Le cinéaste et militant indépendantiste québécois Pierre Falardeau, disparu fin septembre, avait présenté en 1993 une variation autour du film de Rouch, sur des images tournées en 1985 au Beaver Club de Montréal. Son commentaire est impeccable de mépris salutaire.
« Au Ghana, les pauvres mangent du chien. Ici, c'est les chiens qui mangent du pauvre… »
Je viens de lire le commentaire de falardeau, effcetivement impeccable de mépris salutaire... Aussi, permettez-moi de louer votre sens aiguisé du titre : "le temps des bouffons"...
RépondreSupprimerAh mais pardon, cher Rimbaud en verlan : tout le mérite en revient à Pierre Falardeau, qui a lui-même intitulé ainsi son film.
RépondreSupprimerCela dit, effectivement, il vaut d'autant mieux conserver un sens aigu que l'heure est grave…
Note pour Icarie :
RépondreSupprimerc'est vraiment dommage, d'avoir dézingué tous ces messages qui établissaient des correspondances si pertinentes…
je vous nomme
RépondreSupprimerRoi des inconséquents, George
je viens encore de trouver une grosse connerie sur votre blog là
Brigitte Fontaine, prohib
c'est quoi ce bin's ici ?