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Bon doc, Djodje. Merci.
RépondreSupprimerLe plus intéressant est à quel point les services mettent un fric et un temps fou à infiltrer des gens afin de fabriquer un ennemi intérieur et à le pousser au crime. Rien de très neuf là-dedans depuis Fouché.
RépondreSupprimerCeci dit, les britanniques sont effectivement spécialistes en la matière. Peut-être parce qu'à part leur boulot sur l'Irlande, où on ne compte plus les coups tordus, ils sont restés assez vexé de leurs cafouillages, par exemple, en cette occasion .
Ah, merde. Trop vite.
RépondreSupprimerC'était le Jules.
Oui, le côté pousse-au-crime est intéressant. En l'espèce, l'infiltré est décrit comme un théoricien médiocre mais un énervé, un qui ne freinera jamais le passage à l'acte, bien au contraire...
RépondreSupprimerEt puis il y a le robinet d'eau tiède médiatique, celui qui s'approprie les textes des ministères et des conseils d'administration, celui qui parla très volontiers de commando et d'ultra gauche.
Je me permets de renvoyer par exemple à ce billet, M'sieu Pop, mais tout le monde a en tête la une du Libé du 12 novembre 2008, "L'ultra-gauche déraille"…
RépondreSupprimerMerci pour le lien, Jules, je ne connaissais que l'édition hors-commerce (j'imagine qu'il s'agit du même texte) !
À ma connaissance, il ne s'agit pas du même texte. Il existe deux éditions, hors commerce, des délicieux communiqués de la Angry Brigade. Le bouquin sur le lien est la traduction d'un livre espagnol, un peu bordélique mais fort instructif, qui revient sur l'histoire du groupe et son époque.
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