Bourrage de crâne lumineux, France, mai 2024
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Rhô ! Sus au graphiste saboteur !
RépondreSupprimerAu graphiste de l'affiche, ou au détourneur ?
RépondreSupprimerDésolé, j'avais qu'un marker pourri en poche !
Au graphiste (viré de l'agence depuis) qui a, étonnamment, laisser trainer précisément là le pouce de la maîtresse queux.
RépondreSupprimerLe détourneur, pointeur dudit doigt, ayant fait le larron vue l'occasion offerte sur un plateau. Ce qui ne nous étonne guère.
Ainsi, hé, hé, c'est cette occasion (non rémunérée) qui est présentée en premier plan sur l'assiette masquée par le mot métier (et non pas emploi ni bullshit job, certes plus appropriés) : bon sang mais c'est bien sûr !
RépondreSupprimerJ'ignore comment tu as déniché que le graphiste/maquettiste s'était fait virer, mais ça me rappelle l'histoire du nègre de BHL qui avait glissé dans chais plus quel bouquin de philo de comptoir (à propos de Kant, sans doute) une très sérieuse référence à l'inexistant Jean-Baptiste Botul — sans doute pour désaccord quant à sa propre rémunération (l'affaire fut dévoilée dans un article du Nouvel Obs par une journaliste rencardée par le nègre en question, ça suscita rire jaune et embarras manifeste du mou veau filosofe).
Le botulisme et sa métaphysique du mou : vrai faux concocté par Frédéric Pagès, sans cible a priori, pris pour vrai par le plus célèbre des philosophes de service. C'est le Figaro qui en parlait le mieux.
RépondreSupprimerLa journaliste de L'Obs, c'était Aude Lancelin.
RépondreSupprimerÀ l'occasion de cette risible affaire, Mermet réunit les Botuliens autour du micro de Là-bas si j'y suis dans une savoureuse émission.