du spectacle


« Et ce n'est pas être raciste, que de dire cela »





La France, Monsieur.
Terre d'accueil, une vraie OAS is :
Esclavage, inégalités, hostilité


C'était hier
(c'est tes deux mains ?)



mardi 6 juin 2023

Et, rosse, il a vécu ce que vivait l'Éros ?


Jacques Rozier est mort.
Mais je ne sache pas que cela nous mène au séant.

On se souviendra peut-être que, si je ne me trompe, Eustache lui avait discrètement rendu hommage dans un film que célèbre encore plus allusivement la star War (Wong Kai) dans In the Mood for Love :

« Pessac, Pessac, Pessac… »


 

Adieu : file, hippie !


samedi 3 juin 2023

Ah là là ! La tante, all' a pus d'heure !




(Ah non, pardon, c'est la sœur…)

Brel, un brin gay, bringuebalé bali-balo chez les branleurs brindzingues ?


 

L'épineuse question du penchant à l'extrême-droite du grand Jacques, de prime abord incongrue, mérite néanmoins d'être méditée, à entendre ce troublant refrain :

« Ô mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux Zemmour… »

De l'économie des communautés




On a pu entendre la semaine dernière sur Radio-Paris une intéressante série sur l'organisation — tant en théorie qu'en pratique — des échanges matériels dans les sociétés qui veulent se déprendre de la marchandise.







À ce propos, je signale le dernier ouvrage de Léon de Mattis, Utopie 2021 :

jeudi 1 juin 2023

Mieux que la boucherie Sanzot : la boulangerie Au pain rassis !

Paris, rue de Mazagran, mai 2023

On a beau avoir la dalle, un sandwich confectionné voici quarante-deux ans, ça fait quand même pas très envie…