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mercredi 4 juin 2014
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Et en plus on voit un mec qui ressemble étrangement à Soral façon poster Warhol vers 1,50. Ça promet...
RépondreSupprimerAh pardon, ma bécane est tellement antique que j'ai même pas accès au visionnage !
RépondreSupprimerEn plus, je sais pas qui c'est, Soral, ça me rappelle un nom de truc de BD mais je préfère de loin Franquin et Charlie Schlingo.
Manset, ça se supporte quand tu veux emballer, parce que sinon...
RépondreSupprimerPour vous informer George, Manset est nazillard, Soral est nazi tout court... en revanche sa soeur vaut la peine de supporter Manset.
Enfin bref.
Mais enfin, George, Julien Soral, le fameux impétrant du roman. Et je confirme les dires du Tenancier, les charmes de sa soeur Agnès ont fait tourné la tête de plus d'un courtisan, bien qu'elle fut l'épouse légitime de René d'Anjou...
RépondreSupprimerElliott, je ne suis donc pas le seul, à propos de la sœur.
RépondreSupprimerVous avez sans doute un avantage sur moi si vous endurez Manset. Quoique, pour avoir déjà supporté l'épreuve, je fus fort récompensé de mon effort. Objectivement, on rétribua le sacrifice par des attentions, ce qui démontre que cet esprit de sacrifice en question vaut mieux qu'une disposition naturelle. Et puis, il y a des perspectives qui suscitent des audaces, aussi. Ainsi, la sœur... Pourvu que le frère ne se profile point (c'est pénible, la conversation avec les ras du bulbe...)
Hélas, M. Manset ne m'a jamais rendu le genre de service auquel vous pensez, Tenancier (est-il nécessaire de mettre un Mot sur la Chose ? ). Le Manset comme vous, c'est vrai, auparavant je l'endurais, et disons que grâce à George, j'en viens à le supporter, voire à le tolérer. Quant à savoir s'il faut sacrifier ses dispositions naturelles sur l'autel de l'effort, je vous laisse juge...
RépondreSupprimerEt pour la parentèle de la belle Agnès, Tenancier, cachez donc ce Soral que je ne saurai voir.
Ah oui, pardon, j'oubliais Agnès !
RépondreSupprimerEt un peu plus tard, quand elle sort, elle nous annonce que le petit chat est mort, c'est bien ça ?
En tout cas, rouge et noir, ça me convient à merveille.
Elliott, vous savez ce que c'est la mystique de l'effort, l'addiction à la récompense, on finit par faire n'importe quoi au nom de cela, y compris d'aller voir des films français, tenez...
RépondreSupprimerEuh, pardon, cher Tenancier, mais pour ce qui est d'emballer, je doute fort : Je n'ai rien à raconter, par exemple, ça me paraît pas top…
RépondreSupprimerElliott, ne vous livrez pas trop, voulez-vous ? N'oubliez pas qu'on est un peu surveillés, par ici…
Moi-même, j'ai rarement sé-
duit quiconque avec Le masque sur le mur.
Vous savez, George, le Tenancier s'est maintes fois risqué sur du bizarre, alors fricoter avec une fane de Manset est à sa portée. Il a bien vécu avec une thuriféraire psychotique de Phil K. Dick, alors...
RépondreSupprimerEt puis George, allez-y mou, mon gars, toutes vos répliques nous demandent de vous pardonner. Vous savez bien que c'est au-dessus de nos forces.
M'enfin George, je n'ai point mis de Mot su la Chose.
RépondreSupprimerEt c'est bien vous qui me renvoyez vers une mise en abîme sur je ne sais quelle Agnès au sein d' un château en Touraine. Puis vlà une vidéo de Manset où se déversent des cataractes de flotte...
Et gare, tenancier, l'amour rend aveugle, le cinéma français aussi.
Oui, j'ai remarqué, ça pique les yeux.
RépondreSupprimerEt pour cette histoire de petit chat qui fut un temps rouge et noir, voire carrément enragé, mon cher George, je vous renvoie ici. Gaffe, il a tourné mauve, voire guimauve.
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=rVQWhy3vZhA&feature=kp
Mais ça plaît aux minettes
Fouchtra ! mais pendant que je me déballe à fond sur Harry Potter ça cause à tout-va dans mon dos, par ici !
RépondreSupprimerOK, je vais aller voir ton truc Elliott : mieux vaut toujours guimauve que Guy Béart (sauf pour Laura.
Et chapeau pour cette phrase à graver sur tous les autels de marbre ou d'airain :
« L'amour rend aveugle, le cinéma français aussi. »