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mercredi 16 février 2011
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De qui est "Franprix" ?
RépondreSupprimerLa jalousie m'étreint.
RépondreSupprimerSurtout que ce ne sont que des miettes :-)
RépondreSupprimerEnviron le cinquième. Le reste est en cartons, à pourrir lentement dans différents endroits.
RépondreSupprimerPas de quoi être jaloux, Wrob, tant qu'on a un bon bouquin sous la main.
Moons, "Franprix" était un projet de révolution de l'objet-livre voici quelques années, une sorte d'ancêtre de l'aillepade, mais ça a tourné en eau de boudin.
beau lieu
RépondreSupprimerLes cartons savent ce que nous somes.
sommes
RépondreSupprimerQue contrecarre-t-on dans son somme, thé ?
RépondreSupprimerSur la seconde photo, on note, au premier plan, sur la table recouverte d'une nappe à carreaux rose et blanc, le volume des « Œuvres » de Guy Debord paru chez Gallimard en 2006 dans la collection "Quarto". Bonne lecture.
RépondreSupprimerBon œil, Anonyme, mais les carreaux sont rouges, le flash les a pâlis.
RépondreSupprimerSi votre dernière phrase est un souhait, il est inutile.
Si, plus probablement, c'est un commentaire, itou. Non ?
À vous, Frédéric.
Il y a un petit rayon orientalisant, voire japonisant ou je me trompe ?(!)
RépondreSupprimerVous êtes un afficionado du marque-page, non ?
Désolé, ArD, mais je peine à comprendre les motifs de vos deux remarques.
RépondreSupprimerÀ part quelques Mishima, Kawabata, Lao She et les Notes sur l'oreiller, je ne crois pas avoir grand-chose en matière de littérature orientale.
Et je n'utilise de marque-page que lorsque j'ai conscience d'être trop éméché pour me souvenir ensuite du stade de ma lecture.
une horreur.
RépondreSupprimerPour ça que tant de gens sont paralysés par leur culture.
C'est défiscalisable au m2, je parie ?
« Cur aliquid vidi ? »
RépondreSupprimerViens voir mes estampes
RépondreSupprimerMoi je dis George WF Weaver a de la chance.
RépondreSupprimerPas sûr qu'une forme même bénigne de maladie soit une chance, Adria… On se met à lire des tas de livres en même temps, on n'en finit aucun, ou si peu : seulement les plus brefs, qui n'ont pas le temps d'être submergés par un nouvel attrait. Et on ne peut s'empêcher de poursuivre l'accumulation, et il faudrait ranger strictement tout cela pour retrouver aisément celui qui nous titille, dont du coup on rapporte un deuxième exemplaire par facilité…
RépondreSupprimer... tout est là, impossible de ranger strictement, mais j'envie vos murs droits sous mes combles à jamais acrobatiques...
RépondreSupprimerAh oui, les combles si charmants sont rétifs aux bibliothèques, à moins de se résoudre à restreindre l'espace disponible par de droits rayonnages. Le mieux est d'en dresser un, large, sous la ligne du faîte, accessible des deux côtés.
RépondreSupprimerMais ça divise la pièce en deux.
De chacun selon ses moyens à chacun selon ses besoins, il y a un pas, certes…