Boustrophédon, apophtegme & antanaclase
Il y a 2 jours
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Mais à quelles conclusions aboutissent donc vos déductions, cher Holmes?… Isoard serait-il/elle plus malade que guéri(e)? Ou bien serait-ce pire encore?
RépondreSupprimerQue pourrait donc être ce pire, sinon l'extrémité de l'approbation de la vie selon Bataille ?
RépondreSupprimerVous avez décidément une âme de détective, cher ami, ce qui n'est hélas pas mon cas malgré ce titre !
Quoi qu'il en soit, mon hypothèse est expliquée par cette image (existante), où IEG se reconnaîtra — ou pas.
MERCI DE VOTRE PENSÉE
RépondreSupprimerj'y cogite
— Néo-néon
C'est pas vrai !
RépondreSupprimerEuh… j'avoue ne pas saisir grand chose, dans ces deux derniers commentaires.
RépondreSupprimerSinon, IEG, concernant la "production un tant soit peu personnelle" que vous réclamiez, je dois dire que le genre de commentaires que m'a valus par exemple ce billet ne m'y incite guère.
Et je précise qu'il n'a jamais été dans mon intention de laisser sur ce blogue-ci la réplique du vôtre : je voulais juste une explication de votre part. Mais une fois de plus, on ne s'est pas compris.
Moi, je ne comprends rien
RépondreSupprimerni pourquoi on renvoie à ce billet
RépondreSupprimerTout simplement parce qu'aucun des commentaires n'avait trait au fond du billet, thé : comment penser un matérialisme conséquent ?
RépondreSupprimerEffectivement
RépondreSupprimerMais, quelquefois, la digression n'a rien de fortuit.
Je ne sais pas si
RépondreSupprimerphilosophiquement parlant
votre question
a
un sens
C'est exactement le paradoxe que je cherchais à mettre en évidence, thé : penser le matérialisme.
RépondreSupprimerG
RépondreSupprimerVous savez bien, vous, assidu de Spinoza, que si on ne le pense pas le matérialisme n'existe pas, pas plus que le reste
Pas chez Spinoza, thé. S'il est vrai que de toute chose il est une idée, l'idée qu'est cette chose n'a pas forcément l'idée d'elle-même. Une pierre, par exemple, n'a pas conscience d'elle-même, parce qu'lle n'est physiquement pas suffisamment variée.
RépondreSupprimerCe que vous dites ressort plutôt à l'idéalisme, et nous envoie presque chez Berkeley.
Fredric Brown a écrit une nouvelle sur ce thème, je ne sais plus où : un son au milieu d'une forêt que personne n'entend existe-t-il seulement ?
Mais bon, tout dépend de ce que vous entendez par "on".
C'est votre Spinoza à vous, George
RépondreSupprimerPar
On
je n'entends ou n'attends pas plus que vous
Non, pas à l'idéalisme
Vous n'êtes pas plus pierre que moi et ne sauriez
Mais pas à une pierre
Vous savez bien que Spinoza ne s'est pas attaché à ces choses-là
Je n'ai pas dit chose
Je ne sais qui est F Brown
Mais, non
quoique ce soit qui soit engendré
n'existe pas pour l'être humain
s'il ne l'a pas entendu
C'est pour ça que, dans nos cultures,
on a Bernadette
Fatima
etc
Je parle de mes cultures car je les connais miezux ; ça vaut aussi pour les autres
J'avais jamais dit
que
l'idée de la chose
soit
l'idée d'elle-même
réduction de l'idée de Spinoza à une vision platonicienne qui n'était pas la sienne
Mais pas à une pierre
RépondreSupprimerVous savez bien que Spinoza ne s'est pas attaché à ces choses-là
Mais si, thé : jusqu'à la proposition 14 de la deuxième partie de l'Éthique, Spinoza parle des choses en général, pas seulement des êtres humains. Et c'est lui-même qui donne l'exemple de la pierre, dans je ne sais plus quelle Lettre…