Boustrophédon, apophtegme & antanaclase
Il y a 2 jours
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C'était vraiment très bien ce Discours. Je ne connaissais pas du tout Ascanio Celestini en fait, avant que mon frère ne m'offre cette place au théatre du Rond-Point (c'est un peu l'usine là-bas, soit dit en passant, on se croirait un peu dans un de ces cinoches commerciaux démesurés). J'ai été agréablement oppressé par cette ambiance à la Kafka ou à la Buzzati, jouissivement effrayé par cette férocité à la Swift, et réconforté par cette éthique de classe rigoureuse derrière l'ironie cynique. J'ai ri à l'humour noir (entre autre le pastiche de Swift, dont tu as mis l'illustre Modeste proposition en ligne il y a peu), et presque humidifié ma paupière (le passage sur Gramsci, dont je ne connaissais quasi rien, est très émouvant). Le comédien est excellent, mais il me semble que ce n'est pas le même au théatre (David Murgia) que celui de l'émission de France Culture, ce dernier ayant, d'après mon frère à qui j'ai envoyé ton lien, un accent belge qui ajoute encore au décalage familier du texte (je n'ai pas eu le temps d'écouter l'émission).
RépondreSupprimerA voir, donc ! Dommage que ça se termine demain...
Merci, Wrob.
RépondreSupprimerC'est pourtant bel et bien David Murgia dans l'émission mise en ligne ci-dessus, enregistrée les 13 et 14 janvier au théâtre du Rond-Point.
Peut-être ton frangin a-t-il podecasté l'émission, auquel cas le Discours ne début qu'après 25'50" : auparavant on entend une lecture d'un texte de Peter Handke, Bienvenue au conseil d'administration, par Sami Frey (qui n'a pourtant pas l'accent belge, du moins à mon oreille !)