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mercredi 16 février 2011

Vieillir vers rien

37 commentaires:

  1. Moi, je classerais tout ça à la rubrique "Dans quelle étagère ?"

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  2. Au rayon Chasse : fumer provoque un vieillissement de l'appeau.
    Ou au rayon Conserves : l'alcool conserve les fruits, la fumée les viandes. Et les conserves ont pas mal d'importance, dans La route

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  3. Derrière le verre, serait-ce CravenA ? mais derrière qu'est-ce ?

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  4. Plutôt des Pall Mall sans filtre, j'imagine. Les Craven A, c'est pas mal non plus, mais c'est fini désormais : y'a plus, comme les Boyards, les Celtiques, etc.
    Mais derrière, je ne sais plus : des mini-tomates, peut-être ?

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  5. Oui, vous avez raison.

    Mais le vent ne reprend pas toujours ses tours.
    D'ailleurs, nous avons déjà eu cette discussion, me semble-t-il.

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  6. Je ne crois pas que le vous
    m'adresse
    alors
    une chanson

    http://www.youtube.com/watch?v=_r7BgRz-XKo&feature=related

    Pas sa meilleure, mais pourquoi pas
    Et au cas où, j'ai la mémoire qui flanche

    Par contre,ça a rien à voir, mais faut quand même que je dise
    je crois que le vent reprend toujours ses tours
    Est indépendant de nos désirs, volontés, désirs, et est pas spinoziste pour un sou
    Et donc chantons avec Brassens "j'suis le vent
    J'aime pas Brassens
    Il me hérisse
    J'aime pas Ferrat
    il me lamente
    Le vent de Trenet, c'est autre chose


    C'est quoi le livre debout ?

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  7. Pas un livre : un carnet. Pour écrire.

    Bien sûr que c'est à vous que je m'adressais.

    Et encore des désaccords : moi non plus je ne supporte pas Ferrat, mais Trenet me hérisse et je ne me lasse jamais de Brassens. Vous n'êtes pourtant pas religieuse, que Ferrat vous lamente !

    Merci pour cette étonnante version de Suzanne, avec la coïncidence que j'ai passé l'après-midi à écouter du Leonard Cohen, à cause de Joël H. (en alternance avec Barbara à ses débuts — Boutons dorés, etc. — il est vrai). J'ai des albums de Nina Simone, mais pas ce truc-là.

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  8. Ah oui, pour le vent : objectivement, bien sûr, du moins tant qu'il y aura de l'atmosphère.

    Mais quand on n'est plus là, l'air ne vous caresse ni fouette ou affole plus.

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  9. Ah bon ? Miss Watson te certifie le contraire.

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  10. Vous vous égarez, Moons.

    Le vent vivifie toujours tout, même s'il souffle les fleurs de pissenlit à les tuer.

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  11. On dit : "Vous êtes paumée, Moons, y a du vent." :-)

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  12. Vous avez de beaux carnets, G
    Même moi pour croquer, peindre, j'ai pas ça

    Les désaccords, c'est rien, vous le savez bien. Dommage pour Trenet. Ferrat a notre accord, c'est bien le seul qu'il ait trouvé ; que nous soyons bénis, les koko n'en demandaient pas tant

    Détrompez-vous, je suis très religieuse. Et, d'ailleurs pourquoi ne le serais-je pas ?

    Vous vez passé une bonne am si vous avez écouté Barbara.
    Pour elle, j'irai à Nantes
    à Gottingen
    Oui, la voix est, bien sûr plus pure et sûre à se débuts
    Mais quelle intensité, quel amour dans ses derniers récitals
    Je vais aller voir ce que propose Joel H

    Sinon, G
    si y a plus d'atmosphère, y a plus de vie et on se dit tous bonsoir

    Et l'air, ça fait, vous qui aimez tant Brassens

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  13. Bon sang ! Mais personne ne veut donc parler de La route, ce livre abominable et fantastique, où l'on crève à chaque page, fait de versets* qui vous filent la nausée, qu'on ne peut néanmoins s'empêcher d'avaler ?

    * C'est Jérôme Leroy qui parlait avec raison de versets à propos de la composition de ce livre, quelque part sur l'infect site Causeur.

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  14. J'ai eu la nausée toute la semaine, ce soir c'est plutôt Drieu la Rochelle, cigarette et jazz caribéen (expérience assez étrange d'ailleurs...), j'aurais bien besoin d'un verre. Vous devriez éviter les images aussi suggestives sur votre blogue.

