C'EST L'ANONYME
Ce lait, c'est l'aisselle scellée ?
Sellées [sur ces ânes honnis, hmmm…], sont-ce elles, qui décélèrent ?
Qui décelèrent ce rai-là, grès guère aigre agrippé, gris happé après Guy ?
Pas grave. Ô ma Nine, l'eau n'a ni mot à miner, ni l'homme à manier :
La manne y est — laminée et salie, mime anal, Elohim…
Là, c'est nos mines lassées.
« … mains discrètes, porteuses de clés, manieuses de bagues […] tournant le chaton qui rend invisible, je devins ce fantomatique voleur de momies lorsque… »
Il y a une histoire de théâtre fermé, aussi, dans ce prologue. Non.
« Un théâtre qu'on rouvre… Des plages, pour une saison désertes, une rue vide… tissent d'aussi effroyables complots que mille ans, et les secrets de l'Égypte… »
Bon, désolé Julien, M. Poirier : sauce blanche à tous les étages.
C'était sûr qu'on en finirait aux Syrtes
RépondreSupprimerSinon, oui, véritable problème, dès que qu'on essaie de commenter, et on a La Redoute, Et j'ai gagné des millions. George, vous ne pouvez rien faire ? C'est pareil chez Leroy. C'est quoi ?
J'ai bien compris que c'était pas essentiellement pour moi. Mais, comme ' The nana', je l'ai pris pour moi, je suis plus à ça près, George. Là, rideau, et j'ai pas encore parlé rhétorique, mais je suppose qu'anonyme en parle sans doute mieux que moi.
RépondreSupprimerComment croyez-vous que Blogueur gagne ses sous ? Non, rien à faire, désolé. Cela s'appelle le capitalisme. Cela s'appelle l'aurore rose et raide de l'horreur. On finira tous à la Redoute, à discuter de nos pertes au PMU. Cela s'appelle la fin du monde, lancinante et qui traîne.
RépondreSupprimerNous avons tout perdu.
Rideau ?
RépondreSupprimerRis, d'oser ces mots dits.
On verra ça, s'il en cause mieux.
"La the nana", non, rien à voir avec vous : ne nous croyez pas si sexistes. Urk ! des mots qu'il faut pas dire, présumeurs de tant de "E".
Bon, je suis encore au taf, là, faudrait songer à regagner mes pénates.
Ah, je me souviens soudain d'où ça vient :
RépondreSupprimer« Dans ces meubles laqués, rideaux et dais moroses,
Danse, aime, bleu laquais ; ris, d'oser ces mots roses ! »
Louise de Vilmorin, me semble-t-il.