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jeudi 2 mars 2017

C'est moral, hein, régner…


© Jane Evelyn Atwood, 14 juin 2016

Un sacré mec — même si dans son angoisse permanente il l'ignorait sans doute —, droit dans ses béquilles, à qui je dois entre autres la vie.
Salut !

10 commentaires:

  1. Cher George, peut-être que je ne comprends pas bien et suis à côté de la plaque, mais dans le cas contraire... très amicales pensées.

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  2. Idem George.

    Il y a une ressemblance, la bouche, le sourire ?...

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  3. oui, de tout coeur avec toi,
    jamais faciles ces salauds de moments où nous sont volés ce que nous pensions éternels,
    la bise à toi, camarade .
    à bientôt !
    jean

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  4. Merci les amis, je suis touché de vos pensées.
    C'est très bizarre : je viens de lire un magnifique passage sur les rapports familiaux conflictuels sur arrière-fond de complicité dans Country of the Blind, le deuxième Parlabane de Christopher Brookmyre (je suis en train de tous me les enfiler à la queu-leu-leu, en flippant d'arriver au dernier vu qu'il a mis vingt ans à écrire ce que j'aurai lu en moins du dixième…)

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  5. Toujours dans Brookmyre ?! Et nous dans tout ça !? Nous sommes jaloux de cet écossais. Mais il va falloir qu'on aille voir ce que vous lui trouvez, quel est son secret pour vous avoir ensorcelé ainsi, nous privant ainsi de vos posts !

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  6. On pense à vous, George. Des bises.

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  7. Ah, voilà qui met du baume au cœur, cher Moine !

    Wrob, je termine de tout lire et je ferai un joli post bien mitonné de derrière les fagots…

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  8. Vous allez donc entamer la traduction de l'ensemble de l’œuvre non publiée en français de Christopher Brookmyre ? Voilà qui vous promet une belle occupation pour, au moins, les cinq ans à venir.
    Pour le reste, un fuerte abrazo, comme on dit là-bas, George.

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  9. Sa meilleure création est encore là, mon cher George. Nos pensées amicales, de la part d'E. et de moi-même.

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  10. Voilà qui est très gentil, cher Tenancier, merci ! Pensées vers vous, qui n'êtes pas si à l'ouest que ça...

    Hélas, cher Jules, je ne dispose pas des talents de Nicolas Mesplède, encore moins de ceux d'Emmanuelle Hardy ! Mais j'espère bien qu'un traducteur digne de ce nom s'y collera, et surtout qu'un éditeur se décidera à publier cette série de chefs d'oeuvre...

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