L'ambassadeur catholique Paul Claudel, qui traita publiquement dadaïstes et surréalistes de pédérastes, ne pouvait cependant se retenir de mouiller à la seule idée des organes qu'il les imaginait planquer dans leurs calebards.
À preuve, ce titre tardif qui leur rend indirectement hommage, contrepèterie oblige :
Mais n'oublions pas qu'en poste en Chine durant quatorze ans, de 1895 à 1909, avant de claquemurer sa sœur, il avait largement eu le temps de s'initier aux vertus du thé. Et comme chacun sait, le thé…
Il y a toujours quelque chose d'absent qui me tourmente
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