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lundi 16 juillet 2018

LGBT ? FLNC ? LAPD ?
LBLC !
Laissez bronzer les cadavres



Nous sommes le 16 juillet, qui ne tombe pas cette année un vendredi comme en 1971 mais peu importe : c'est l'occasion de saluer la splendide adaptation par Hélène Cattet et Bruno Forzani du premier roman de J.-P. Manchette-Bastid, sortie l'an dernier dans une indifférence hélas tout aussi splendide que celle de leurs premiers créateurs envers l'art et le spectacle, entre autres.


Tarnaqué par George WF Weaver at 19:06
Monomanies : , , , , ,

4 commentaires:

  1. Wroblewski18 juillet 2018 à 10:06

    Ça fait envie, cette ambiance estivale dans le sud ! Ah ! les chanceux vacanciers ! Le farniente, sex, sun, etc. !

    Plus sérieusement vu que c'est un des Manchette que j'ai lu, je veux voir ce film. Avec spaghetti et Morricone, en plus, j'y tiens mordicus !

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  2. Jules22 juillet 2018 à 13:38

    Un peu trop tarentinesque à notre goût.
    Mais ce n'est qu'une bande annonce...

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  3. George WF Weaver22 juillet 2018 à 20:01

    Et la bande à nonces, c'est forcément papal : d'ailleurs, dans ce film, toute une cérémonie mystico-ondino-érotique se déroule autour d'une croix, dans la jeunesse espérante de Luce.

    Tu as raison, Jules, car Tarentino a abondamment pompé entre autres les mamelles de Sergio Leone (qui n'a réalisé sur la fin que de déplorables drouilles, reconnaissons-le !), mais pas mieux, à bien y réfléchir, que le couple qui a brillantissimement réalisé Amer et L'étrange couleur des larmes de ton corps : il n'a fait qu'en recopier les codes,tandis qu'eux s'en sont réapproprié le langage pour tenter d'avancer vers quelque chose d'autre.

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  4. Frankie1 août 2018 à 16:03

    Pour voir ce film, vous pouvez aller là :
    http://www.voirfilms.ws/laissez-bronzer-les-cadavres.htm

    A part ça, le début du film avec tir sur poches de peinture, c'est pompé directement sur les "Tirs" de Niki de Saint-Phalle, la bien-nommée, qui opérait ainsi au début des années 1960.

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