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lundi 4 février 2013
Et que là apparaisse la paresse…
Juillet 1994.
Irruption fracassante des Poissons Solubles dans le paysage musical français, hélas confinée à quelques happy fews.
Guetch écrit, Henri compose et Sandrine chante.
Le premier album s'intitule Les sept péchés capitaux, mais évidemment Guetch ne va pas se mettre à écrire des bondieuseries : tout en respectant la contrainte originelle, il organise le thème central de l'album autour de ce charmant phénomène tout féminin qu'on dénomme « menstrues » — le genre de truc qui emmène aux gogues…
Sept morceaux, donc, illustrant chacun une anecdote à propos de demoiselles aux prénoms divers en même temps qu'ils déclinent des variations ragnagneuses autour des sept péchés (« Pô glacé » : tel était jadis le moyen mnémotechnique pour se souvenir des initiales d'iceux : Paresse, Orgueil, Gourmandise, Luxure, Avarice, Colère, Envie).
Voici La Paresse, dont Paul Lafargue, entre autres, fit l'éloge :
Monomanies :
chansons entêtantes,
Guetch,
Henri Ancilotti,
Les poissons solubles,
Paul Lafargue,
Sandrine
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