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Grumpf.
RépondreSupprimerEt comme, par ailleurs, l'intelligence devient artificielle, voilà qui nous augure de beaux jours.
RépondreSupprimerTu étais en train d'écouter les Matins de FC, quand tu as écrit ça ?…
RépondreSupprimerBingo !
RépondreSupprimerEt c'est pas terrible pour le moral.
Tonnerre, doudou, tu veux dire que vous ne passerez jamais cette chanson ???
RépondreSupprimerLes références musicales de notre hôte témoignent de l'activité festive forcenée qui fut la sienne tout au long des années quatre-vingts. Belles années qu'il traversa en se trémoussant avec grâce et entrain dans des tenues ébouriffantes, faisant l'admiration du Tout-Paris noctambule.
RépondreSupprimer"Pas de soirée réussie sans Georgie Boy, l'ambianceur suprême", lit-on à la page 27 des Mémoires de Régine, visiblement toujours pantelante lorsqu'elle évoque le déhanchement diabolique de l'artiste.
Certes, Régine n'était pas lasse au Palace, mais hem ! cher M'sieu Pop, j'espère que vous n'irez pas pousser vos indiscrétions jusqu'à révéler ce qui se passa entre nous dans les toilettes de l'établissement…
RépondreSupprimerNon, je n'aime pas les ragots. Et puis il faudrait expliquer que votre pudique "entre nous" désigne également Amanda Lear, Dalida, une caisse de champ' et un seau de coke. Je ne veux pas débiner, ce serait mal.
RépondreSupprimerAmanda Lear ? Dalida ? Mais ce n'était que vétilles, voyons !
RépondreSupprimerNon, c'est surtout à vous que je pensais (mais chut !)…
Je n'ai qu'une réponse réponse à cet échange distingué.
RépondreSupprimerAh, merde ! Encore une erreur de manip'. Groumpf!
RépondreSupprimerC'est donc de ma part, cher ex jeune homme chic des eighties.
Georgie Boy, vous êtes un sacré fripon.
RépondreSupprimerTout doit disparaître ! 120 % de réduction.
RépondreSupprimerJeanne Hachette, mais Mireille Darc.
04 : 46 : signé schizosophie. (fait chier la machine)
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