Tout de même, moi je trouve ça assez couillu, de beugler ainsi à la face des fidèles ouailles (d'ordinaire plutôt cul serré — ouille ! aïe !) dans ce clip où les échanges de regards avec les routiers ne laissent planer aucune ambiguïté sur sa tendance ouvertement gay :
On a tous quelque chose en nous de tes messies
Cette volonté de prolonger la nuit
Ce désir fou : deux vits velus ou notre vit
[…]
Y'a peu d'amour avec tellement de vits
[…]
Ainsi vivaient tes messies
Le corps en fièvre et le cul démoli
Avec cette formidable envie de vits
Ce rêve en nous c'était son cri à lui
Quelque chose de tes messies…
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