L'un des producteurs les plus lénifiants, léninisants, platonisants et pontifiants — bref, mortellement chiant — de France Cul, qui même si tu viens de gagner l'Euromillion te donne direct envie de te tirer une balle dès la première seconde de sa chronique de philo à 10h55 (Frédéric Worms, par ailleurs dirlo de Normale Sup…) s'est cependant, bizarrement, trouvé moins dépourvu lorsque la bourrasque fut venue grâce à Grégoire Bouillier qui déboulait.
C'était le 20 juin 2019, à propos du deuxième tome du Dossier M :
Merci George.
RépondreSupprimerPas mal en effet ce que dit ce Bouillier : "la temporalité propre à l'amour" (vers la 15e min.), "toute la mémoire convoquée dans le présent" (vers la 40e).
Paraîtrait que ça ressemblerait au rapport aux révolutions...
Mais, mais non. Toutes les chansons d'amour ne sont pas tristes. La preuve !
C'est vrai qu'il est grave chiant, ce Worms. On confirme.
RépondreSupprimerOuaiche.
RépondreSupprimerDirlo de Normale Sup, c'est éberluant (souvenons-nous, misère ! d'Althusser, qui n'était que cacique…), mais en poésie pas si Ferré : "Worms, Worms, Worms"
Gaspos !
SupprimerPas "cacique", mais "caïman".
(Désolé, je n'y étais pas — heureusement pour mon bonheur du coup possible !)
Hey, scihizo, merci pour cette version du tube que je n'avais découvert qu'avec Boney M (et merci à elleux !)
RépondreSupprimerEt dire que je croyais que tu allais me mener vers les Rita Mitsouko période "Les histoires d'amour finissent mal"…
Pas triste, "Sunny" de Bobby Heb ? Eh ben , il vous faut quoi de plus qu'un chant à un frangin poignardé ?
RépondreSupprimerMerci pour l'info, Jules, j'ignorais (et je sais pas si schizo savait).
RépondreSupprimerN'empêche que ça file bien la patate !
Vous avez raison, Jules, pour ce qui a motivé la chanson, mais celle-ci transfigure la peine (ici) : Thank you for the smile on your face.
RépondreSupprimerEt personnellement, je vois aussi d'autres sourires, personnellement croisés, les plus vrais de mon existence. Ceux qui m'ont fait feel ten feet tall quand the dark days are gone and the bright days are here.
Que soixante millions de fleurs s'épanouissent !
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