C'est juste que, rapport au billet précédent, j'ai de la suite dans les idées…
— Ah bon, mais t'en as très peu pourtant (décidé)
— Ta gueule, la mémoire !
Et c'est pas parce qu'il nous servait à boire / Qu'on oubliera l'espoir / D'un grand soir
— Mouaif…
À cette époque-là, en 1946, il n'y avait plus de Führer, en effet, même si les deux candidats de 1988 rêvaient de l'être, chacun à sa manière.
Intéressant lapsus, tout de même, ce « 1946 » pour « 1986 », surtout de la part d'un vieux briscard auréolé de sa Francisque qui avait auparavant cherché à en remontrer à un Marchais qui lui-même protestait ses grands dieux que jamais au grand jamais il n'avait filé comme un agneau au STO.
Comme a priori ce Chirac qui assure ici n'avoir jamais « levé le voile », lui qui quinze ans plus tard nourrira l'animosité contre le hijab.
Sans parler du burkini, que ce même Chirac aurait pu — dans un futur antérieur conditionnel, temps hypothétique s'il en est — revêtir avec une élégance peut-être bernadettesque pour se baigner dans la Seine.
Intéressant lapsus, tout de même, ce « 1946 » pour « 1986 », surtout de la part d'un vieux briscard auréolé de sa Francisque qui avait auparavant cherché à en remontrer à un Marchais qui lui-même protestait ses grands dieux que jamais au grand jamais il n'avait filé comme un agneau au STO.
Comme a priori ce Chirac qui assure ici n'avoir jamais « levé le voile », lui qui quinze ans plus tard nourrira l'animosité contre le hijab.
Sans parler du burkini, que ce même Chirac aurait pu — dans un futur antérieur conditionnel, temps hypothétique s'il en est — revêtir avec une élégance peut-être bernadettesque pour se baigner dans la Seine.
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