Pourquoi tester le peuple quand on le déteste ?
Boustrophédon, apophtegme & antanaclase
Il y a 2 jours
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Planqué au vert en pleine cambrousse, on comprend qu'on peut garder un humour distant, n'est-ce pas George ?
RépondreSupprimerBah, bien obligé d'être à la cambrousse, pour repérer les langues de vipères !...
RépondreSupprimerQuand on est réfugié à la cambrousse, loin du coronavirus, la question ne se pose pas : on doit pas faire le malin à ce propos, c'est bêtasson.
RépondreSupprimerEnvoyez-nous plutôt des photos printanières de votre paisible campagne… ça nous changera du harcèlement policier.
Vous m'avez l'air bien renseigné, Jojo : vous ne seriez pas membre d'un groupe de radiophiles, par hasard ?
RépondreSupprimerEn tout cas, "loin du coronavirus", vous n'en savez rien, pas plus que moi d'ailleurs.
Et puis s'il n'y a certes pas de harcèlement policier loin des villes, les gendarmes ne sont pas en reste.
Ce qui devrait nous inciter à relire Charles Cros, puisque tandis que le peuple est contraint de se claquemurer, le hareng sort.
Z'êtes un rigolo, m'sieur George !
RépondreSupprimerSe réfugier dans un coin où habitent 15 habitants au km2 et dans un hameau de 6 habitants, on vous voit effectivement très très mal parti pour affronter la vague de coronavirus !
Et on imagine avec effroi les hordes de la Gemmerderie nationale venir vous harceler !
Cette expérience extrême fera toujours un beau roman pour la rentrée…
S'il y en a une !
Bon, à part ça, c'est juste que j'ai les glandes d'être confiné en ville…
RépondreSupprimerVivez au mieux votre réclusion volontaire, c'est le bonheur que je vous souhaite.
Bon courage à vous, ça va être long et très pénible.
RépondreSupprimerMême si on s'en fout, figurez-vous que je ne suis pas parti "me réfugier" : ce séjour était prévu de longue date, tout comme le concert à la Cité de la Musique auquel je devais assister hier. Je me suis retrouvé coincé là, voilà tout.
Heureusement en tout cas qu'on a fait notre A[n]PéRo le 7 mars !