C'était donc mardi dernier, le 14 janvier, à la gallimardienne Librairie de Paris place de Clichy, pot de sortie de la réédition considérablement augmentée de l'obus mahousse de Grégoire Bouillier (le Livre 1 en trois tomes format poche, pour l'instant), mais infoutu que je fus d'abord de trouver l'endroit et d'appuyer sur les bons boutons j'ai raté le début.
Pierre Baux et Laurent Poitrenaux ont délectamment excellé, tout le monde se régalait, on en oubliait presque le buffet si prometteur (mais on s'est amplement rattrapé ensuite.)
Cerise sur le gâteau, une sonnerie de téléphone portable a retenti dans l'assistance environ treize minutes après le début de l'enregistrement, au moment précis où Laurent Poitrenaux lisait le passage où Grégoire enfourne un portable vibreur dans l'entrecuisse de F.
D'où les esclaffements du public.
C'était pas du tout prévu, ça a déstabilisé Laurent un instant, mais franchement, on aurait voulu minuter pile-poil, on n'aurait pas fait mieux (sauf que, las ! cette sonnerie-là n'était pas la musique du tube d'Alain Souchon)
Cerise sur le gâteau, une sonnerie de téléphone portable a retenti dans l'assistance environ treize minutes après le début de l'enregistrement, au moment précis où Laurent Poitrenaux lisait le passage où Grégoire enfourne un portable vibreur dans l'entrecuisse de F.
D'où les esclaffements du public.
C'était pas du tout prévu, ça a déstabilisé Laurent un instant, mais franchement, on aurait voulu minuter pile-poil, on n'aurait pas fait mieux (sauf que, las ! cette sonnerie-là n'était pas la musique du tube d'Alain Souchon)
Alain Souchon : Foule sentimentale
Sinon, l'émission sur Wagner, il semble que c'était celle-ci :
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