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jeudi 17 décembre 2009

Un gadjo

Laure Adler n'est certes au mieux qu'une chienne de garde, mais Tony Gatlif, lui, est un Prince.
C'était hier soir, sur France-Culture, dans Hors-Champs.

3 commentaires:

  1. Epatant, ce mec. Je me suis dit que j'allais écouter quelques bribes, mais je me suis tapé les trois quarts d'heure.

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  2. Très cher George, si vous recroisez Laure Adler avant Noël, demandez-lui de s'arranger pour déposer dans mes souliers "ma" France Culture d'antan, celle du "Panorama" et des "Nuits magnétiques" entre autres.
    Pour le reste, je m'en vais écouter le sieur Gatlif, ce dont je vous remercie.

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  3. … et cette émission du samedi soir dont j'ai oublié le nom, celle d'Irène Omelianenko et consorts, avec sa "carte blanche" à des novices (Tentative première) et ses "Résonances", et Ingrid Naour, Dans la rue du sommeil rare, vous vous souvenez ? Ah oui : Clair de nuit, que ça s'appelait.
    Il faut reconnaître cependant que la mère Adler n'est pas entièrement responsable de la casse de France-Cul : elle n'a fait qu'accélérer les choses en supprimant brutalement, entre autres, le Panorama (sous prétexte que l'époque n'était plus aux débats !) déjà malmené par le suicide de Michel Bidlowski, puis Les décraqués. Mais en réalité, l'entreprise de démolition avait débuté deux ans auparavant, en 1995, à l'occasion d'un énième changement de président de la station. À l'époque, j'effectuais de gros travaux de réfection d'une bicoque, ce qui me permettait d'écouter de façon quasi-continue, et je me souviens que la grille de rentrée de cette année-là était déjà sévèrement amochée…
    Le plus dégueulasse, c'est qu'auparavant on pouvait encore retrouver des traces de cette radio si vivace d'antan avec les rediffusions nocturnes. Mais maintenant, nibe, à peine des miettes, l'essentiel de « France-Culture la nuit : un patrimoine radiophonique » est colonisé par les rediffusions des insipides émissions de la semaine, qu'on peut pourtant réécouter à volonté sur la Toile. Comme s'ils craignaient que celles-ci ne supportent pas la comparaison… Mœurs d'esclaves, époque de merde, retour à la nuit.

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