Une lecture par Gilles-Gaston Dreyfus d'extraits de l'ouvrage autobiographique de Gotlib J’existe, je me suis rencontré (Flammarion, 1993, rééd. Dargaud 2014), enregistrée en public au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme le mercredi 9 avril 2014 dans le cadre de l’exposition « Les mondes de Gotlib » et rediffusée dimanche dernier sur France Culture :
[Note du 15 août 2021 : C'est pas la peine d'essayer de piger quoi queude aux cafouillis du site de France Cul, l'émission n'y est plus disponible malgré une nouvelle rediffusion voici moins de deux ans !
Allez, je rebalance direct depuis mon espace de stockage :
Les liens fournis en commentaire pour la série d'À voix nue fonctionnent encore, et pour Le bon plaisir du 13 décembre 1997 c'est par ici.
Gotlib ayant cassé sa pipe neuf jours après la publication du présent billet, France Cul lui a consacré le 25 janvier 2020 un Toute une vie qu'on peut écouter ici.]
Bonne idée George, je me suis bien marré à l'écoute dimanche dernier.
RépondreSupprimerAh mais bon sang de bois, tu n'es donc pas rivé à Canal Sud Toulouse ?!
RépondreSupprimerIl y a certes de quoi bien rigoler, mais le plus fort est comment Gotlib parvient à transmuer ainsi, pudiquement et sobrement, la douleur de la perte horrible de son père, si jeune.
D'autres trucs sur ou avec lui sont encore disponibles sur le site de FC, notamment une série d'"À voix nue", faut que je m'en occupe.
Sinon, j'ai eu la bonne surprise de voir arriver Elliott hier soir, à la Parole Errante : chouettes moments !
À la vôtre dears !
RépondreSupprimerMarcel rules.
RépondreSupprimerLe titre des Mémoires de Gotlib évoque le livre "Dieu existe, je l'ai rencontré", d'André Frossard (1976), qui fut à l'époque détourné en "Dieu existe, j'ai marché dedans".
RépondreSupprimerJe rectifie la date du pensum d'André Frossard : 1969, année érotique.
RépondreSupprimerSur le site de France Culture, la page du podcast dit que le XML a du plomb dans l'aile et que rss_11498 ne répond plus, ou un truc du genre. C'est ballot.
RépondreSupprimerEt pis pour le podcast d'"A voix nue" avec le Marcel, c'est polop aussi. Grumpf.
RépondreSupprimerPas grave, M'sieu Pop, un p'tit coup de DownloadHelper ici pour la présente émission, et pour la série d'"À voix nue" c'est là, pis là, pis là, pis là et enfin là.
RépondreSupprimerMais on la trouve aussi sur Ioutioube, ici (sauf le cinquième épisode, apparemment).
Au fait, j'ai pas pigé votre premier commentaire : "Marcel rules", ça m'évoque bien quelque chose, mais quoi donc ?
To rule, c'est toucher sa bille, assurer à donf, dominer son sujet.
RépondreSupprimerGotlibolâtre depuis plus de quarante ans, j'ai toujours considéré que Marcel déchirait grave et je biche à la perspective de me taper les deux heures et demie d'interview biographique. Grâce à vous, soit dit en passant - ce qui nous autorise à affirmer solennellement : "Mister George rules".
Z'exagérez, M'sieu Pop, chuis qu'un modeste passeur qui sait contourner un peu les barrières de France Cul.
RépondreSupprimerSinon, z'avez vu qu'y a aussi un "Bon plaisir" sur Ioutioube, encore deux heures trente avec Marcel ?
Je connais le verbe "to rule", mais "Marcel rules" m'évoque par assonance et allitération autre chose sur quoi je n'arrive pas à mettre le doigt…
Ah ben merde, voilà qu'il n'existe plus !
RépondreSupprimerOuaip. Sale temps pour les coccinelles.
RépondreSupprimerÇa me glace le fluide…
RépondreSupprimerC'est pas marrant.
RépondreSupprimerJean-Pierre Liégeois.
Vieux lecteur du Var
Libérez nos camarades George Weaver et Serge Quadruppani !
RépondreSupprimerJe viens de rafraîchir et compléter ce billet, ça devrait rouler comme sur des coccinelles.
RépondreSupprimerYep.
RépondreSupprimerCe George, tout de même, quel homme !
Me faites pas rougir, M'sieu Pop, surtout que là je me sens plutôt aussi déshumanisé qu'un robot de maintenance routinière, à rafistoler tous ces liens évaporés !
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