En plus tout va bien : leurs tueurs sont morts maintenant !
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Il y a 2 jours
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Tu trouves pas ça touchant, toi, ces efforts qu’on fait pour faire revivre l’esprit Charlie ? (sa fraction bête et méchante, en tout cas).
RépondreSupprimerJe ne sais pas si tu as lu le nouveau numéro, je crois que effectivement, c’est mort.
Même si certains ont fait leur autocritique, et tentent d’assumer l’héritage. (cf l'actu en patates, le blog)
Bon, tu me diras, il a fallu faire face à un turn-over important et subit au sein de l’équipe rédactionnelle.
J’avoue que le mauvais esprit est ce qui s’imite le mieux à moindre effort.
Pour écrire un édito à la Bernard Maris, y'a encore du boulot.
È vero.
RépondreSupprimer(et j'en suis fort marri[s])
Plus sérieusement, l'histoire est salement compliquée car très peu au fond se souviennent de celle de Charlie Hebdo, sur laquelle pour ma part je pourrais donner une conférence, en remontant à Les Cordées, Zéro, l'époque du colportage dans la rue ("Vous n'avez rien contre la jeunesse ?")
Mais là, pas envie, je baisse les bras qui m'en tombent (même si je ne mets pas un genou à terre, mieux vaut dresser le poing !)
Amitiés,
G.
Comme disais Jean-Paul II: "N'ayez pas peur".
RépondreSupprimerJ'ai fait une faute d'orthographe, c'était disait, il disait. J'espère que Jacques Lacan ne va pas me sodomiser pour ça.
RépondreSupprimerVous connaissez le couple Adam et Isis? Parce que cé un juif et une égyptienne mais je crois le couple devait être Adam et Ève puis Isis et Osiris mais Carl Gustav Young a dit: "Oui mais anima (ovule) et animus (sperme), ce serait mieux Adam et Isis".
RépondreSupprimerVous savez, quand je parle longtemps, ça n'en finit plus. J'espère que Jean-Marie Le Pen ne sera pas faché de ne plus avoir d'ostie catholique romaine, une et apostolique. Fille aînée de l'Église, je te chatie.
RépondreSupprimerBonjour Jonathan,
RépondreSupprimerJ'entrave pas grand-chose, mais bienvenue.
Soit dit en passant, Jung était allemand, pas anglo-saxon…
Et Le Pen avait repris ce "N'ayez pas peur !" en 2002 mais la phrase date de bien avant Jean-Paul II, me semble-t-il.