(On trouvera l'explication du titre de ce billet ici, pp. 13-14 du document)
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dimanche 20 novembre 2016
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Z'êtes fait avoir, George, c'est un faux.
RépondreSupprimerLe Musée Van Gogh
Amsterdam.
Tout de même, vous en mangez beaucoup, des bananes, Djodje.
RépondreSupprimerA propos de dessins, une nouvelle publication :
RépondreSupprimerhttp://www.actuabd.com/La-Ferme-des-animaux-d-Orwell-a-la-Librairie-Quilombo
Merci pour l'info, Tariq !
RépondreSupprimerCette Alice a décidément bien des cordes à son arc…
J'ai un bon souvenir du dessin animé (dont j'ignorais les instigateurs !) mais là le trait me semble un peu figé, trop statique, pas vraiment de son époque.
Les bananes, M'sieu Pop, c'est pour avoir la pêche !
Et Jules, le musée Van Gogh peut aller se faire voir aux chiottes : cette œuvre a été dûment authentifiée par les meilleurs spécialistes !
Bien joué George. Il n'y a pas de pp. 13-14. Du coup (hips !), mobilisé par la quête de "Napoléon", Paris y est partout, je lis tout, et c'est passionnant.
RépondreSupprimerBien joué aussi comme acteur, surtout la scène de la colère du mec très occupé.
pp. 83-84. Banane !
RépondreSupprimerOui, Schizo, ce sont les pages 83-84 du livre (il s'agit de la réédition par Joëlle Losfeld, me semble-t-il, non de l'édition originale de 1979 chez Belfond) mais bien les pages 13-14 du document PDF — ce pourquoi j'ai employé ce terme.
RépondreSupprimerJ'ai hésité avec "pp. 83-84" mais le document ne comporte que soixante pages…
Les bananes, y'en a déjà suffisamment dans cette petite vidéo !
Et oui, le bouquin est passionnant (et très drôle), bien plus que les mémoires de Pauvert.
:-)
RépondreSupprimerDites, Tenancier, puisque vous passez dans le coin, vous pourriez nous rappeler la référence du billet que vous aviez consacré à cette anecdote valorbo-losfeldienne ?
RépondreSupprimer(p. 71) De Losfeld, sur Breton, mais qu'on peut lire sans se soucier de qui il s'agit : "Dans les écrits de Breton transparaissent bien des allusions à sa haine du temps, tel qu'il s'écoule, à ce poids que le passé fait peser sur le présent, et à cette accélération aveugle en sens inverse qui s'appelle l'avenir : Breton s'efforçait de regarder l'avenir comme disponibilité pure et ne se rangeait pas derrière les faiseurs de projets (…). Mais pour quelqu'un de ce tempérament, le présent peut être « nul », désespérément vide, sans que passé ni avenir y portent remède. Aussi Breton a même évoqué le temps comme nœud de vipères, générateur d'ennui."
RépondreSupprimer(p. 72) Une formule de Breton dont on a pu croire le sujet désuet, hélas à tort (comme si l'accélération sus-évoqué avait fait revenir le poids sus-dit) : « tout ce qu'il y a de chancelant, de louche, d'infâme, de souillant et de grotesque, passe dans ce seul mot “Dieu” »
Beau comme un croisement de Magritte et de Marcel Duchamp !
RépondreSupprimer… sur une tour d'argent ?
RépondreSupprimerMerci, Monsieuye !
Passages judicieusement choisis et combien pertinents, Schizo (on voit très bien à qui tu penses puisque nous tournons dans la nuit), même si je ne me souvenais pas de cette allusion de Breton à Mauriac !
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