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mardi 2 octobre 2018

N'hésitons pas à nous mettre en Fred !


Du samedi 22 au dimanche 23 septembre, France Culture proposait une « Nuit rêvée » à Emmanuel Guibert.
Fondu entre autres de Fred Deux, l'artiste a choisi de faire rediffuser avant tout le « Surpris par la nuit » du 9 février 2001 que j'avais déjà donné à entendre ici en 2010 et derechef en 2014, mais les liens n'étant plus actifs, c'est l'occasion d'en reprendre une tranche !
On écoutera avec intérêt le premier entretien d'Emmanuel avec Mathilde Wagman, durant lequel il raconte sa découverte de Fred Deux et sa fascination hypnotique pour son œuvre sonore.

Je rappelle que l'intégralité des enregistrements personnels de Fred est disponible sur le site Les bandes magiques.



Ci-dessous, quelques clichés de l'intérieur de l'immeuble de Boulogne-Billancourt où Fred Deux a grandi de 1924 à 1941, et qu'il revient visiter en intrus en 1953 — selon ce qu'il raconte dans cette émission.
Ces photos datent de l'an dernier mais rien n'avait changé depuis, si ce n'est qu'il n'y a plus de porte à gauche au fond du vestibule pour descendre au sous-sol.
La cave a été aménagée en studio mais la locataire était en vacances ce 30 mars 2017 — ce pourquoi les volets sont fermés.


Au fond du vestibule, l'escalier descendant vers les caves et la porte donnant sur la cour.



Vue depuis le haut de l'escalier menant au couloir desservant les caves.
Ces marches, Fred les a arpentées des milliers de fois.



Vue depuis la cour.
À gauche, la porte qui se trouve au fond du vestibule, face à la porte sur rue.
À droite, les deux fenêtres qui donnent sur la cave, anciens soupiraux agrandis par le père.

3 commentaires:

  1. je suis en train de relire "la gana" et il faudrait que nous reparlions de la topographie.

    il y évoque notamment, et à plusieurs reprises, un long couloir entre le bas des escaliers et la cave:
    -> par exemple, chapitre VII ("plaque de fonte") de la 1ère partie :
    * "le couloir qu'il fallait longer pour aller à la pièce"
    * "le plus emmerdant, c'est l'escalier. il monte dans le noir. il faut sortir dans ce couloir, ouvrir une porte de cave et grimper. arrivé au vestibule d'entrée, là, ça va tout seul. lumière, grande fenêtre et même tapis sur les marches; le plus difficile, c'est le couloir. après tout, l'escalier, en le grimpant vite, je suis en haut. mais ce couloir. et ouvrir la porte, la refermer surtout."
    * "j'ouvre la porte (...) j'entre dans le couloir (...) j'ouvre l'autre porte (...) je monte (...) arrivé dans le vestibule"

    nous savons comment fred retravaille les souvenirs et la réalité, mais c'est étrange pourtant comme il insiste sur ce couloir alors que nous nous étions entendus sur le fait que la cave se situait juste à droite en bas des escaliers...

    tristan

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  2. Allons-y une bonne fois pour toutes un de ces jours, munis de tous les passages où Fred en parle, pour établir la vérité !
    Les passages que tu cites ne ma semblent pas contradictoires avec la topographie actuelle de l'immeuble, sauf qu'à l'époque il y avait une porte en bas des escaliers, donnant sur le couloir de la cave.

    Merci en tout cas à toi de te soucier encore de ces détails !

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  3. je profite justement de cette nouvelle lecture pour relever les passages topographiques ponctuant le récit.
    et la somme de ceux-ci, livres et cassettes confondus, devrait pouvoir éclairer nos lumignons.

    si tu es dans les parages cet été, attelons-y-nous, oui!

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