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samedi 6 septembre 2014
On déballe tout ou on se déballonne (13)
Foin de cafouillages : c'est évidemment à Annonay, pas à Aubenas, que Mocky a tourné Litan en 1982 !
À ma décharge, c'est quand même pas loin et on y était passé l'un des jours alentour, cet été-là — et puis j'arrête pas d'ânonner.
Monomanies :
Annick Terildjian,
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Déballages obscènes,
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Marc,
Nietzsche,
Pierrelatte
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La Cité de l'indicible peur, le film de Mocky avec Bourvil, là...
RépondreSupprimerMocky qui est méchamment chahuté ici : http://susauvieuxmonde.canalblog.com/archives/2014/08/13/30404296.html#c62603138
Mais je l'aime quand même, na !
Oui, merci Wrob pour la précision, ça m'était revenu peu après.
RépondreSupprimerLe film était sorti sous un moins bon titre, en phase avec ceux des précédents Mocky : La grande frousse, avant de ressortir sous le titre du roman de Jean Ray dont il est très librement adapté (je ne sais plus quel titre figure au générique de la copie que j'ai visionnée voici trente ans, au festival polar de Reims).
Pas que Bourvil, même s'il tient le rôle principal : Jean Poiret (avec sa bouche en cul-de-poule : "tsss-tsss"), Francis Blanche, Jacques Dufilho et ce merveilleux acteur de théâtre, Raymond Rouleau, qui joue le personnage du maire affublé d'un hilarant tic verbal (il ponctue toutes ses réparties par "Quoiaaa ?")
Et n'en déplaise à Tatum Jr, moi aussi j'aime bien ses films, même si le bonhomme est effectivement insupportable : en 1983, à Reims, il s'attribuait la paternité complète de La tête contre les murs, assurant que Franju n'y était pour rien, juste un prête-nom, et affirmait aussi que c'était lui qui avait suggéré à Paul de Senneville le thème musical d'Un linceul n'a pas de poches, qui fut un tube à l'époque ("Dolannes Melody", 12 millions d'albums vendus)…
Ânonnez, Ânonnez, il en restera toujours quelque chose (Michel Sapin, 1er avril 2040)
RépondreSupprimerÀ nos nez, ça sent le sapin !
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