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samedi 5 novembre 2022

Sévère drogue sonore


Ça s'appelle comment, cette maladie où une ritournelle vous obsède au point que vous vous mettez à l'écouter en boucle à volume de plus en plus fort, toutes baffles dehors, sans interruption, au point même de se réveiller la nuit pour la réentendre encore et encore — sans qu'on comprenne du tout la cause de cette fascination hébétante ?

3 commentaires:

  1. Touché-coulé, schizo, bravo !
    L'adolescence programmée, dirais-je même…

    (Enfin, dans mon cas — cas —, je devrais plutôt me contenter de l'obsolescence).

    Tu as vu le chouette doc sur Arte, aussi enthousiasmant que les propos de Lola Vallejo sur le climat aux infos de France Khü ce midi ?
    Par ailleurs, j'ai appris qu'un hebdo lèche-cul —ceci n'est pas une oxymore — a récemment fait sa une sur l'envolée des prix du carburant.
    C'était quoi, déjà ?
    Ah oui !
    L'Obs : « Oh, l'essence ! »

    Concernant le clip ci-dessus présenté, je trouve que c'est vraiment de la balle.
    Tout, mais alors tout : les mimiques d'AFD pareil à un vrai acteur, comment il passe de la grosse caisse au piano et retour, et ce montage effréné avec les plans de coupe sur Dorothée de Koon, déconne pas, ça dorlotte, hé !

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  2. En fait, même si je me suis longtemps régalé des films de Jacques Rozier et de Pascal Thomas, jamais j'aurais pu soupçonner que Bernard Menez rajeunisse ainsi pour accomplir pareille performance.

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