Mais pourquoi faut-il toujours qu'en fin de compte elles vous les préfèrent ?
Photo : Tal Zana
Le petit cercle se restreint, à force...
Et le communisme, au fait, il est où, dans tout ça ?
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Pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font. Que celui qui n'a jamais péché... Les premiers seront les derniers. Aimons-nous les uns les autres...
RépondreSupprimerIl est revenu ici. Hosannah nom d'un chien !!!
Mais au bout du compte
RépondreSupprimerOn se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde
Et c'est ainsi que l'on passe des brebis égarées au Berger…
RépondreSupprimerTrès reconnaissable, Wrob, en effet !
et mon luth constellé
RépondreSupprimerPorte le Soleil noir de la Mélancolie.
ps
G,
mon étoile, mon berger, comprends pas de qquoi vous parlez ; mon ordi refuse le lien de Wrob
ce soir on change de peau
RépondreSupprimeret on frappe au hasard.
Bizarre, thé : chez moi cela fonctionne sans problème. On tomde sur cette page du Jura Libertaire : "Jésus apparaît dans l’anus d’un chien". Et pour ce qui est du Berger, voyez donc l'auteur du texte transmis par l'Anonyme…
RépondreSupprimerMais évitez de me parlez du PSG, voulez-vous ?
ça fait pareil avec votre lien, l'ordi refuse ; que voulez-vous, il est prude ; je suis allée voir avec vos "
RépondreSupprimerDieu est partout, alors pourquoi pas ; sinon, je suis une fidèle , du psg, faut pas exagérer
bon alors, j'espère qu'on est sur écoute :
RépondreSupprimerJe voudrais que quelqu'un fasse sauter le sarco, qu'on puisse voir de quoi il s'agit !
G,
RépondreSupprimerJ'ai sans doute oublié car j'ai déjà du vous le demander.
C'est quoi "Terratil" ?
Quant au communisme, qui s'en soucie, à l'heure actuelle ?
Peut-être qu'il est dans la rue Terratil.
J'aime cette mise en musique de Ferré, Rutebeuf ; quelques autres aussi ; pas toutes
Moi aussi, évidemment. Et je viens de découvrir cet après-midi l'interprétation de Marc et André, qui vaut bien celle de Ferré. Leur "bateau espagnol" n'est pas mal non plus, même si la meilleure version demeure celle de Léotard.
RépondreSupprimerPour le reste, c'est un lamentable calembour : un mélange du slogan de mai 68 et de contrepet sur "littérature".
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RépondreSupprimeraîe, pepito !
pages 58-59
Léotard, oui incomparable.
RépondreSupprimerQui sont Marc et André ?
Vous êtes bien biblique, céans.
Pourquoi lamentable ?
Je n'avais pas vu, j'avoue, mais j'aime bien, après coup
ça y est
RépondreSupprimerai écouté
Marc et André
j'aime pas
c'est gentil
sans âme
interprétation trop honnête
pour être réussie
Moi j'aime bien la version de Joan Baez (mais des fois, je sais, je passe les bornes).
RépondreSupprimerOh, non, les bornes, elle les passe pas ; enfin, j'aime bien , aussi ; aimer bien, c'est pas trop aimer.
RépondreSupprimerMais, je crois pas que ce soit pas trop le problème, aimer bien.
Moi, j'aime bien le camembert.
sans rancune,Joël H.
RépondreSupprimerJ'aime bien ce que vous faites, pourtant n'étant pas nécrologue, mais ça a été plus fort que moi.
G a l'habitude, mais pour un nouveau venu, j'avoue que je n'ai pas été trop correcte ; je ne m'agenouille que devant l'anonyme historique, G me l'a demandé, c'est mon gourou.
RépondreSupprimertant pis
RépondreSupprimerje m'en vais crever
THE END
RépondreSupprimerJe ne crois pas que ce soit la première incursion de Joël dans ces parages, thé. En tout cas, nous sommes assez familiers chez lui.
RépondreSupprimerbira, je n'ai plus accès à Délimocheune mais merci pour l'article sur Le Bloc.
l'antidote au bled vu les babaches à la Pierre Rabhi
RépondreSupprimeret les fuck à la zone d'éducation populaire.
George,
RépondreSupprimerune question :
vu les circonstances, vous ne trouvez pas qu'il vaudrait mieux enlever des supermarchés les livres de Max Gallo ?
@thé: "Tous les agenouillements anciens et les peines relevés à sa suite."
RépondreSupprimer'cré nom de dieu, moi qui suis crédulement croyante
RépondreSupprimerG,
RépondreSupprimervotre blog me joue des tours
pendables
J'avais écrit un long commentaire et il a disparu
sans crier gare
C'était au sujet des agenouillements intempestifs ; enfin, c'était pas intempestif dans la citation du cher anonyme, mais c'est oublier que tous le sont
Je ne suis nullement férue en Rimbaldie, ça a l'air d'en être
2 décasyllabes
le 1°un gargouillis de bigote presque informe et rance
Le2°beaucoup plus enlevé, sons clairs, se terminant comme une déchirure de tissu
Voila, en gros ce que je disais
Oui, je sais, G, Vous m'avez conseillé d'écrire avant et de faire copier/coller ; je suis fainéante
Et, comme il se fait tard, que mes yeux se ferment seuls, une chanson, sous-titrée en français,où il est aussi question d'agenouillements
http://www.youtube.com/watch?v=r5x-2W8OArw&feature=related
Enchanté, thé : merci, même si vous me faites plier les genoux.
RépondreSupprimerQue vaut-il mieux, ou qu'est-ce qui est pire : des agenouillements ou des accroupissements ?
Deux décasyllabes, oui, en prononçant comme il sied "anciens".
Et vous avez bien sûr noté l'étonnant masculin de "relevés". Du même registre que le singulier "fuyant" après "lieux", toujours dans Génie.
La musique savante manque à notre désir.
J'ai
RépondreSupprimer"fuyants"
et non
"fuyant"
Cela dépend des éditions. Mais le mot est « au singulier dans le manuscrit, contrairement à une tradition éditoriale remontant à l'édition Vanier de 1895 qui l'orthographiait au pluriel », selon ce savant commentaire.
RépondreSupprimerOui, ai vu sur le manuscrit que vous envoyez en lien ; cela me semble étrange ce participe en lieu de l'adjectif verbal
RépondreSupprimerÀ moi aussi, bien sûr.
RépondreSupprimerMais la tentative d'explication dudit commentateur me paraît assez convaincante.
Il ne donne aucune explication ; il dit que c'est la graphie du manuscrit
RépondreSupprimerJe ne suis pas convaincue pour autant
Il me semble que si c'était le participe, et non l'adjectif, il y aurait une virgule entre "lieux" et "fuyant"
Pardon, thé, mais il faut lire plus bas, au milieu de la partie intitulée "Alinéa 1" : le commentateur échafaude une superposition de trois interprétations pour expliquer ce participe présent.
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