La traversée de Paris (Claude Autant-Lara, 1956)
« Voyous ! anarchistes ! mauvais Français ! »
Et dire qu'Autant-Lara est devenu un suppôt du FN peu avant de crever…
(bon, pareil pour l'anar surréaliste polardeux Léo Malet, c'est vrai, trois fois hélas !)
Décidément, la vieillesse est un naufrage…
Que voulez-vous, Georgie, une certaine tradition française dite "anars de droite", fourre-tout pour aigris ou passéistes crasseux, parfois non dénués de talent.
RépondreSupprimerD'autant plus dommage pour Autant-Lara qu'il avait commis un film faisant l'apologie du refus de marcher en pleine guerre d'Algérie.
Mais chez lui comme chez Malet, y'avaient des signes avant coureurs comme quoi ils finiraient pas joli joli.
Mais bien entendu mon cher, je suis on ne peut plus d'accord : y'avait des signes de leur (contre-)chant du cygne.
RépondreSupprimerComme disait grosso modo Spinoza (pour faire ultra-fissa) : les choses ont des causes.