Boustrophédon, apophtegme & antanaclase
Il y a 2 jours
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C'est pas un peu droit-de-l'hommiste comme iconographie ?
RépondreSupprimerAh, mnais bien sûr que sti, cher ami. Et attendez, dans le précédent message, j'ai failli renvoyer à un blogue de "Casseur de pub" chez qui j'ai trouvé l'image de l'autocollant, et qui explicite la teneur du message "1 seconde…" A ma décharge, j'ai retourné en miroir l'affiche originale de Topor.
RépondreSupprimerJ'avoue avoir fixé l'autocollant en question sur mon cartable de collégien circa 1983, ce qui ne nous rajeunit pas.
RépondreSupprimerAttention, Nicolas, vous livrez des informations compromettantes : vous étiez collégien en 1983, l'année du surgissement mitterrandien du FN ? Hmmm…
RépondreSupprimerJ'ignorais qu'Amnesty avait décliné l'irréfragable Topor en autocollants. Mais des affiches, il y en avait eu des paquets, depuis 1978.
« … eût décliné », peut-être. Trop de fatigue, désolé.
RépondreSupprimerCoïncidence ?
RépondreSupprimerOu les grands esprits se rencontrent ?
"Grand esprit", parlez pour lui ! (sans contrepéterie). Marignac, veuillé-je dire. Mais du génie en question, j'en pincerai toujours plus pour les Mémoires d'un vieux con : jamais autant pissé de rire à la lecture d'un texte, je crois. Même Un jumeau singulier.
RépondreSupprimerNon, pour "eût "
RépondreSupprimerIl y a un linguiste que j'adore, c'est Gustave Guillaume
Grévisse n'est pas linguiste, et il est belge
A ce propos, le dernier DW paru chez Rivages, Envoyez les couleurs, n'est pas inédit : il fut publié en 1989 sous le titre Pour une question de peau chez Minerve; mais vous le saviez sans doute déjà.
RépondreSupprimerOui, ça Minerve, c'est dégueulasse, de changer ainsi les titres : attrape-gogos. Je m'étais fait avoir, déjà. Sauf que la traduction a dû être révisée (enfin, j'espère). Toujours pas lu, depuis cette dizaine d'années qu'il trône sur ma table de chevet. Mais parce qu'il paraît que c'est le "moins bon" de tous ses romans, et d'ailleurs le seul "blanc" (amusant, cela, vu le titre français); enfin, toujours à ce qu'on m'a dit… Heureusement, deux ou trois Dortmunder restent à venir.
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