M'est revenue récemment à l'esprit la chanson-générique de ce feuilleton-là, une improbable coproduction télévisuelle franco-roumaine de 1972 — après l'ORTF, mais la guerre froide durait encore, doucement.
J'avais sept ans — je laisserai toujours dire que c'est le plus bel âge de la vie (bien qu'il y en ait d'autres, aussi, très heureusement), celui des premiers baisers, de la découverte de l'émoi —, je descendais regarder ces Haïdouks (au nom qui n'était que sonore à mon esprit si puéril) dans la loge des concierges portugais (deux ans avant la « révolution des œillets » aujourd'hui célébrable) de l'immeuble où nous habitions, moi et mes parents qui « n'avaient pas la télé ».
Les causes, naturellement, produisent des conséquences — sans quoi on ne pourrait leur accorder cette dénomination.
Mais c'est parfois contre certaine surdétermination jadis soulignée par Althusser.
À quoi ça tient ?
Boustrophédon, apophtegme & antanaclase
Il y a 2 jours
et les nikdoulles,
RépondreSupprimerc'est ceux qui parlent d'"occupation ottomane" , alors ?