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Brassens et Bastien Vivès, « sexe-æquo » ?
L'infamie de Brassens est méphitique au point que ses disciples versent désormais dans la pédozoophilie :
Jusqu'à quand, grands dieux, tolérera-t-on ces abominations ?
celle-ci aussi est à ravir...
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=YOEE6HRjyeo
trisTOC-
Bien vu, Anonyme !
RépondreSupprimer"À ravir", j'irais pas jusque là, mais comme cette fois il n'y a pas eu "détournement de mineure" (même fictionnellement, si tant est que ce mot existât, et même s'il le regrette finalement), ça n'est pas suffisant pour les suiveur.e.s de Daniel Parker.
Urgh ! désolé, Tristan, j'avais pas vu que c'était toi !
RépondreSupprimerhéhé,
RépondreSupprimeren ce cas, pour en revenir à la maitresse d'école, nous pouvons jeter une esgourde à celle-ci (dans un tout autre style musical, certes):
https://www.youtube.com/watch?v=xOVkBKAaXz4
trisTOC-
Pétard, t'en connais de ces trucs de derrière les fagots !
RépondreSupprimerJe suis ébaubi par l'étendue de ton érudition musicale (mais j'arrive pas à comprendre les toutes dernières paroles, après "et depuis ce jour-là…")
en effet, la chute est difficile à saisir mais je crois comprendre "j'suis son p'tit décongestionneur".
RépondreSupprimer(interprétation sujette à caution toutefois).
trisTOC-
Mille mercis, sûr que c'est ça !
SupprimerDes cons, j'ai sillonneurs…
3 jours de renvoi ; 1 semaine et demi de renvoi ; les grandes vacances ? : des congés-stionneurs. Fantasme d'élève de troisième, devenu poète, amateur de jeu de mollet.
RépondreSupprimerDonc, "des congés si honneur", la chose est entendue, merci.
RépondreSupprimerMais qui se souvient encore de Guy Mollet 7