Alors ces jours-ci j'en prends plein la tronche, au point que je me demande si je ramollis pas sévère du ciboulot !
Après la « redécouverte » de Francis Cabrel l'autre jour, voilà que m'interpelle (comme on dit quand on sait pas trop d'où on parle) un autre gugusse que jamais j'aurais songé faire débouler ici :
C'était en début d'aprème, dans L'Art et la matière, que j'écoutais sur une virago de route cévenole juste avant d'y prendre le cliché ci-dessus.
Je me suis demandé : « Putain mais c'est quoi ce truc, qui c'est ce taré ? »
(j'emploie toujours des jurons quand je me cause direct — ce qui n'arrive pas peu souvent)
Et quand après que le morceau fut passé j'ai su le nom du chanteur, je serais tombé sur les fesses si j'avais pas été assis au volant !
Après la « redécouverte » de Francis Cabrel l'autre jour, voilà que m'interpelle (comme on dit quand on sait pas trop d'où on parle) un autre gugusse que jamais j'aurais songé faire débouler ici :
C'était en début d'aprème, dans L'Art et la matière, que j'écoutais sur une virago de route cévenole juste avant d'y prendre le cliché ci-dessus.
Je me suis demandé : « Putain mais c'est quoi ce truc, qui c'est ce taré ? »
(j'emploie toujours des jurons quand je me cause direct — ce qui n'arrive pas peu souvent)
Et quand après que le morceau fut passé j'ai su le nom du chanteur, je serais tombé sur les fesses si j'avais pas été assis au volant !
Bah, Jojo nous fait son Charlton Heston à la fin de la Planète des singes.
RépondreSupprimerOu le même dingue de flingues dans The Omega Man, je dirais.
RépondreSupprimerAh, Omega Man, je l'aime bien. Sans doute parce que quand j'étais môme, ce nanard m'avait fait grande impression.
RépondreSupprimerAh, il arrive que Charlton t'étonne !
RépondreSupprimerQuand ce con va caner, ça relancera peut-être la réflexion sur la vente libre des flingues aux étazunis.