Frank Dillon, il nous ressemble bien, au fond, à vous comme à moi. Sauf qu'il est un peu plus fou, et que ça le tracasse. Et que là où, vous et moi, nous contentons d'oublier d'écrire à notre vieille grand-mère pour le Nouvel An, lui, il va plus loin dans le crime : il tue, et plusieurs fois.
Mais au bout du compte, il s'estime aussi innocent que vous et moi. Est-ce le dernier des salauds, ou le premier des pauvres types ?
Mais au bout du compte, il s'estime aussi innocent que vous et moi. Est-ce le dernier des salauds, ou le premier des pauvres types ?
Facile, au vu des indices que vous laissez trainer dans les tags...
RépondreSupprimerPour les autres PdI, Google identifie le N° 3.
D'où le titre : faut bien un coup de pouce…
RépondreSupprimerLe n°3 est aussi excellent que le laisse présumer son PDI (Manchette en cause d'ailleurs quelque part dans ses Chroniques). Ce n'est pas le cas de tous, loin s'en faut. D'où l'intérêt de tirer de l'oubli ces PDI anonymes, dont soit dit en passant il me semble me souvenir que certains furent au début rédigés par le père Prévert.
Sinon, j'ai vérifié en librairie, pour Up your banners ! : la traduction en a bien été révisée, comme en témoigne le titre judicieux. Mais la première traduction française, ce n'était pas chez Minerve, mais chez Denoël, en 1972 (jolie couverture noire et violette).