C'est toujours un énorme choc fantastique de découvrir des cinéastes de première bourre, on se prend une sacrée claque et la beauté ressurgit, neuve et éblouissante comme au premier jour.
Cette fois, c'est Romain Gavras, certes « fils de » mais c'est pas pour autant qu'il faut lui tailler un Costa.
(Merci aux camarades de Firk, qui m'ont aiguillé vers Athena !)
(Merci aux camarades de Firk, qui m'ont aiguillé vers Athena !)
Notre jour viendra (2010), entre 01 h 07 min 15 s et 01 h 08 min 50 s.
0 urbanité(s) attique(s):
Enregistrer un commentaire