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  15. Non
    La route
    pas plus le livre
    que le film
    Abominable, non
    Superlatif qu'il ne mérite pas
    Fantastique, oui, mais tant le sont
    Non,
    ça a pas marché avec moi
    j'ai pas crevé d'ennui
    j'ai pas éclaté comme une grenade

    Je lis peu Causeur, presque pas ; donc je ne sais à quoi "verset" faisait référence
    Mais, là, non, aucun rapport

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  16. Ah, encore caadeau
    toujours de la même du même

    http://www.youtube.com/watch?v=_r7BgRz-XKo&feature=related

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  17. Ouchh…, désolé, cher William, je ne puis vous refiler à tant de distance le "Four Roses" que minablement je m'enfile.

    Mais question suggestions, regardez donc ce bouquin infernal qui meurtrit tant ceux qui le lisent…

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  18. Mes excuses, thé : je n'avais pas vu vos trois derniers propos. La faute au bourbon qui bourre mal, sans doute.

    Ferrat avait tout de même quelques autres accords en poche, ne serait-ce qu'en mi ou en fa mineur, tandis que Brassens nous souhaitait bon vent.

    Les beaux moments que l'on passe àécouter Barbara ne sont pas toujours bons, mais vous avez raison à propos des variations d'intensité. Je ne suis allé ni à Nantes ni à Göttingen, juste à Bagneux, hélas.

    "Abominable" n'était pas un superlatif, juste un adjectif. Les versets, ça te nique, c'était , et veuillez pardonner le tutoiement.

    Merci pour ces incroyables réarrangements de Suzanne dont j'ignorais tout, et d'avoir remarqué l'éclatante grenade qui explose tous les ennuis, mais je ne me lasse pas de m'interroger sur votre religion.

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  19. je vais vous expliquer sa religion, c'est que, quand il n'y a que des curés et des rugbymen, Madame fait avec.
    C'est ce qui s'appelle, ne pas être influençable.
    Et dans ces conditions, Brassens, il peut aller se gratter (la guitare)

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  20. Ttttt, George.
    Vieillir est un boulot dont on s'acquitte mal avec de l'alcool moyen, pour ne pas le qualifier autrement...

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  21. mais pourtant on l'a pas sifflé celui-là !

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  22. On a tous en nous quelque chose de Tennesse Williams.

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  23. Oui, mais Samson... c'est un héros fortiche !

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  24. Ne m'appelez plus jamais Tennesse18 février 2011 à 18:22

    Je prends l'homosexualité
    Ne vous battez pas pour le reste

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  25. Et pour varier sur les
    Tennessee

    http://www.youtube.com/watch?v=ADCz4pXYoVo

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  26. ça vaut le coup.
    woué, je crois bien que y'a qu'ici qu'on est pas chez les dingues.

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  27. sur un toit brûlant18 février 2011 à 19:31

    chatte
    manifeste

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  28. et
    on m'oublie

    http://30.media.tumblr.com/tumblr_lb5r8nIz191qe5y7po1_400.jpg

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  29. Tout se fit ombre et aquarium ardent. Au matin, — aube de juin batailleuse —, je courus aux champs, âne, claironnant et Brando sans mon grief…

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  30. Sometimes, we're like a cat in a hot tin roof. Sometimes.

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  31. moi, je ne lis que des vostefeureux.

    ( version originale sous titré français).

    et ça me va très bien.

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  32. Sometimes
    mais pas toujours

    Sinon, G
    pour les grenades et la religion, on verra un autre jour

    qui sera ardant, je ne sais
    je préfère mai
    mais pas l'aube, ça me rappelle Hugo, et je crois pas que ce soit un bon souvenir

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  33. Et comment est votre poitrail ?

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  34. n, oh toujours la même, même si vous oubliez quelquefois de reconnaître

    La vôtre était fermée, mais qu'est-ce que cela change ?
    Ce sont détails ; à Paris puisqu'il n'y en a pas, peut-être ; On ne les montre jamais fermées

    entre
    autres

    http://www.gosee.fr/images/newsletter/_09_08/Nature-la-grenade.jpg

    mais il y en a tant

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  35. Merci, thé : très belle nature morte. J'ignorais qu'il y avait des lois sur la représentation des grenades, mais il ne s'agissait pas ici d'une composition, vous savez…
    Et bravo pour Bottom et ses Sabines de la banlieue.

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