… de la première partie du film In girum imus nocte et consumimur igni, en musique, avec un récitant un peu trop emphatique, mais le montage est foutrement bien fichu. On s'amusera à repérer les détournements, d'ailleurs signalés au générique de fin.
C'est en trois parties. On peut télécharger le film sur cette page, et lire le texte sur celle-ci.
C'est en trois parties. On peut télécharger le film sur cette page, et lire le texte sur celle-ci.
L'autre débile trotskyste arrogant de CSP en dit pis que pendre sur son blogue SA. C'est en soi un gage de qualité
RépondreSupprimerSinon, trouvé au cours de mes errances bouquinistes, parmi beaucoup d'autres choses, pour votre histoire de 10-18 "Histoires comme si" de Klein (quat de couv de Sternberg.
RépondreSupprimerN° 924. Il m'est passé entre les mains. Couverture sur fond blanc, dans mon souvenir. L'une des seules anthologies de SF de la collection, avec Mourir au futur (n° 1048).
RépondreSupprimerQuant au film, c'est justement en passant l'autre soir chez votre cher brillant trotsque que je suis tombé dessus.
Encore un film comme ca et quelques articles de Causeur et je vais repasser a gauche je le crains.
RépondreSupprimerВсего удоброго.
« Total du fumier » ??
RépondreSupprimerPassez donc directement au communisme libertaire, cela vous évitera bien des déboires.
BBrother s'est pris un genitif dans l'oeil,profitons du week-end qu'il nous accorde.
RépondreSupprimer(ou bien avez-vous tape: droite+causeur ?!)
Nestor Makhno.
Dites, George, Histoires comme si c'est plutôt un recueil qu'une anthologie puisqu'il n'y a que des nouvelles de klein.
RépondreSupprimerAvez-vous dans vos caisses La conspiration des milliardiares de Lerouge. J'ai lu ça il y a vingt cinq ans et je ne les trouve plus. Trois volumes 10-18 si mes souvenirs sont bons...
Exact, pour le Klein, je m'étais exprimé un peu vite. Excellent auteur, au demeurant, qui a préféré consacrer son existence à diriger "Ailleurs et demain" plutôt que continuer à écrire. Le temps n'a pas d'odeur est le tout premier livre de SF que j'ai lu, voici plus de trente ans, et je me souviens encore de la quatrième, cette histoire des Sept d'Altaïr.
RépondreSupprimerQuant au Le Rouge, négatif, évidemment. Vous n'êtes d'ailleurs pas le seul à le chercher, depuis qu'il est également épuisé dans sa dernière réédition, chez Bouquins-Laffont (où l'on peut lire une brillante étude de Lacassin sur l'amitié entre Le Rouge et Cendrars, qui a composé un long poème — dans Au cœur du monde, me semble-t-il — par collage de phrases tirées de romans de son ami). Sinon, vos souvenirs sont bons : n°1148, 1149 et 1159. Le mystérieux docteur Cornélius, quant à lui, était en cinq tomes, La princesse des airs en deux.