Voici quelques années, j'avais été englouti par les soixante-trois épisodes de Better Call Saul, le précouelle de la série Breaking Bad — nettement supérieur à icelle.
Huit ans après, Vince Gilligan propose une nouvelle série, Pluribus, nettement plus brève (neuf épisodes d'une heure chacun) et qui n'a rien à voir mis à part son actrice principale, cette teigne de Rhea Seehom.
L'intrigue tient à un fil, très mince mais considérable : la transformation radicale de la totalité de l'humanité (enfin, « la totalité » non ! Disons qu'une irréductible résiste encore et toujours à l'envahisseur…)
C'est intellectuellemnt vertigineux et spéculairement fructueux pour la réflexion poliique :
la proposition d'un communisme intégral, balancé par une dépersonnalistion totale des individus…
Au bout du compte...
Il y a 5 jours


0 urbanité(s) attique(s):
Enregistrer un commentaire