Désolé pour le parasitage sonore de Bide et Musique au début et à la fin, je ne parviens pas à le supprimer :
Quant à ce Jean-Louis, on sait pas trop qui c'est, peut-être un satyre, mais c'était pas la première fois que Valia l'évoquait — comme une sorte de début de saga barrée, d'inquiétante étrangeté…
Incroyable ! c'est l'effet Marie-José Neuville (en toute innocence, naturellement !) qui vous amène à suspecter des problèmes et « une inquiétante étrangeté » entre cette Valia et ce Jean-Louis, « peut-être un satyre » ?
RépondreSupprimerPourtant, le lien que vous indiquez est explicite : « J'ai des copains, des amis, Rémi, Sophie, Julie, et puis aussi Jean-Louis » et ensuite, « Jean-Louis et moi, quand on sera grands, on s'aimera toujours autant ».
Bon, c'est le printemps et les amours enfantines des années 1970 vous sont maintenant devenues étranges, troublantes sinon suspectes ? Où peut donc se nicher le scandale ?
Triste, bien triste époque que la nôtre…
A mon humble avis, il s'agit d'un temps où on ne parlait pas encore de "familles recomposées".
RépondreSupprimerQuant au cas Marie-Jo Neuville, cette Soeur Sourire laïque et obligatoire, elle ose des textes que la nonne pétée n'aurait jamais osé chanter (oui, malgrè son "nique, nique" entétant dans sa chanson à la gloire du fondateur de l'inquisition, ce cher St Dominique)
Salud !
Bah non, rotophil, rien ne m'est plus plaisant que les amours enfantines et tous les contes de fées qui s'y associent, n'y voyez nul soupçon de remugle de scandale je vous prie !
RépondreSupprimerDans cette chanson guillerette, j'entends pour ma part en sous-main que les problèmes de notre jeune chanteuse sont moins ceux qu'elle évoque explicitement que ce qui en Jean-Louis lui plaît et la trouble, mais il est vrai que satyre dans tous les sens…