… que l'on a pu entendre sur France Culture au cours de ce ouiquènde.
D'abord, au cours de la Nuit rêvée de Nathalie Dessay, deux rediffusions d'un intérêt exceptionnel :
— le tout premier passage à la radio de Delphine Seyrig, le 5 février 1956, alors qu'elle débutait sur les planches et n'avait encore jamais tourné de film. C'est émouvant en diable, de l'entendre ainsi toute jeunette alors qu'elle nous a quittés depuis si longtemps déjà (mais curieusement, c'est Julio Iglesias qui mène l'entretien) :
— et un entretien avec Jacques Brel datant de juillet 1967, en trois parties :
Et enfin, qui donc recevait hier soir Hélène Hazéra dans son émission Chanson Boum ! ?
Cette folle de Brigitte Fontaine, tout simplement, pour notre plus grand bonheur :
D'abord, au cours de la Nuit rêvée de Nathalie Dessay, deux rediffusions d'un intérêt exceptionnel :
— le tout premier passage à la radio de Delphine Seyrig, le 5 février 1956, alors qu'elle débutait sur les planches et n'avait encore jamais tourné de film. C'est émouvant en diable, de l'entendre ainsi toute jeunette alors qu'elle nous a quittés depuis si longtemps déjà (mais curieusement, c'est Julio Iglesias qui mène l'entretien) :
— et un entretien avec Jacques Brel datant de juillet 1967, en trois parties :
Et enfin, qui donc recevait hier soir Hélène Hazéra dans son émission Chanson Boum ! ?
Cette folle de Brigitte Fontaine, tout simplement, pour notre plus grand bonheur :
Le Jacques Brel, je le trouve un peu sale con avec les femmes, très zemmourien. Bref, il m'a déçu. Mais bon, il est bon parfois de séparer l'homme de l'oeuvre. Il faudra que je me refasse Mon oncle Benjamin et La Bande à Bonnot pour faire passer ça.
RépondreSupprimerEn attendant passons à une femme contre exemple parfait de la vision que Brel a des membres de ce sexe : Brigitte Fontaine.
Effectivement on rigole beaucoup plus avec Brigitte Fontaine. Et c'est vrai que sa dernière chanson, sur son père, est très émouvante, j'en ai, moi même, humidifié ma cornée, oh, très légèrement, la saisie simultanée d'ordres de paiement vers l'étranger ne se prête pas aux épanchements excessifs.
RépondreSupprimerTu es décidément un garçon étonnant, Wrob, et tu me fais marrer : "saisie […] d'ordres de paiement vers l'étranger", j'avais jamais pensé à la chose !
RépondreSupprimerSinon, d'accord sur tout.
(Fait trop chaud pour en rajouter…)