Grâce à Jacques Antel, qui dans Le contrepet quotidien (Ramsay-Pauvert, 1990) dévoila le sens caché du titre choisi par Jean Servier, nous savons que le monde de la vraie vie sera nécessairement peuplé de femmes légères nonchalamment allongées, de lorettes alanguies sous la couette : un horizon d'horizontales, hors de toute vénalité. Tu viens, chéri ? c'est gratuit…
Comme le disait Jérôme Leroy sur Causeur, le 10 août 2009 à 20h 20, « le communisme à venir sera balnéaire, sexy et poétique. »
Heureux de vous revoir. Et je vous trouve un peu sévère pour PMO qui fait une excellente synthèse sur les RFID
RépondreSupprimerEt ce billet sur Yonnet, ça vient? Non mais.
RépondreSupprimerJe rentre tout juste, avec une presque-main supplémentaire. Et j'ai fourché : ce n'est pas Yonnet, mais Bonnet : Jacques Yonnet, c'est l'auteur de Rue des Maléfices, le magnifique ouvrage sur le cœur du Paris des années quarante dont je vous causai jadis. Bon, je suis un peu débordé. Et puis, « procrastination un jour, procrastination toujours. »
RépondreSupprimerVraiment, cette synthèse sur les RFID promet plus qu'elle n'offre : n'importe qui de sensé sait voir l'envers des promesses mirififiques que les magazines de salle d'attente attribuent depuis des années aux RFID. Quoi d'autre, dans l'opuscule de PMŒ, que des avertissements sur le monde terrifiant que les nanotechnotrucs sont en train de mettre en place à TGV ?
Le titre est mensonger : les Laboratoires Servier ne produisent pas de suppositoires.
RépondreSupprimerPardon, Filegoude, je ne tombe que maintenant sur votre propos, dont nul signal ne m'a alerté (et ne venez pas, s'il vous plaît, me parler de dentifrice).
RépondreSupprimerVoulez-vous dire que l'utopie est une supposition ? Non, c'est un rêve orchestré.
Orchestré parce qu'on en connaît déjà la musique ?
RépondreSupprimerOu réglé comme du papier à musique ?