Wesh… tout bien considéré, cette rachitique datée qualifiée d'actuelle « Ministre de la Culture » (hi, hi !) n'a peut-être pas tort de vouloir chausser les gros sabots d'André Malraux, vu l'impéritie dans quoi nous a plongés le démantèlement du service public de l'audiovisuel…
Rappelez-vous l'innommable bordel à quoi ça nous a conduits voici plus de trente ans — sans parler du début de démolissage de la création radiophonique sur France Culture par Laure Adler, avant que ses successeuses ne parachèvent l'anéantissement quasi-total…
Rappelez-vous l'innommable bordel à quoi ça nous a conduits voici plus de trente ans — sans parler du début de démolissage de la création radiophonique sur France Culture par Laure Adler, avant que ses successeuses ne parachèvent l'anéantissement quasi-total…
Comme ça va assez vite dans ce préliminaire au film du billet précédent, je me permets d'attirer l'attention sur les deux calembours au sujet de la série Matt Houston :
RépondreSupprimerG. Debord Houston
et ensuite
"Comment donc, Houston" (pour "Commandant Cousteau", natürlich…)
Pas sûr du tout que la holding France Médias n'achève pas totalement « le démolissage ».
SupprimerC'est en tout cas le point de vue de Sonia Kronlund ou de ce Lévrier. Dans leur bouche d'économistes la « fusion » remplace la fission avec le même objectif, l'hétéronomie.
Depuis l'allègre ministre et président du BRGM, la taque-tac-tique consiste à élever un mammouth pour couper dedans, au nom du réalisme gestionnaire.
Pas sûr du tout, notamment, que les statuts relativement autonomes de producteur sur France Cul – qui certes conduisent souvent à des idioties insipides ; mais permettent aussi, notamment, LSD, Les Pieds sur Terre, et nous laissent les Nuits d'Albane Penaranda – n'aillent pas à la déchetterie après charcutage.