Connaissez-vous Jacques Barbaut,
Fils de Joseph d'Arbaud et de Greta Garbo ?
Il trouv' Lis(e) bonne mais s' barbe au Tage :
Sait-il seulement qu'on y nage ?
C'est qu'il préfèr' la mer* (Valéry ou Larbaud ?)
* : Que les freudo-œdipiens s'abstiennent de toute remarque, ça lasse :
« La mer, la mer toujours recommencée »
— Comment c'est ?
« La mer, la mer toujours recommencée »
— Comment c'est ?
Une autre publication qui elle circulerait sous le manteau, selon le Préfet maritime http://www.lekti-ecriture.com/blogs/alamblog/index.php/post/2017/12/19/Livres-d-artistes-au-siècle-dernier
RépondreSupprimerZ'êtes au courant M'sieur George ? Quoi t'est-ce ? Pouvez-vous nous en dire plus ?
Mais bien sûr, Anonyme José : je puis vous dire que ces documents me semblent tant hautement que microscopiquement intéressants, et bien mieux édités que la soi-disant Correspondance de l'animal.
RépondreSupprimerTout vient à point à qui sait attendre.
(Sauf pour les bourres, évidemment !)
Inconnu, oui mais certes pas anonyme…
RépondreSupprimerVous êtes un peu dur avec la "Correspondance" dudit car elle nous en apprend beaucoup – je sais que le mot correspondance hérisse tout un tas de puristes car il n'y a là que les lettres dudit mais pour qui connaît par exemple les 26 tomes de la "Correspondance" de George Sand, qui ne rassemblent que ses lettres, il n'y a rien de scandaleux dans ce titre.
J'avoue n'avoir jamais lu une ligne de George Sand et j'ignorais ce fait mais il est vrai que c'est le cas de la plupart des "correspondances" d'écrivains, sauf qu'on désigne alors plutôt la chose sous le titre de "Lettres" ou "Lettres choisies" — comme dans le cas de Mme de Sévigné, entre autres.
RépondreSupprimerJ'assume pour ma part ce "purisme" : le terme "Correspondance" laisse penser que l'ouvrage présente les échanges épistolaires, comme c'est le cas par exemple des deux volumes publiés par Champ Libre.
Il est vrai qu'"anonyme" n'est pas le terme approprié, puisque vous signez d'un prénom, mais il ne renvoie ici à rien de consistant, à l'instar de tous ces "Éric", "Gilles", "Arthur", etc.
Disons "méconnaissable", alors, ou "incertain", puisque ce prénom ne vous relie pour moi qu'à des commentaires autour d'un billet de voici plus de trois ans.
Comme vous verrez ici, il est aussi d'usage de parler de "correspondance" pour des lettres d'un seul auteur et de "correspondance croisée" dans le cas où un volume rassemble un échange de lettres entre deux personnes (par exemple : "George Sand et Victor Hugo : Correspondance croisée", voir http://george.sand.pagesperso-orange.fr/Biblio6.html).
RépondreSupprimerIl n'y a là rien d'extraordinaire, de fautif ou de trompeur, c'est un usage constant que le puriste peut aisément vérifier – mais bien trop souvent le puriste est aussi un pinailleur querelleur.
Quant à l'autre José, il semble qu'il n'y a pas qu'un seul âne qu'on appelle Martin, n'est-ce pas ?
Pour sûr, Arthur !
RépondreSupprimerEt brisons-là si vous voulez sur l'emploi du terme "Correspondance", dont l'usage atteste en effet à l'envi votre acception : tss-tss, ce n'est guère du goût du pinailleur non-querelleur que je suis !
Eh bien, George, si cette rapide discussion permet de ne plus parler d'une "soi-disant" Correspondance à propos des lettres dudit, on pourra dire qu'elle n'a pas été vaine.
RépondreSupprimerSur ce, mes meilleurs vœux pour l'année qui vient !