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lundi 31 août 2015

C'est honnête, cette chansonnette !


Une charmante et mutine mise en abyme (mais est-ce bien le terme ?) chantée par Dranem :

21 commentaires:

  1. Nous sommes à tout le moins au bord de l'abyme, docteur Weaver. Comme d'habitude (Le trou d'mon quai...).
    Ce bon vieux Dranem a toujours des admirateurs. C'est réconfortant.

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  2. Cher professeur Pop, n'oubliez pas que c'est en confortant tant qu'on devient forte en cons (qu'on fore tant…)
    Hem.

    J'étais tombé sur cette merveille au hasard d'une compile en double-CD publiée par la chouette boîte EPM en 1993 et me suis aperçu qu'on ne la trouvait guère sur la Nouille, sauf sur un site russe aux alléchantes publicités mercantilo-pornographiques (que j'ai, dix yeux merci ! réussi à contourner…)

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  3. … mais, plus sérieusement, je ne parviens pas à retrouver le terme (existe-t-il seulement ?) qui caractériserait le fait de commenter ainsi, comme en aparté, le texte que l'on est soi-même en train de chanter (ou de réciter).
    Cela s'apparente aux didascalies, mais celles-ci décrivent la situation sur la scène, pas le texte même…

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  4. Le leitmotiv "Les marins s' marient pas Marinette ? Ouais, doit bien y avoir un nom, mais j'le connais pas. Disons qu'il y a un refrain dans les couplets, kwâ.

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  5. Si ça s'appelle, ce serait tout connement un aparté, non ?
    En tout cas merci pour ce Dranem que je ne connaissais point et qui reste tout en humour glacé et sophistiqué.

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  6. Non, non, M'sieu Pop, je parlais des jugements sur la chanson au sein même d'icelle (cf. le titre du présent billet, par exemple).
    Et sans vouloir enculer des mouches, il me semble, Jules, que l'aparté s'adresse à un autre public que le texte principal, ce qui n'est pas le cas ici…

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  7. Non à l'aparté, donc (Nelson Mandela).
    Il me semblait que ça aurait pu marcher aussi en digression pour un même public.
    Mais vous devez avoir raison, dear.
    Je cale...

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  8. Tu cales en bourre ?
    Bon, trinquons un coup , à la santé de guère des beaux airs !
    Comme en Maverick du Sud…

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  9. (Les tuileries)
    Cher George,
    Comme vous et comme l'anonyme du blogue de Florence, j'ai sans doute usé jusqu'à la corde ce disque de Colette Magny, (surtout pour ces deux chansons, Melocoton et Les Tuileries) et un autre de Jacques Douai (Maintenant que la jeunesse, etc.). Le frisson est garanti au seul souvenir de quelques intonations.
    J'ai été contente de voir le nom de Lucien Merer apparaître au cours des commentaires, car j'ai eu la chance de le connaître un peu. C'était le pianiste d'une tournée « Poèmes et chansons, messagers de l'histoire » avec Vicky Messica, Anne Sandrine et James Ollivier (dont je suis la nièce), (le 33 tours peut encore se trouver sur Internet). Disque que je connais pratiquement par cœur. Je dirais approximativement autour de 1970. Il était aussi drôle que talentueux et charmant.
    Aux dernières nouvelles, il vit encore en Bretagne nord.
    Peut-être sait-il pour « Les Tuileries », s'il y a une version par Georges Brassens.
    Ma mère a peut-être encore ses coordonnées.
    Bien à vous,
    Catherine
    (je n'ai pas réussi à vous envoyer ce message par mail !)

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  10. Merci pour tous ces renseignements, chère Catherine, et pour la mention de Jacques Douai, hélas bien oublié aujourd'hui (j'ai encore en tête son Vieux roi Chou que j'ai chanté durant des années) : la dernière fois que j'en ai entendu parler, c'était à propos de son infâme exclusion du Jardin d'Acclimatation, voici plusieurs années déjà.

    Et coïncidence amusante, j'ai le vinyle de 1968 de votre oncle !

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  11. Sinon, il suffit pour m'envoyer un mèle de cliquer sur l'adresse mentionnée en haut à droite dans la rubrique "On y naquit", ou plus directement ici (mais la teneur de votre commentaire n'intéressait pas que moi, j'en suis sûr…)

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  12. Je viens d'écouter "Le roi Chou" que je ne connaissais pas, et j'ai réécouté dans la foulée "Maintenant que la jeunesse" (la version qui dure un peu plus longtemps, est la plus poignante), et aussi "La partie d'échecs" que j'aime bien aussi.
    Pour mon oncle, ça me fait bien plaisir de croiser des gens à qui son nom dit quelque chose. C'est sans doute grâce à lui que j'ai aimé chanter, et aimé les poètes.
    Quant à Lucien Merer, mais c'est plutôt l'anonyme de chez Florence qui en parle, si jamais j'arrivais à le contacter, je lui poserais la question pour les Tuileries et Brassens.
    Bonne soirée,
    Catherine

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  13. Merci pour ces deux chansons, Catherine ! J'ai pu les écouter ici (et je constate que MusicMe propose maintenant d'intégrer un lectur embarqué, ce qui me sera fort utile…)

    Concernant Les Tuileries, vous seriez vraiment fortiche de pouvoir tirer l'affaire au clair mieux que l'incollable Anonyme (avec qui nous discutions déjà voici six ans de cette chanson ici…)

    Mais la fiche de la SACEM qu'il a consultée semble vraiment rien moins que fiable puisqu'elle indique Colette Magny comme compositrice et ne mentionne même pas Hugo…

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  14. Une de mes préférées dans mon vieux 33 tours de Jacques Douai est "Chanson vieillotte" (Mourir si délicatement ...).
    C'est en lisant le dernier billet du Marquis que j'y ai repensé et que je l'ai fredonnée.
    Pour les Tuileries, je vais mettre mes piètres talents d'enquêtrice à contribution !
    Quant à votre lien vers "il y a six ans", il est question au début du film "Les enfants gâtés" que j'ai revu il y a quelques jours (et que je n'avais pas oublié).
    Il est question aussi de Marc Ogeret (que j'aime beaucoup aussi, décidément).
    De fil en aiguille j'ai repensé à la fin du film "Le juge et l'assassin" où Rose entonne la chanson "La commune est en lutte..." reprise à la fin par Jean-Roger Caussimon, ce qui est un grand moment.
    Bien à vous,
    Catherine

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  15. Hélas, jamais vu de mon côté aucun de ces deux films…

    Oui, ce billet mémorable de 2009 a foisonné dans les commentaires : on y croise aussi Henri Gougaud et surtout Apollinaire…

    Je file (ré ?)écouter cette Chanson vieillotte, et ne doutez donc pas ainsi de vos talents : je suis sûr que nous serons bientôt certains de la chose…

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  16. Ooohhh Georgie Boy, votre vie effrénée de noctambule décadent vous a empêché de voir Le Juge et l'assassin ?!
    C'est une merveille, je préconise avec fermeté que vous corrigiez cette lacune, vous ferez un pas vers le bonheur.

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  17. Il n'y a pas de machine à bonheur, M'sieu Pop !…

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  18. Certes, mais dans le film en question, il y a la machine à zizique du père Caussimon et on n'est pas si loin du compte, vous verrez.

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  19. Pop9 a raison.
    Catherine

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  20. Lucien Merer a joué sa dernière note à Guissény sur la côte nord du Finistère nord il y a une semaine !
    kenavo

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  21. À 92 ans, donc, puisqu'il était né le 16 août 1927.
    Merci pour cette (triste) information.

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