Quoi de plus providentiel qu'une pandémie pour dézinguer radicalement le Code du Travail ?
Suppression de la durée hebdomadaire maximale du travail, dates de RTT et de congés payés au bon plaisir de l'employeur…
Voir ici la loi d'état d'urgence sanitaire adoptée le 22 mars, pas vraiment dans le fil du mouvement du même nom en 1968.
Notamment, dans l'article XI (désolé, les frères Bernard !) du Titre II, la partie I, §9, p. 11, qui permet « aux entreprises de secteurs particulièrement nécessaires à la sécurité de la Nation ou à la continuité de la vie économique et sociale de déroger aux règles d’ordre public et aux stipulations conventionnelles relatives à la durée du travail, au repos hebdomadaire et au repos dominical ».
Suppression de la durée hebdomadaire maximale du travail, dates de RTT et de congés payés au bon plaisir de l'employeur…
Voir ici la loi d'état d'urgence sanitaire adoptée le 22 mars, pas vraiment dans le fil du mouvement du même nom en 1968.
Notamment, dans l'article XI (désolé, les frères Bernard !) du Titre II, la partie I, §9, p. 11, qui permet « aux entreprises de secteurs particulièrement nécessaires à la sécurité de la Nation ou à la continuité de la vie économique et sociale de déroger aux règles d’ordre public et aux stipulations conventionnelles relatives à la durée du travail, au repos hebdomadaire et au repos dominical ».
Cela n'étonnera personne puisque c'était inscrit de longue date dans les mots eux-mêmes :
MERDE AU CORONAVIRUS !
MACRON : « ADIEU, VERROUS ! »
MACRON : « ADIEU, VERROUS ! »
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