Avertissement légal

Tous les textes apparaissant sur ce site sont automatiquement générés par notre nouveau logiciel Hétéronomix™ qui vous libère enfin de la pesante nécessité de réfléchir.
Ne perdez plus votre précieux temps de consommateurice à répondre à vos correspondants, les plus exigeants fussent-ils quant à la teneur conceptuelle ou la qualité des propos échangés : Hétéronomix™ se charge de tout ! Syntaxe et orthographe garanties parfaites et évolutives au fil des décrets.
Approuvé par la norme AFNOR ISO 9001.

lundi 18 mai 2009

À quand le napalm (de la grande gidouille) ?

Sept personnes, dont trois présentées comme des proches de Julien Coupat et les quatre autres comme membres d'un de ses comités de soutien, ont été interpellés en Seine-Maritime et dans les Alpes-de-Haute-Provence, lundi 18 mai. Les deux opérations ont été menées dans la matinée.
A Rouen (Seine-Maritime), trois personnes — deux hommes et une femme — présentées comme "proches" de M. Coupat ont été arrêtés par la sous-direction antiterroriste de Paris à leurs domiciles, selon un de leurs avocats. Selon lui, il ne s'agit probablement que "d'entendre ces trois interpellés", dont les identités n'ont pas été révélées. Leur garde à vue est susceptible de durer jusqu'à 96 heures.
Ces nouvelles interpellations dans l'affaire Tarnac font suite à celle de Tessa Polak, membre active d'un comité de soutien aux neuf personnes mises en examen, placée en garde à vue pendant 72 heures fin avril avant d'être relâchée sans aucune charge contre elle. De son côté, Julien Coupat a vu sa quatrième demande de remise en liberté rejetée par le juge des libertés et de la détention, mardi 12 mai. Il s'agissait de sa quatrième demande depuis son incarcération, le 15 novembre 2008

L'autre opération, qui s'est déroulée à Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence), a abouti à l'arrestation de quatre personnes, dont l'éditeur François Bouchardeau et sa femme. Ces derniers feraient partie du Comité de sabotage de l'antiterrorisme (CSA), un groupe de soutien aux personnes interpellées à Tarnac à l'automne 2008 pour le sabotage présumé de lignes TGV.
Selon des sources concordantes citées par l'AFP, ils sont accusés d'avoir diffusé un tract sur lequel apparaissait l'adresse d'une résidence secondaire de Bernard Squarcini, patron de la la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Le document aurait été diffusé par mail et lors de différentes manifestations, jusqu'à atterrir dans la boîte aux lettres de M. Squarcini.

Le Monde, 18 mai 2009

1 commentaire: